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Waha

En Garde ! arrivera chez Pika en mars 2021 [GON] - Lun 28 Déc 2020 - 22:56









# Bloc Technique
Titre original : みなさまエト・ヴ・プレ?, Minasama eto vu pure?
Catégorie : Seinen
Genre : Sport, Tranche-de-vie
Nombre de tomes au Japon : 3 tomes en tout
Nombre de tomes en France : bientôt
Scénario : Tamaru Tokihiko
Dessin : Tamaru Tokihiko
Pré-publication : Comic Newtype
Editeur Japonais : Kadokawa Shoten
Editeur Français : Pika
Année : 2017
Prix : 7.50 €
Public Visé : + 12 ans







# Synopsis Editeur


Chika est une fille au caractère bien trempé qui n’hésite pas à répliquer si on lui cherche des noises.
Elle passe son temps entre les couloirs de son lycée et les salles d’arcades à battre des records aux jeux vidéo.
Un jour, elle assiste par hasard à un entraînement d'escrime qui provoque chez elle un véritable électrochoc !
Surprise par la sensation de nostalgie qu’elle éprouve pour ce sport, Chika est loin de se douter que le destin lui réserve des retrouvailles plutôt agitées…








Waha

[Sport - Japon] Aïkido [GON] - Ven 11 Sep 2020 - 22:11









Aujourd'hui, parlons..... d'Aïkido (oui bah je sais vous avez vu le titre mais bon...)

Toujours repris sur wikipedia, et après je rajouterais des vidéos !

Bon c'est un peu pointu pour moi, je n'y connais rien en Aïkido mais c'est super intéressant !

L'aïkido (合気道, aikidō) est un art martial japonais (budo), fondé par Morihei Ueshiba ōsensei entre 1925 et 1969.

L'aïkido a été officiellement reconnu par le gouvernement japonais en 1940 sous le nom d’aikibudō et sous le nom aikido en 1942 donné par la « Dai Nippon Butoku Kai », organisme gouvernemental visant à regrouper tous les arts martiaux japonais pendant la guerre.

Il a été créé à partir de l'expérience que son fondateur avait de l'enseignement des koryu (écoles d'arts martiaux anciennes), essentiellement l'aikijutsu de l'école daitō ryū et le kenjutsu (art du sabre japonais).

L'aïkido est né de la rencontre entre ces techniques de combat et une réflexion métaphysique de Morihei Ueshiba sur le sens de la pratique martiale à l'ère moderne.

L'aïkido se compose de techniques avec armes et à mains nues utilisant la force de l'adversaire, ou plutôt son agressivité et sa volonté de nuire.
Ces techniques visent non pas à vaincre l'adversaire, mais à réduire sa tentative d'agression à néant.

L'aïkido peut être considéré comme la concrétisation du concept de légitime défense : une réaction proportionnée et immédiate à une agression.
En fait, dans l'esprit de l'aïkido, il n'y a pas de combat, puisque celui-ci se termine au moment même où il commence.
Conformément à cette logique, il n'existe pas de compétition d'aïkido excepté dans le style Shodokan fondé par Kenji Tomiki (et de ce fait appelé aussi Tomiki ryu, École Tomiki).

De plus, l'aïkido est aussi intimement lié à la religion Shinto.
En 1942, O Sensei Morihei Ueshiba érigea à Iwama (ville située au nord-est de Tokyo) un sanctuaire dédié aux 42 dieux et déesses protecteurs de l'aïkido : l'Aïki-jinja (合気神社) est aujourd'hui classé monument historique.








# Histoire de l'aïkido


L'aïkido est un budo (art martial japonais) créé dans les années 1930 par Morihei Ueshiba.

Comme la plupart des budo modernes (judo, karaté, shorinji kempo, kendo…), il est l'héritier des arts martiaux développés durant les périodes de guerre, qui furent modifiés par les périodes de paix (ère Tokugawa) et la disparition de la classe des samouraïs (restauration de Meiji).


Morihei Ueshiba était un fervent pratiquant shinto, il fut également initié à la religion Ōmoto-kyō, au bouddhisme Shingon et au Kototama.

Il avait par ailleurs une expérience réelle de la guerre : il participa à la Guerre russo-japonaise, et nombre de ses élèves moururent durant la Seconde Guerre mondiale.

Son parcours, emblématique d'une authentique réalisation spirituelle, passant de techniques guerrières visant à tuer rapidement un adversaire à un art visant l'accomplissement de l'être humain, le conduisit à recevoir la révélation de nouvelles techniques martiales, et à devoir nous transmettre l'« art de paix », dont le but serait d'améliorer l'Homme, d'un point de vue physique mais surtout comportemental (tolérance et paix) et spirituel.

Les débuts de l'aïkido au Japon


Après avoir étudié depuis sa jeunesse de nombreux arts martiaux et avoir fait plusieurs rencontres marquantes, Morihei Ueshiba, fréquemment surnommé O sensei (littéralement « vénérable professeur ») par les pratiquants en raison de la maîtrise qu'il avait des arts martiaux, orienta sa pratique vers un art fait ni pour combattre, ni pour vaincre [mais pour] supprimer la notion d’ennemi .

Le premier dojo fondé par Maître Ueshiba en 1927 est le kobukan, qui se nomme maintenant l'aïkikai hombu dōjō, et se trouve à Tōkyō dans le quartier de Shinjuku.
Il y enseignait la majeure partie du curriculum du daitō ryū jūjutsu tel que lui avait transmis Sōkaku Takeda et des techniques de kenjutsu et de jōjutsu adaptées à son art qui se voulait plus "pacifique".
Il nomma successivement son style daïto ryu aïki jutsu (en 1922, mais Takeda le lui interdit), ueshiba ryu jujutsu (jusqu'en 1924), ueshiba ryu (à partir de 1925-26), aïki budo (à partir de 1927), puis aussi kobu budo et aïkinomichi.

Durant les années 1930, la popularité et la réputation de Morihei Ueshiba ne cessa de grandir, ce qui amena plusieurs haut gradés d'autres écoles de budō à joindre l'organisation de Morihei Ueshiba (en particulier des élèves de Jigoro Kano).
Ueshiba fut aussi chargé par le gouvernement de la formation martiale d'officiers japonais.
Très proche de la secte non-violente et utopiste Ōmoto-kyō de Deguchi Onisaburo, il s'en éloigna après son interdiction en 1935.

L'aïkido que pratiquait à cette époque le fondateur était encore très proche du daito ryu (mais certains auteurs parlent aussi d'une influence chinoise).
Il s'agissait là d'un aïkido plus ferme, voire plus violent que celui qu'il développa par la suite.
Nombre de ses élèves de l'époque perpétuèrent ce style aujourd'hui connu sous le nom d'Aïkibudo.
Notons aussi au passage le style Yoshinkan initié par Gozo Shioda qui étudia également sous la direction du fondateur à cette époque.
Ce style est celui utilisé par la police japonaise.
À ce propos on remarque que Ueshiba ne sembla pas s'inquiéter que ses élèves fondent d'autres écoles d'art martial.

En 1940, O sensei eut une seconde vision (voir l'article sur Morihei Ueshiba ou une de ses biographies pour la première et la troisième) : oubliant toutes les techniques qu'il avait apprises jusque-là, il put les voir sous un autre angle, non plus comme de simples moyens pour projeter ou immobiliser un adversaire mais comme un véhicule pour l'épanouissement de la vie, de la connaissance, de la vertu et du bon sens.
C'est à ce moment que l'aïkido fluide et sans obstructions des dernières années de O sensei est né.

En 1942, Morihei Ueshiba décida dorénavant d'utiliser le terme aïkidō pour son art.
Il fonda la même année un dōjō à Iwama et un temple dédié à l'aïkido (reconstruit au début des années 1960).

L'aïkido d'après-guerre


La fin de la Seconde Guerre mondiale vit un hiatus dans l'enseignement de tous les arts martiaux japonais et l'aïkido fut le premier, en 1952, à pouvoir rouvrir les portes de ses dojo.
Ayant toujours vu son art comme un cadeau à l'humanité, Morihei Ueshiba fit tout ce qui était en son pouvoir, lui qui ne connaissait que le japonais, pour promouvoir l'aïkido au niveau international en envoyant des émissaires dans plusieurs pays européens ainsi qu'en Amérique et en acceptant toujours les étrangers qui voulaient pratiquer au Japon (et qui avaient la détermination requise).

C'est aussi dans cette période d'après-guerre qu'O sensei commença à donner des démonstrations publiques de son art, ce qui contribua à en augmenter la visibilité auprès du public japonais.

L'aïkido contemporain


La forme la plus répandue doit beaucoup au fils du créateur de l'aïkido Kisshōmaru Ueshiba, le premier dōshu (référent mondial pour la pratique, littéralement « maître de la voie » ou « guide du groupe de ceux qui suivent la voie [de l'aïkido] ») et à Koichi Tohei.
En effet, l'aïkido était essentiellement enseigné sous la forme d'une expérience, par la pratique.
Cette manière d'enseigner, typique des écoles traditionnelles (ryū), était peu adaptée à la mentalité moderne et à la volonté de diffusion internationale.
Kisshōmaru fit donc un grand travail de « verbalisation », en mettant en place une nomenclature des techniques et en mettant en avant la transmission verbale en plus de la démonstration par l'exemple.
Ce souci de pédagogie l'amena également à revoir l'exécution de certaines techniques, les rendant plus accessibles et adaptées aux aspirations modernes.

Le fondateur avait à cœur de répandre et d'enseigner l'aïkido qui pour lui avait une mission de Paix.
Se retirant dès la fin de la guerre dans le petit village d'Iwama tout en continuant de visiter les dojos de ses anciens élèves, ce n'est qu'au début des années 1960 qu'O'Sensei retourne vivre au Hombu Dojo.
Là, il enseigne et dirige de manière (quasi) quotidienne le cours du matin de 7h.
De plus l'évolution permanente de l’Aïkido de O'Sensei, les niveaux d'éducation et culturels éparses de ses élèves expliquent la grande variété d'écoles d’Aïkido aujourd'hui.

Enfin, on peut facilement avancer que chaque pratiquant, par sa technique, sa constitution physique et son attitude, pratique un aïkido différent et que toutes ces formes se retrouvent dans le principe, dans la « voie » de l'aïki, l'aïkido.
Ueshiba disait Il n’y a ni forme, ni style en Aïkido.
Son mouvement est celui de la nature, dont le secret est profond et infini.


L'arrivée de l'aïkido en Europe


L’aïkido arriva une première fois en Europe et plus particulièrement en France au tout début des années 1950 avec Minoru Mochizuki.
Mais ce fut avec Tadashi Abe, 6e dan, arrivé en France en 1954 que l’aïkido commença véritablement à se développer en Europe.
Masamichi Noro, nommé « Délégué officiel pour l’Europe et l’Afrique » par Maître Morihei UESHIBA lui-même, arrive en France en 1961.

Les débuts de l'aïkido en France
L’introduction de l’aïkido en France se fit tout d’abord avec Minoru Mochizuki en 1951.
Mais celui-ci resta peu de temps en Europe et en 1952, Morihei Ueshiba décida d’envoyer Tadashi Abe, alors âgé seulement de 26 ans.
À son arrivée il fut aidé par Mikinosuke Kawaishi qui venait d’introduire le judo en France et par André Nocquet, élève de Mochizuki.
En 1960, considérant sa mission accomplie, Tadashi Abe décida de retourner au Japon.
À cette période, entre 1955 et 1957, André Nocquet est élève (Uchi-deshi) à l'aikïkai de Tokyo.
D’autres grands maîtres japonais participèrent par la suite au développement de l’aïkido en France : dans un premier temps Hiroo Mochizuki, Masamichi Noro et Mitsuro Nakazono, puis Nobuyoshi Tamura qui s’occupera de l’aïkido en France jusqu'à son décès en 2010.

Les débuts de l'aïkido en Belgique
Après un bref passage de Minoru Mochizuki en 1951, le premier cours d'aïkido en Belgique fut donné à Bruxelles par Tadashi Abe, sollicité par les professeurs Julien Naessens et Jean Stas, le 28 novembre 1953 et le premier examen de ceinture noire eut lieu le 10 juillet 1955.
Les trois premiers qui réussirent cet examen furent Jean Stas, Georges Schiffelers et Jean Lindebrings. Après le retour au Japon de Tadashi Abe l’aïkido belge sera supervisé par Masamichi Noro et ensuite par N.Tamura et Aritomo Murashige, 9e dan, jusqu’à sa mort accidentelle en 1963.

Les débuts de l'aïkido en Suisse
Au début des années 1960, alors que l'aïkido était encore peu connu en Europe, il y eut des démonstrations isolées en Suisse, et de nombreuses tendances et interprétations. Quelques personnes l'ont enseigné sous des noms divers.
Il y eut même quelques compétitions.
Aucun club n'existait comme tel dans ces années précoces.
Les intéressés se regroupaient peu à peu dans des clubs de judo existants, puisqu'un dojo est évidemment nécessaire à la pratique.
Les aïkidoka, en faible minorité, pratiquèrent quelque temps dans le cadre du puissant Judoverbandes suisse.

Les premiers contacts avec des maîtres japonais remontent à cette époque.
En suisse alémanique, c'est maître Nakazono qui répondit à l'invitation de Willy Frischknecht et vint conduire des stages au Judo-Club de Herisau (en Appenzel).
En 1965, c'est maître Tamura qui vint en Suisse romande conduire quelques stages, à l'initiative de Monsieur Fredy Jacot.

L'ACSA, fédération propre, est née le 21 septembre 1969.

Les débuts de l'aïkido en Tunisie
L'Aïkido Club Kano, situé à quelques minutes de l'aéroport de Tunis-Carthage, a été créé en 1970 par Ahmed TOUATI BAKHTI avec le concours de ses fils Aladin et Hatem BAKHTI (3e dan).

Ahmed TOUATI BAKHTI est élève direct de Maître Masamichi NORO* (8e dan).
Il a le grade de 5e dan.





# Le terme aïkido

Le terme aïkido (aikidō en japonais) est composé de trois kanjis signifiant :


  • 合 ai : du verbe au, concorder ; harmonie

  • 気 ki : énergie

  • 道 dō : la voie



Aïkido peut donc se traduire par « la voie de la concordance des énergies ».

En effet, le terme « concordance » est plus près du sens japonais original de l’aiki comme étant une action de rencontre (explicité dans la composition du kanji) que le terme « harmonisation ».
L’« harmonie » peut être le résultat souhaité de la pratique de l'aïkido, mais on ne fait pas d'aïkido sans faire concorder les énergies.
Comme le fait remarquer Olivier Gaurin, l'aïkido, par la concordance (« mettre les cœurs ensemble »), amène à un résultat où il sera possible de communiquer avec l'« adversaire », chose impossible si on a dans l'idée de l'harmoniser (« amener à une entente, se mettre d'accord », ce qui peut être impossible) ou de le détruire.
Un autre problème soulevé est qu'« harmonie » implique souvent une notion d'amitié ou de paix, ce qui est superflu (on ne peut pas être aimé par tout le monde, même si l'on aime soi-même tout le monde).
Par exemple, les Japonais utilisent le mot wagō (和合) pour « harmonie », terme composé de « paix » et de « concorder » : en concordant vers la paix, on crée l'harmonie.

Cependant, d’après le fils de Morihei Ueshiba, Kisshomaru Ueshiba, tout l’accent de l’Aïkido était mis « sur sa nature essentielle: l’amour ».
Le traducteur souligne d’ailleurs que « le premier signe de l’Aïkido « aï » qui signifie harmonie se lit de la même façon que le signe « amour ».
Morihei insista de plus en plus sur l’imbrication de ces deux sens. »
Kisshomaru Ueshiba rapporte aussi les propos du fondateur au cours d'une visite à Hawaï : « Je crois que l'aiki - qui naît de l'étude des arts martiaux - peut unir les peuples et donne au Monde son harmonie, dans le véritable esprit du budo, en le baignant d'une force immuable d'Amour.»






# Le terme « aïkidoka »

« Aïkidoka » (合気道家, aikidōka) est la dénomination que reçoivent les pratiquants de l'aïkido.
S'il suffit, en dehors du Japon, d'être un pratiquant pour être appelé ainsi, le terme exact est en réalité aikishugyosha, autrement dit, étudiants de l'aïkido.
Au Japon, le terme implique un professionnel qui se voue uniquement à cet art.

Ailleurs, l'usage a cependant conservé une appellation similaire avec les autres arts martiaux japonais, comme les judokas et les karatékas.




# Pratique de l'aïkido

L'aïkido est pratiqué par des femmes et des hommes de toutes tailles et âges.
Le but de la pratique est de s'améliorer, de progresser (techniquement, physiquement et mentalement) dans la bonne humeur (le fondateur Morihei Ueshiba insistait beaucoup sur ce point).
Ne sont montrées que des techniques respectant le partenaire.
La complexité de cet art demande un haut niveau de pratique dans son utilisation en combat réel.
S'il est vrai que les techniques de base reposaient sur des pratiques académiques classiques et étaient adaptées à un style combatif, il reste que l’aïkido n’est pas une pratique qui vise en premier à la bagarre de rue mais un art martial qui prépare autant physiquement (souplesse, rapidité, musculature), mentalement (rester calme en toutes circonstances) que techniquement (respecter la distance de sécurité, trouver l'ouverture, se placer, gérer plusieurs attaques simultanées) au combat en toute situation.
Si l'aïkido est une activité physique, voire sportive, il dépasse ce point de vue en intégrant une vision de l’Homme.

Il existe différents styles d'aïkido répondant à différentes aspirations.
Le style le plus répandu est celui initié par le propre fils du fondateur, Kisshomaru Ueshiba, style connu sous le nom d'Aikikai.
Cependant, pour comprendre l’existence d’écoles différentes, il faut prendre en compte le fait que le fondateur de l’aïkido a créé cet art martial et l’a développé tout au long de sa vie.
S’il fut un soldat patriote et brillant dans les années 1930, contribuant à la militarisation des esprits en lien avec des organisations secrètes comme la Société du Dragon Noir ou des politiciens d'extrême-droite tels Oawa Shumei, Inoue Nissho et Kozaburo Tachibana, tous membres du groupe ultranationaliste Sakurakai dont certaines des reunions avaient lieu au Ueshiba Dojo, le fondateur de l'aïkido fut profondément bouleversé par l'usage de l'arme atomique en août 1945 et la défaite japonaise qui lui suivit et devint dès lors un pacifiste convaincu.
Si le patriotisme de Ueshiba ne prête pas à controverse, son pacifisme est bien plus accrédité par ses propos humanistes et par sa contribution aux orientations de l'évolution de l'aïkido que par ses engagements auprès de Onisaburo Deguchi gendre de Nao fondatrice de l'Omoto Kyo organisation sectaire dont les discours pacifiques et internationalistes se doublaient d'idéologies et de pratiques à caractère fascisant.
L'aïkido devient le premier art martial japonais à être autorisé par les Autorités américaines qui occupent le Japon en 1948 (création de l'Aïkikaï Hombu dojo) et Ueshiba Senseï situe lui-même dans son interview de 1957 sa conversion au pacifisme vers 1950.
En cela il suit parfaitement l'allocution de l'empereur Hirohito lors de la capitulation qui encourageait son peuple à « ouvrir la voie à une ère de paix grandiose pour toutes les générations à venir ».

Morihei Ueshiba eut de nombreux disciples, dont certains ont propagé des techniques en perpétuelle évolution.
En simplifiant, on distingue trois périodes : celles d'avant-guerre très dures et visant avant tout l'efficacité, puis celles des années Iwama 1942-1952 plus fluides mais conservant atemis et armes, et enfin la dernière période beaucoup plus souple encore.
Dans cette dernière période, le fondateur privilégie Ikkyo omote sur Shomen en mode ura.
Chaque disciple d'O Senseï a développé une version, maintenant une évolution constante.

Tadashi Abe, de retour au Japon, ne reconnaît pas l'aïkido qu'il avait appris à l'Aïkikaï et le quitte.
D'autres maîtres enseignent selon leurs sensibilités, créant des styles et des écoles différentes. En France, on compte une vingtaine de styles.

À Iwama, au dojo de Saïto Mohiro senseï, on estime que l'aïkido est né en 1942 et on y préserve cette version des origines.
Pour ce courant, la simplification qui suivit répondait à un intérêt de popularisation.
Ainsi Saïto senseï a-t-il été surpris de découvrir que les techniques du livre Budo de 1938 étaient exactement celles qu'a pratiquées Ueshiba senseï avec lui pendant des années, sachant que Saïto a commencé l'aïkido en... juillet 1946.






# La pratique à mains nues

Le fondateur de l'aïkido ne voulait pas entendre parler de compétition.
L'accent est mis sur le développement complet de l'individu.
Pendant les cours, les élèves observent l'enseignant faire la démonstration d'une technique et travaillent ensuite avec un partenaire pour la répliquer.
Ils améliorent ainsi leur technique et leur compréhension de l'art.
Le mouvement, le positionnement, la précision et le rythme sont tous des aspects importants dans l'exécution des techniques.
Les élèves gagnent également en souplesse et en adaptation en les appliquant.

Au niveau débutant, les aïkidokas s'entraînent par deux.
L’« attaquant » (uke, littéralement « celui qui accepte, qui chute », également appelé aite, littéralement « celui qui prête sa main ») déclenche une attaque contre le « défenseur » (tori « celui qui saisit », également appelé shi et parfois nage « celui qui projette » ou encore shite « celui qui exécute »), qui la neutralise avec une technique d'aïkido.
En Ki Aïkido, nage et uke sont utilisés pour indiquer qui va se défendre (et projeter ou contrôler l'autre) et qui attaque (et qui va « recevoir » la technique d'aïkido).

En général, la technique est étudiée de la manière suivante : le professeur montre le mouvement, puis le partenaire aite attaque tori quatre fois (deux fois de chaque côté : gauche et droite alternativement), puis les partenaires échangent les rôles pour 4 nouvelles attaques et ainsi de suite.
Lorsque plusieurs mouvements ont été vus à partir d'une même attaque, le professeur peut faire travailler en « technique libre » (jiyū waza) : les rôles aite et tori ne changent pas, aite se relève après chaque mouvement et réattaque immédiatement tori qui applique la technique qu'il veut ; le placement et le mouvement du corps ainsi que l'endurance (cardio-vasculaire) sont alors travaillés.
Parfois, tori est assailli par plusieurs aite, afin de travailler la réponse à une attaque de groupe (ce travail se nomme randori bien qu'il soit différent du combat libre pratiqué au judo).

Composantes d’un mouvement


Les mouvements d'aïkido partent de l'attaque d'un des deux partenaires, attaque déclenchée de sa propre initiative par ce partenaire ( uke) ou suscitée par le pratiquant qui va appliquer la technique (tori).
Cette attaque peut consister en un coup, une saisie ou une combinaison des deux.
Coups et saisies visent en général la partie supérieure du corps.

Il y a ensuite trois ou quatre parties qui se retrouvent toujours à la genèse d'une technique d'aïkido même si des variations peuvent être observées d'un style à un autre :


  • l'absorption : au moment où l'énergie de l'attaque de aite se libère (l'attaque part), tori bouge pour modifier la cible ou la trajectoire de l'attaque.
    C'est dans cette phase que tori s'approprie l'attaque de aite au lieu de la subir.

  • L'entrée : tori s'esquive par un pivot, avançant sur son côté, etc. Les possibilités sont nombreuses.
    Il peut également attaquer pour obliger aite à une réaction de défense et exploiter cette dernière par la suite.

  • Le déséquilibre : par ses déplacements et mouvements tori dirige, entretient et amplifie le déséquilibre en utilisant l'énergie cinétique et la force de celui-ci.

  • L'immobilisation ou la projection : tori projette ou immobilise aite.
    L'immobilisation s'obtient à l'aide d'une clef (au bras, au poignet…).
    La projection s'obtient à l'aide de différents contrôles au niveau du corps de aite (tête, coude, poignet…) privant ou dissuadant ce dernier de toute autre issue que la chute au sol.




Richesse des combinaisons de mouvements


« Il y a environ 3 000 techniques de base et chacune d’entre elles a 16 variantes… ainsi il en existe quelques dizaines de milliers. Et selon la situation, vous en créez de nouvelles. »

— Morihei Ueshiba

Je vous renvoie sur l'article de wikipedia pour un détail des techniques : wikipedia





# La pratique des armes

En plus des techniques à main nues, l'aïkido comporte l'étude du maniement d'armes en bois : le sabre ou bokken (aikiken), le bâton ou jō (aikijo), le couteau ou tantō, et de façon plus anecdotique, le juken (baïonnette), arme dans laquelle excellait le fondateur et qui lui avait valu d'en être formateur à l'armée avant et pendant la guerre russo-japonaise (1904-1905).

Le fondateur a réuni dans le jō des techniques de lance, de sabre de naginata (fauchard) et de Jūkendō (Baïonnette).
La technique de sabre qu'il a développée est singulièrement différente du kenjutsu des koryu (écoles traditionnelles).
C'est surtout à l'étude de cette dernière que le fondateur consacra son énergie en ce qui concerne les armes.

Histoire


En réalité, Morihei Ueshiba n'a jamais enseigné directement la pratique des armes, ni lors des stages qu'il donnait régulièrement, ni lors des cours qu'il dispensait à l'Hombu Dojo, le dojo central de l'aïkido à Tokyo.
Toutefois, comme il les pratiquait presque chaque jour dans son dojo personnel devant un nombre restreint d'élèves, ceci explique leur relative méconnaissance.
La transmission de cette pratique s'est faite essentiellement par les plus gradés de ses uchi deshi (étudiant admis à résider dans le dojo) : Hikitsuchi Michio, Sadateru Arikawa et Morihiro Saito.
Ce dernier a vécu 23 ans auprès du Fondateur et, après la mort de celui-ci, a regroupé les techniques qu'il avait apprises et il a élaboré différents exercices pour permettre leur enseignement.
Il existe ainsi dix kumijo (jo contre jo) et cinq Kumitachi (ken contre ken), tous sujets à de nombreuses variantes, plus ce que le fondateur nommait « son œuvre » : Ki Musubi No Tachi.
Leur validité martiale est manifeste, Morihei Ueshiba ayant d'ailleurs étudié de nombreuses koryu.
Ainsi, on note des ressemblances évidentes entre certaines techniques du sabre de l'aïkido et celles de la koryu Kashima Shinto Ryu (par exemple, entre « ichi no tachi » —aïkido— et le premier kata « ipommé » —Kashima Shinto Ryu—).

La place des armes dans l'aïkido est l'objet d'un vif débat : peu d'écoles en maîtrisent réellement la pratique et les techniques à mains nues occupent donc généralement l'immense majorité du temps d'étude.

Dans la branche Iwama ryu (élèves de Morihiro Saito), la pratique des armes, bukiwaza (武器技), est mise sur le même plan que celle à mains nues (taijutsu).
La pratique du bokken y est appelée aikiken et la pratique du jō aikijō.
Maître Saito expliquait que pour le fondateur, l'aïkido était l'étude du bukiwaza et du taijutsu, et que ces deux éléments sont indissociables.

Pratique


Par la répétition d'exercices (les suburis qui peuvent être envisagés comme un alphabet de mouvements élémentaires), le pratiquant vise, entre autres, à réaliser l'unité du corps avec le ken ou le jo qui doivent ainsi véritablement devenir le prolongement de son corps.
Par extension de ce principe, la sensation doit devenir la même avec un partenaire qui doit être maîtrisé de la même façon et suivant les mêmes principes.

La pratique des armes permet également d'appréhender différentes distances face à un ou plusieurs adversaires (maai), de travailler une posture correcte (shisei) et de vaincre l'appréhension des armes.
Bien que la plupart des techniques d'aïkido (issues principalement des 118 techniques de base du Daito-ryu) soient des techniques développées, non pas à partir de techniques d'armes, mais soit de lutte à mains nues, soit de défense à mains nues contre un attaquant armé, l'étude des armes peut parfois être utile à la compréhension de certaines techniques à mains nues via certains parallèles.

En effet, une grande quantité de mouvements est dérivée des techniques utilisées par les guerriers armés, ou de techniques utilisées pour désarmer l'adversaire.
De plus, la visualisation d'un mouvement avec un sabre donne une conception plus claire du mouvement à effectuer à mains nues.
Les techniques de sabre ont eu une grande importance dans l'élaboration de l'aïkido par Maître Ueshiba.

On peut aussi considérer que, fondamentalement, une technique d'aïkido ne peut se réaliser efficacement que si « l'entrée », l'instant de mise en relation entre les deux protagonistes au moment de l'attaque, est réussie.
C'est l'instant « aïki », fraction de seconde où l'harmonie est ou n'est pas, que le génie martial de Moriheï Ueshiba a su percevoir et développer.
La pratique des armes permet de se focaliser principalement sur cet instant.

La pratique des armes est très diverse :

  • jo contre jo

  • jo contre mains nues / mains nues contre jo, pratique appelée « jo nage » lorsque l'adversaire saisit votre jo ; ou « jo dori » lorsqu'il vous attaque avec un jo

  • bokken contre bokken, pratique appelée « ken tai ken »

  • bokken contre mains nues / mains nues contre bokken, pratique appelée « tachi dori »

  • bokken contre jo, pratique appelée « ken tai jo »

  • tanto contre mains nues, pratique appelée « tanto dori »

  • juken (baïonnette) contre mains nues, pratique appelée « juken dori » dont Moriheï Ueshiba fut longtemps instructeur pour les armées impériales



L'apprentissage peut comporter plusieurs types d'exercices :

  • suburi : mouvements réalisés seul et destinés à développer la maîtrise des armes et à apprendre différents coups et postures

  • awase : applications avec partenaire des suburi destinées à travailler l'harmonisation

  • kumijo et kumitachi : séquences de combat stéréotypées avec partenaire

  • kata : suite codifiée de coups et techniques pouvant s'exécuter seul ou à plusieurs



Une autre arme est pratiquée dans certaines écoles d'aïkido : le bō (bâton long) ainsi que le bâton court ou tambō.
La pratique du bō permet d'abord la juste position des hanches et des pieds, qui est la même qu'à mains nues.

Aux États-Unis, certains dojo enseignent également des techniques de désarmement avec des pistolets en mousse ou en bois, tandis qu'en Afrique, certains dōjō pratiquent des techniques de défense contre différents types de machettes.

Au niveau des passages de grade, le travail à mains nues contre le jō ou le tantō est généralement exigible à partir du premier kyū.
Le travail au bokken, contre mains nues ou contre un autre bokken, est exigible à partir du troisième dan. Bien entendu, des différences existent là aussi d'une école à l'autre.






# Concordance des énergies (principe d’aiki)

L'aïkido se base sur le principe de la « concordance des énergies ».
D'un point de vue martial, cela se comprend de trois manières :


  • unir les énergies de son propre corps (via le seika tanden) pour agir, coordonner les bras et les jambes ; notamment, on s'attache à mouvoir les deux mains ensemble (comme si elles tenaient un sabre) en maintenant une certaine extension des bras, afin de mieux transmettre le mouvement au partenaire (par un effet de levier) et de maintenir une distance de sécurité (gestion de la distance, ma ai)

  • unir les énergies des deux partenaires : tori ne va pas s'opposer à uke" mais va au contraire accompagner son mouvement, s'accorder à son rythme (gestion du rythme, autre sens de ma ai) ; alors que uke s'attend à rencontrer une résistance, il rencontre en fait le vide, et même une assistance pour poursuivre son mouvement, ce qui provoque sa chute (la sensation est similaire à une porte qui s'ouvre au moment où on essaie de l'enfoncer).
    Pour prendre une image : lorsque l'on étaie un mur, le mur et l'étai sont en opposition, ils se renforcent mutuellement ; de même si tori s'oppose à uke, il le renforce sur ses positions, il le stabilise, alors que s'il l'accompagne dans son mouvement, il maintient le déséquilibre

  • agir comme un intermédiaire entre un état de violence et un état où la violence n'est plus : on laisse la violence se déployer où elle ne peut nuire.
    On peut comparer la personne qui agit de cette façon à un « passeur d'orages » : non pas celui qui empêche les orages de tomber, mais celui qui les dirige de manière qu'ils ne fassent pas de dégâts.
    Il ne cherche pas à dominer, mais à débloquer là où il y a fixation (sur une émotion, sur la violence ou l'attaque comme telle, etc.).
    Après le déblocage, il ne conduit pas consciemment la violence – ce serait là une forme de domination – mais la laisse couler vers un endroit où elle ne peut nuire



On peut y voir une progression :

  • partant du niveau psychomoteur (« l'esprit et le corps », unir nos propres énergies)

  • au niveau technique (s'unir avec l'énergie des autres et par là créer un vide)

  • puis au niveau mental (« être » le vide, le non-manifesté, voir Budo > Budo et spiritualité)



Il serait bien sûr futile d'essayer d'« être le vide » avant d'être capable d'en créer un ou d'essayer de s'unir avec des énergies extérieures lorsqu’on n’est pas encore capable d'unir ses propres énergies internes.
Un concept de progression semblable se retrouve dans l'enseignement du Tenshin Aïkido : on commence par le gō (剛, dur : nos techniques sont angulaires, exécutées avec force), ensuite vient le jū (柔, flexible : nos techniques deviennent flexibles, on se sert de la force de l'autre) et finalement le ryū (流, flux : nos techniques « coulent » comme de l'eau, on laisse passer la force de l'autre).

Pour cultiver cette notion de l'énergie, on pratique en début et en fin de séance des exercices respiratoires.
Dans la symbolique taoïste, ces exercices sont là pour mettre en mouvement l'énergie vitale (le ki, qui signifie aussi le souffle).

Morihei Ueshiba était aussi un adepte de la secte shintoïste Ōmoto-kyō.
Une de ses intentions, en fondant l'aïkido, était de promouvoir la paix et l'harmonie entre les êtres, afin de créer une société meilleure.
Le terme « concordance des énergies » renvoie donc également à une conception de la société où les gens coopéreraient entre eux vers la paix et l'harmonie plutôt que de s'affronter.
Dans sa dimension mystique la plus extrême, il considérait l'aïkido comme une prière gestuelle, semblable aux mudrâ bouddhiques, associée à une prière vocale, le kotodama.




# Forme, attitude et efficacité martiale

L'enseignement de l'aïkido se fait essentiellement par la répétition de techniques de base.
La maîtrise de chaque point d'une technique est indispensable à son fonctionnement.
Le but de ces formes est aussi de travailler l'attitude.

En effet, un mouvement ne peut être réussi que si :

  • tori est toujours stable, il doit donc avoir une attitude « parfaite » (shisei - 姿勢)

  • tori gère les ouvertures (possibilités d'attaque) et fermetures (empêcher uke de contre-attaquer), en gérant les distances, les directions et le rythme du mouvement (maai - 間合)

  • tori coordonne ses mouvements et les harmonise pour maîtriser uke sans que celui-ci rencontre une opposition qui lui permettrait de se raffermir (aiki)

  • uke est toujours en déséquilibre, ce qui implique un travail sur les directions, l'extension des bras et la continuité du mouvement (ki no nagare)



Cette attitude est très importante et indispensable aux progrès.
Dans un combat réel, un mouvement ne présentant pas la plus parfaite exactitude est inefficace.
L'efficacité martiale, pour un aïkidoka, ne réside pas dans l'agressivité qui mène à la destruction, mais dans l'attitude.

Une des manières d'évaluer la justesse martiale est de marquer des atemi (coups) (par exemple lancer la main ouverte ou le poing vers le visage du partenaire pour simuler un coup de poing) : si tori a la possibilité de frapper, c'est que son attitude est correcte, et si uke peut frapper, c'est que tori a fait une erreur.
Le port de tels coups est indispensable sur certaines techniques, la réaction de uke à ce coup étant utilisée.
Mais il n'est pas nécessaire de porter réellement ces coups.
Certaines branches de l'aïkido vont jusqu'à supprimer le marquage des atemi, ce qui n'est pas sans susciter des controverses

C'est ainsi que l'aïkido peut se prétendre à la fois « martial » et « non-violent » : il n'est pas nécessaire d'être violent pour être efficace martialement, l'être est même contre-productif en aïkido.

Pour des raisons pédagogiques, les mouvements sont parfois montrés avec une grande amplitude, alors qu'en combat réel les mouvements courts sont plus efficaces (rapidité et économie d'énergie).
Les mouvements se raccourcissent spontanément avec la tension nerveuse (stress) de l'agression, ils raccourcissent également au fur et à mesure de la progression du pratiquant.

La pratique régulière et assidue de l'aïkido permet aussi de préparer un individu physiquement (souplesse, rapidité, musculature), mentalement (calme et maîtrise de soi) et techniquement (respect de la distance de sécurité, ouverture, placement, gestion de plusieurs attaques simultanées).


La garde : kamae - 構え



La pratiquante de droite vient d'attaquer par une saisie simultanée des deux poignets de face mae ryote dori.
La garde de base en aïkido est la position hanmi (san kaku 三角, littéralement « trois points », en triangle).
Le pied avant est dans l'alignement de la jambe, le pied arrière ouvert avec un angle d'environ 50° par rapport à l'axe du pied avant.
Le poids est réparti sur la plante des deux pieds, les talons très légers.
Dans cette position les hanches se placent naturellement de trois quart.

Cette position est intermédiaire entre la garde iaidō (les pieds sont parallèles, les hanches complètement de face) et la garde de karaté, où les hanches sont profilées pour réduire la zone d'impact et permettre d'armer les coups de pied.
L'objectif de cette garde est d'obtenir une bonne mobilité dans toutes les directions.

On rencontre également la position hitoemi (一重身). Hitoemi signifie « le corps d'une unique épaisseur ».
Hitoemi consiste à se tenir debout en ayant la pointe des orteils sur une même ligne droite.
C'est une posture où l'on présente totalement le côté du corps au partenaire.
C'est la garde kamae de base au jo ainsi que l'attitude que l'on assume au sabre lorsque l'on exécute tsuki.

Excepté dans le style Yoshinkan ryû, il n'y a pas de position particulière pour les mains en aïkido.
Le but principal de cette « absence de garde » pour les mains est simple : cela évite de les mettre en avant, et donc de les exposer à une éventuelle arme cachée de l'adversaire (comme un couteau dans la manche).
On désigne ceci par l'expression shizen tai (position naturelle).






# La tenue

La tenue de base est le keikogi (vêtement d'entraînement), appelé à tort « kimono ».
Il se compose d'une veste et d'un pantalon en coton blanc.
La veste est fermée par une ceinture (obi).
Il s'agit du même qu'en judo, bien qu'il existe des vestes spécifiques dont les manches sont raccourcies afin de faciliter la saisie des poignets.

Lorsque le professeur estime que l'élève a acquis une technique satisfaisante, il l'autorise à porter le hakama, une sorte de pantalon flottant noir ou bleu foncé.
Cependant, selon les dojos et les écoles, le port du hakama peut varier : le pratiquant est autorisé à le mettre dès le début (car il s'agit de la tenue traditionnelle), à partir du troisième, deuxième ou premier kyū.

L'aïkido se pratique pieds nus sur le tatami (ou, à défaut de tatami, sur un tapis), mais l'étiquette enseigne qu'il faut s'y rendre avec des chaussures pour des raisons d'hygiène ; les pratiquants utilisent en général des nu-pieds appelés zōri.
Les zōri doivent être disposées perpendiculairement au tatami, la pointe en direction de l'extérieur afin de pouvoir repartir rapidement.






# Les grades

Morihei Ueshiba donnait initialement à certains élèves des certificats traditionnels d'aptitude.
Par exemple, Minoru Mochizuki reçu en 1932 un hiden mokuroku en Daito-ryu Aiki-jujutsu3 certificat attestant de la maîtrise des 118 techniques de base équivalent de nos jours au 5e dan (selon Rinjiro Shirata, le contenu de ce mokuroku est le même que celui du livre Budo Renshu publié en 1933).
On sait cependant qu'il adopta le système de Dan avant la Seconde Guerre mondiale puisque Shigemi Yonekawa reçut le 6e dan en 1940.
Le système des grades dan dans les Budō est développé au Japon par Jigorō Kanō dès le xixe siècle afin de remplacer le système traditionnel de certificats d'aptitude permettant d'enseigner (soit en succédant au maître, soit en fondant sa propre école).
Cela en créant des étapes intermédiaires, plus modernes et progressives, les grades kyū et dan.

Dans certaines écoles d'aïkido (car ce n'est pas systématique), le débutant se voit attribuer le grade sixième kyū, puis progresse jusqu'au premier kyū.
Les passages de grade kyū se font au dojo (lieu de pratique) par le professeur lui-même.
Puis, le pratiquant passe le premier dan (devant un jury ou son professeur en fonction des écoles et/ou des pays, certaines écoles traditionnelles n'admettent aucune forme d'examen, les grades sont accordés de manière discrétionnaire par le professeur qui observe l'évolution de ses élèves), le grade le plus élevé étant le dixième dan (accordé uniquement à titre posthume ou exceptionnellement pour des personnes de très haut niveau).

Il n'existe en aïkido que deux couleurs de ceinture : blanc et noir.
On porte la ceinture blanche du sixième au premier kyū, puis la ceinture noire à partir du premier dan.
Certains dojos utilisent des ceintures de couleurs (blanc, jaune, orange, vert, bleu, marron, noir) différentes pour marquer le niveau, et ainsi donner des repères de progression aux jeunes pratiquants, parfois aussi aux adultes.

Le hakama était la tenue communément portée dans les koryu (les écoles traditionnelles d'arts martiaux), bien que la forme et la couleur n’aient pas forcément été uniformisées, même au sein d'une même école (la formalisation provient probablement de la restauration Meiji) et un certain nombre de Budo modernes, dont l'aikido, ont gardé cet usage.
Il est dit que Ô sensei interdisait quiconque ne portant pas le hakama à entrer dans le dojo, même les visiteurs.
Cependant pendant la période d'après guerre, les élèves ne pouvaient plus se payer les hakama, Ô sensei autorisa donc ses élèves à pratiquer sans hakama le temps qu'ils économisent pour s'en payer un.
Depuis lors certains de ses élèves ont cru que le hakama avait une portée honorifique.
C'est pour cela qu'aujourd'hui beaucoup de professeurs autorisent le port du hakama lorsqu'ils estiment que le pratiquant a atteint un niveau suffisant.
Selon les dojos, cela se fait au troisième kyū (équivalent de la ceinture verte au judo) ou au premier kyū (équivalent à la ceinture marron) ou avant.
Toutefois, certaines écoles ne l'autorisent qu'à partir du premier dan.

La ceinture noire n'est pas une marque de maîtrise, le pratiquant de niveau premier dan est un étudiant (shodan) qui a acquis les bases.
Les usages peuvent toutefois varier d'une école à l'autre.
Dans certains dojos, l'étude, qu'on appelle bukiwaza, des techniques avec armes (bokken, jō, etc.) est considérée comme indissociable de l'étude des techniques à mains nues (taijutsu).
Une progression en parallèle dans ces deux domaines est obligatoire ; on ne peut, par exemple, prétendre passer le troisième kyū en taijutsu si l'on n'a pas atteint au minimum le quatrième kyū en bukiwaza, et inversement, de sorte qu'il y a à tout moment au plus un kyū, ou un dan, de différence entre le niveau dans ces deux domaines de pratique.




# Le Kiaï et les sons en aïkido (kototama ou kotodama)


Dans la tradition japonaise, les dieux (kamis) inspirent l'esprit des hommes par des mots, et en prononçant ces mots inspirés par les kamis, on fait se concrétiser les concepts ; c'est le kototama ou kotodama (言霊, on trouve les deux transcriptions), que l'on pourrait traduire par « mots-âmes » ou « paroles sacrées ».
Ce concept se rapproche des mantras bouddhiques, ou d'autres pratiques de transe.
En fait, les cinquante « sons » (syllabes) utilisés en japonais sont considérés comme étant chacun un kami ; le kotodama est le pouvoir spirituel attribué à la langue japonaise.

Outre son usage dans la religion shinto, le concept de kotodama est également utilisé dans certains budo (arts martiaux).

Habituellement, la pratique de l'aïkido est silencieuse.
Cependant, dans l'enseignement de Morihei Ueshiba, l'exécution des mouvements s'accompagne de l'articulation de sons par les participants, les kotodama.
C'était même un des points fondamentaux pour le créateur puisqu'il disait : « L'aïkido est une méthode de fusion avec kototama, l'esprit de l'univers. »
On ne le pratique habituellement plus de nos jours du fait de la complexité, il faut en effet coordonner les mouvements et la parole, ce qui ne peut se concevoir qu'avec une très bonne maîtrise des techniques.

Voici ce qu'en dit Gérard Blaize dans son article « Les mots de l'âme » :

« […] à un geste fixé correspond un son. Par exemple, un son quand la main monte, un autre quand elle descend vers le sol, un autre quand elle décrit un cercle, etc. […] En général, une technique d'aïkido est constituée par l'enchaînement de plusieurs gestes. Il faut donc combiner dans une seule technique les sons et les gestes qui correspondent ; ce qui offre beaucoup de risques d'erreur. »

Voici ce qu'en dit Morihei Ueshiba lui-même :

« Dans le bujutsu (techniques guerrières) il y a les cris : ei-ya-to-ha etc. Ce ne sont pas seulement ces quatre cris ; il y a autant de cris que de mots que les Japonais peuvent sortir. L'important est qu'avec la respiration du ciel et de la terre, la voix, le cœur (kokoro) et le rythme s'unifient ; cela devient le kototama ; ce dernier devient une arme qui sort et de plus cela doit s'unifier avec le corps. […] On coupe avec le son ei — on reçoit avec le son ya — on s'écarte avec le son to. »

On notera l'évocation de « la respiration du Ciel et de la Terre » (ten chi kokyu), récurrente dans les écrits de Ueshiba.
Cela peut se comprendre par : unir la volonté (l'esprit, le « Ciel ») au ventre (le centre de l'énergie, « la Terre »).
D'un point de vue pratique, cela peut se ramener à un contrôle de la respiration, qui permet de ne pas s'essouffler, d'économiser son énergie, et d'avoir une meilleure efficacité des mouvements.
Cette synchronisation entre le mouvement et le souffle se cultive notamment dans les exercices respiratoires, de circulation du ki (voir plus haut).

O Sensei disait encore, à propos de kototama :

« Tous les actes de l'homme révèlent le travail subtil du kototama. C'est l'écho des sons qui vous conduiront à une compréhension quand vous vous examinerez en vérité. L'aïkido, plus spécialement, est né à travers l'écho du son. »

Et encore

« Laissez les kototama s'infiltrer à l'intérieur de vous, mettre le feu à votre sang jusqu'à ce que tout votre corps se fige en un kototama. Imaginez que vous vous arrondissiez pour former un grand cercle, prononcez le kototama, et laissez-vous pénétrer de la sensation de l'univers à l'intérieur de votre propre corps. Cette pratique est source de lumière (la sagesse), de chaleur (la compassion) et d'énergie (la force véritable). »

Le kotodama est également pratiqué dans le nippon kenpō.










Swimming Ace arrivera le 17 juin chez Pika [GON] - Dim 8 Mar 2020 - 20:15









# Bloc Technique
Titre original : サマー・ソルト・ターン, Summer Salt Turn
Catégorie : Shonen
Genre : Tranche-de-vie, Sport
Nombre de tomes au Japon : 5 tomes en tout
Nombre de tomes en France : bientôt
Scénario : Inoryuu Hajime
Dessin : Hoshi Renji
Pré-publication : Gekkan Shônen
Editeur Japonais : Kôdansha
Editeur Français : Pika
Année : 2014
Prix : 7.50 €
Public Visé : + 12 ans







# Synopsis Editeur

En primaire, Eiichirô était un véritable prodige de la natation : il battait tous les records grâce à une croissance précoce !
Mais au collège, ses camarades nageurs ont fini par le dépasser et, face aux limites que lui a imposées sa taille, il fait le choix d’abandonner la discipline.
Quelques années plus tard, alors qu’il fréquente le lycée
Oohama, situé en bord de mer, Kôyô, un jeune nageur qui a toujours voulu se mesurer à lui, et Haru, la fille qu’il aime depuis l’enfance, vont lui redonner l’envie d’être le champion qu’il a été !







Waha

Hinomaru Sumo [GON] - Dim 16 Fév 2020 - 21:54





 



# Bloc Technique
Titre original : 火ノ丸相撲, Hinomaru Zumou
Catégorie : Shonen
Genre :  Sport, Tranche-de-vie
Nombre de tomes au Japon : 28 tomes en tout
Nombre de tomes en France :  18 tomes en cours
Scénario : Kawada
Dessin : Kawada
Magazine de pré-publication : Shônen Jump
Editeur Japonais : Shûeisha
Editeur Français : Glénat
Année : 2014
Prix : 6.90 €
Public Visé : + 12 ans







# Synopsis Editeur

Le club de sumo du lycée Ôdachi a beau être l’un des plus faibles de la ville, le jeune Hinomaru décide quand même de le rejoindre.
Il faut dire que ni sa taille ni son gabarit ne font de lui un futur sumo… Pourtant, ce nouveau venu pourrait bien se révéler beaucoup plus fort que prévu…
Réussira-t-il à atteindre le grade suprême de yokozuna ?!
Découvrez le parcours de ce lycéen hors norme dans le monde enflammé du sumo !
Malgré son thème improbable, Hinomaru sumo est un vrai shônen dans la pure tradition du Weekly Shônen Jump.
Passionné d'arts martiaux, Kawada qui signe là sa première série, présente le sumo comme un véritable sport de combat, énergique et viril.
Tout comme vous avez découvert le go avec Hikaru no go et le football américain avec Eye Shield 21, vous ne tarderez pas à vous passionner pour le sumo avec Hinomaru Sumo !









Le reste de la série :  Hinomaru SumoTag sport sur Akihabara no Sasayaki Ir?t=akihnobaka-21&l=ur2&o=8&camp=1642



Uchikomi! - l'Esprit du Judo arrivera chez Pika le 12 février [GON] - Ven 7 Fév 2020 - 22:28









# Bloc Technique
Titre original : ウチコミ!!, Uchikomi
Catégorie : Shonen
Genre : Sport, Tranche-de-vie
Nombre de tomes au Japon : 7 (en tout)
Nombre de tomes en France : bientôt
Scénario : Muraoka Yû
Dessin : Muraoka Yû
Magazine de pré-publication : Shônen Champion
Editeur Japonais : Akita Shoten
Editeur Français : Pika
Année : 2013
Prix : 7.50 €
Public Visé : + 10 ans







# Synopsis Editeur

Ren est un garçon de quinze ans complexé par sa petite taille. Maltraité par ses pairs face auxquels il se sent impuissant, il contient quotidiennement sa rage.
Mais le hasard amène ce lycéen à découvrir l’art qui saura faire éclore son talent insoupçonné : le judo.
Ren s’engage alors sur “la voie de la souplesse” avec une ardeur et une ténacité inlassables qui seront les clés de son ascension !







Waha

Full Drum - Lun 16 Sep 2019 - 23:05








# Bloc Technique
Titre original : フルドラム, Fulldrum
Catégorie : Seinen
Genre : Tranche-de-vie, Sport
Nombre de tomes au Japon : 5 (terminé)
Nombre de tomes en France : 1
Scénario : Hakoishi Tohru
Dessin : Hakoishi Tohru
Magazine de pré-publication : Young Jump
Editeur Japonais : Shûeisha
Editeur Français : Pika
Année : 2016
Prix : 7.50 €
Public Visé : + 12 ans







# Synopsis Editeur

Hino, jeune lycéen fougueux, n’a qu’une certitude : pour se trouver une petite amie, il faut s’illustrer dans un club de sport ! Cependant, il n’a aucune aptitude physique et se fait aussitôt recaler par tous les clubs qu'il teste… Mais sa rencontre avec Ayako, belle coach du club de rugby, bouleverse sa vie : Hino se lance alors tête baissée dans l’univers du ballon ovale pour s’attirer ses faveurs. C'est là le coup d'envoi d'une histoire de rugby où vaillance d’âme et noblesse se déchaîneront avec passion !







Waha

Blue Thermal [GON] - Dim 8 Sep 2019 - 16:19








# Bloc Technique
Titre original : ブルーサーマル-青凪大学体育会航空部-, Blue Thermal - Aonagi Daigaku Taiiku Kyoukaibu
Catégorie : Seinen
Genre : Tranche-de-vie, Sport
Nombre de tomes au Japon : 5 (terminé)
Nombre de tomes en France : 3
Scénario : Ozawa Kana
Dessin : Ozawa Kana
Magazine de pré-publication : Comic @ Bunch
Editeur Japonais : Shinchôsha
Editeur Français : Komikku Editions
Année : 2015
Prix : 8.50 €
Public Visé : + 14 ans
Extrait :







# Synopsis Editeur

Lorsque Tamaki s'inscrit à l'université, elle n'a qu'un objectif : trouver l'amour ! Pour cela, elle met de côté son côté garçon manqué et son passé de sportive qui faisaient fuir d'éventuels prétendants. Mais chassez le naturel, il revient au galop !
En effet, après avoir abîmé par accident un planeur, elle se retrouve dans une situation délicate : devoir rembourser les dégâts qui s'élèvent à 2 millions de yens! Inutile de préciser que la jeune fille n'a pas les moyens de payer une telle somme...
Elle rejoint alors contre son gré le club aéronautique de l'université Aonagi afin de réaliser diverses tâches pour s'acquitter de sa dette. Elle ne sait pas encore qu'elle va y trouver quelque chose de bien plus précieux.






Waha

Riku-Do - La rage aux poings - Mar 19 Fév 2019 - 23:12






Riku-Do - La rage aux poings




# Bloc Technique
Titre original : リクドウ, Rikudo
Catégorie : Seinen
Genre : Sport, Drame
Nombre de tomes : 18 tomes en cours au Japon, 12 en France
Scénariste : Matsubara Toshimitsu
Dessinateur : Matsubara Toshimitsu
Magazine de pré-publication : Young Jump
Editeur Japonais : Shûeisha
Editeur Français : Kaze Manga
Année : 2014
Prix : 7.99 €
Public Visé  : + 14 ans






# Synopsis Editeur

       Riku Azami est un jeune garçon dont la vie est placée sous le signe de la tragédie. À la suite de la mort de son père, Riku est retrouvé par un ancien boxeur devenu collecteur de dettes, Kyôsuke Tokorozawa, boxant avec rage le cadavre de son géniteur. Il demande à sa mère de vivre avec elle mais découvre avec horreur qu’elle vit avec un dealer aussi violent que sadique. Voyant sa mère maltraitée, il essaie de s’interposer et lui envoie un direct du droit avant de le tuer d’un coup de cendrier. Riku demande alors à Kyôsuke de lui enseigner la boxe afin de pouvoir défendre ceux qu’il aime. L’ex-champion de boxe refuse et l’envoie chez Shinji Baba, son ancien entraîneur. Ce coach sans pitié accepte de l’entraîner car il décèle du potentiel chez Riku…
   




# Vidéo
 
       https://youtu.be/M_MhkjcDdRM
   





Waha

Days [GON] - Mer 12 Oct 2016 - 23:18









# Bloc Technique
Titre original : デイズ, Days
Genre : Sport, Tranche-de-vie
Durée : 24 épisodes de 25 minutes
Auteur du manga : Tsuyoshi Yasuda
Chara-design : Kazuto Nakazawa
Réalisation : Kōnosuke Uda
Scénario : Kōnosuke Uda
Studio d'animation : MAPPA
Editeur Français : ADN - Voir les épisodes légalement :
Date de diffusion : 02/07/2016 au 17/12/2016
Site officiel :
Opening :
1: "Wake We Up" de Howl Be Quiet
2: "Higher Climber" de Howl Be Quiet
Ending :
1: "Everlasting Days" de Takuto Yoshinaga, Yoshitsugu Matsuoka, Daisuke Namikawa, Daisuke Ono, & Mamoru Miyano
2: "DAYS" de Shout it Out







# Synopsis Editeur

Une nuit d'orage, deux garçons se rencontrent.
Sans talent particulier, l'un, Tsukushi Tsukamoto, cache une passion dévorante pour le football.
L'autre, Jin Kazama, est un génie dans ce domaine mais solitaire.
Le vent du changement a commencé à souffler sur le monde du football alors que ces deux garçons, sans rien en commun, se rencontrent.
Le rideau se lève sur cette histoire palpitante et touchante.
Tsukushi rejoint le club de foot de Seikeki avec Kazama. Les rouages du destin se sont mis en marche.







Waha

Prince of Stride : Alternative - Mer 12 Oct 2016 - 21:48






Prince of Stride : Alternative




# Bloc Technique
Titre original : プリンス・オブ・ストライド オルタナティブ
Titre alternatif : PuriSuto
Genre : Sport, Action
Durée : 12 épisodes de 23 minutes
Auteur : Taku Kishimoto
Chara-designer : Kanako Nono (FiFS)
Réalisateur : Atsuko Ishizuka
Studio d'animation : Madhouse,  Media Factory
Licencié : Oui
Editeur Français : ADN - Voir les épisodes légalement en cliquant sur ce lien  
Année : 2016
Site officiel : http://pos-a.jp/
Opening : "Strider's High" de OxT
Ending : "Be My Steady" de Galaxy Standard







# Synopsis Editeur

L’histoire nous entraine dans le quotidien de Fujiwara Mikoto et Nana Sakurai, deux lycéens en première année à l’école Hônan. Ils sont tous deux membres du club de « stride », cette course urbaine de relais extrême dans laquelle des équipes mixtes composées de 6 membres s’élancent dans les rues de la ville. Leur club ne comptant que deux membres, ils cherchent à tout prix à en recruter pour pouvoir participer à l’une des plus grandes compétitions de stride : « The end of summer », qui accueillent d’autres lycéens à travers le Japon.






Classement des 10 animés ayant pour genre le sport qui inspirent les japonais [GON] - Dim 29 Mar 2015 - 22:14











Voici un classement réalisé par le site charapedia et relayé par le site adala-news.


10 000 votes pour départager les 84 animés ayant pour genre le sport.


1.) Kuroko no Basket (basketball)
2.) Slam Dunk (basketball)
3.) Haikyu!! (volleyball)
4.) The Prince of Tennis (tennis)
5.) MAJOR (baseball)
6.) Free! (natation)
7.) Captain Tsubasa (Olive et Tom) (football)
8.) En Selle Sakamichi (Yowamushi Pedal) (Cyclisme)
9.) Ace of Diamond (baseball)
10.) Inazuma Eleven (football)



– Classement posté précédemment sur le forum le 29 Mar 2015






Plus d'infos : adala-news




nikos

[Sport - Chine] Wushu [GON] - Jeu 30 Oct 2014 - 23:50









Voici un article sur le wushu repris sur wikipedia !

Le wushu (chinois : 武術 ; pinyin : wǔshù ; litt. « art martial ») ou wushu moderne est le sport de compétition des arts martiaux chinois traditionnels.

Il a été créé en République populaire de Chine après 1949.
La majorité des formes martiales (taolu) présentées en compétition, ont été définies par des comités désignés par le gouvernement, d'après des formes traditionnelles.
À l'époque actuelle, le wushu est devenu un sport international à l'initiative de la Fédération internationale de wushu (IWUF), qui organise des championnats mondiaux tous les deux ans.







# Histoire



Après la proclamation de la République de Chine en 1912 par Sun Yat-sen (Sun Zhongshan en mandarin), le pays s'ouvre à l'influence occidentale dans des domaines divers : scientifiques, techniques mais aussi sportifs.

Il y a une tentative de repenser les arts martiaux chinois traditionnels dans une perspective plus « moderne » : préparations physiques, spécificités des échauffements, hygiène du sportif, conceptions gymniques des mouvements, etc. C’est-à-dire mettre en place les bases d'une « éducation physique » des arts martiaux.

1909 : création de l'« Association Athlétique de la Connaissance Martiale » (Jingwu Tiyu Hui) à Shanghai.
1911 : le Jingwu Tiyu Hui ouvre des écoles dans toute la Chine mais aussi à Saigon (Vietnam), à Singapour, en Malaisie, …
1927 : fondation de l'« Institut Central de l'Art National » (Zhong Yang Guo Shu Guan 中央國術館) à Nanjing (Nankin)
1928 : à Nanjing, organisation de la première compétition nationale d'arts martiaux chinois par l'Institut Central de l'Art National. Officialisation du terme Shuaijiao pour nommer la lutte dérivée du jiaoli.
1950 : premières volontés politiques d'unification du wushu dans le but de contribuer à la santé de la population, lors d'une grande réunion de toutes les provinces de la Chine sous l'égide du Parti communiste chinois.
1953 : création du premier festival officiel de Gong fu Wushu de la République populaire de Chine.
1954 : premiers cours de wushu à l'Université des Sports de Nankin.
1956 : la « Commission Nationale d'Éducation Physique » (Guojia Ti Wei) réalise une synthèse de plusieurs boxes du nord de la Chine afin de créer une boxe plus « sportive ». Cette boxe fut appelée Chang quan (long poing ou boxe longue). Ce Chang quan moderne se voulait une synthèse officielle de plusieurs boxes chinoises : Cha quan, Hua quan, Pao quan et Hong quan, toutes choisies pour leurs qualités gymniques (tonicité, étirement) et chorégraphiques.
Création officielle de la section wushu au Centre National des Sports de Pékin (équivalent de notre Fédération) et de douze ligues dans les provinces. Politique de développement du wushu par la mise en place de démonstrations avec classement selon le niveau de pratique.

1957 : mise en place de compétitions avec des règles établies, d'où émergent les premiers champions reconnus. À cette occasion, est édité le premier règlement : « Jing Saï Tao Lu » sur le Chang quan, le Nan quan et le Taiji quan.
Parallèlement, un deuxième livre est publié afin de promouvoir ces disciplines, pour encourager la jeunesse à développer « un esprit sain dans un corps sain ».
Ce livre décrit les pratiques de compétition à mains nues et avec armes, en fonction des niveaux.

1968 : pendant « la révolution culturelle » les écoles de wushu sont fermées, les professeurs sont accusés de propager un art féodal et envoyés en rééducation, de nombreuses archives sont détruites.
1972 : après les excès et destructions de la révolution culturelle, est décidé un grand recensement national des styles, écoles et professeurs de wushu par les Instituts des Sports de Province. Environ 200 styles sont recensés et de nombreux autres inclassables ou incomplets ne sont pas répertoriés. Des documents cinématographiques, écrits, photos sont recueillis et donnent lieu à des expositions itinérantes. Ces archives « dorment » dans les bibliothèques des Instituts des Sports et demanderaient à être utilisées.
À l'instauration des compétitions, le Centre National des Sports a dû trouver des règles communes à la multitude des styles pratiqués en Chine. Tous les styles traditionnels du nord ont été regroupés sous le terme de « Chang quan » et tous ceux du sud, sous le terme de « Nan quan ». Chacune de ces deux disciplines a repris les critères communs et les particularités pertinentes des styles anciens concernés, pour en montrer la quintessence.

1990 : pour des raisons idéologiques ou démonstratives (?) les styles modernes Chang quan et Nan quan perdent leurs caractères martiaux et dérivent vers des pratiques gymniques et acrobatiques. Le même changement apparaît dans les styles d'imitations animalières, les styles de Shaolin ou les styles internes de compétition.
La fracture entre styles traditionnels et styles modernes semble aujourd'hui complètement institutionnalisée par la création en Chine d'une Fédération Chinoise des Arts Martiaux Traditionnels.
Le wushu est aujourd'hui une discipline sportive avec une fédération internationale (IWUF), des fédérations continentales et des fédérations nationales (Fédération Française de Karaté et Disciplines Associées) toutes reconnues par le comité international olympique (CIO). Les championnats du monde ont lieu tous les deux ans. Trois compétitions ont lieu durant les championnats internationaux : compétition de San Da, compétition de taolu (enchaînements) et compétition de taiji quan. Le premier championnat du monde de wushu a eu lieu à Pékin en 1991.

À partir des années 2000, le wushu arrive aux États-Unis et fait son apparition dans de nombreux pays européens.
Des tournois pour adultes et enfants sont organisés en Europe et aux États-Unis.







# Disciplines

Formes à mains nues :

Chang quan (boxe longue du Nord)
Nan Quan (boxe courte du Sud)
Tai-chi-chuan (style du Taï-chi)

Formes avec armes :
Dao (sabre)
Jian (épée)
Taiji jian (épée du Taï-chi)
Nandao (sabre du Sud)
Gun (bâton)
Qiang (lance)
Nangun (bâton du Sud)

Combat :
Sanda






# Démonstration de wushu









– Koreus
Pendant les championnats du monde de Wushu, deux femmes ont fait une démonstration impressionnante de cet art martial, où le droit à l'erreur n'est pas permis.
Durant cette chorégraphie, une des deux femmes essaie de donner des coups de lance (Qiang) très rapide à son adversaire qui doit les esquiver.
Le terme wushu signifie littéralement art martial en chinois









Plus d'infos :





Waha

Kuroko's Basket [GON] - Jeu 15 Sep 2011 - 23:40






# Bloc Technique
Titre original : 黒子のバスケ, Kuroko no Basket
Catégorie : Shônen
Genre : Action, Sport
Nombre de tomes au Japon : 30 tomes en tout
Nombre de tomes en France : 30 tomes en tout
Scénario : Tadatoshi Fujimaki
Dessin : Tadatoshi Fujimaki
Pré-publication : Weekly Shônen Jump
Éditeur japonais : Shûeisha
Éditeur Français : Kazé Manga
Année : 2009
Prix : 6.79 €
Public Visé : + 12 ans





# Synopsis Editeur

C'est la rentrée au club de basket-ball du lycée Seirin et cette année, deux rookies se démarquent...
D'un côté, le volcanique Taiga Kagami, fraîchement revenu des États-Unis où il a fait ses armes sous les arceaux.
De l'autre, le chétif et très effacé Tetsuya Kuroko dont on murmure qu'il aurait fait partie de l'équipe de basket du collège Teikô, la légendaire “Génération Miracle” !
Et si ces deux joueurs que tout oppose étaient amenés à se compléter à merveille sur le terrain ?





kira47

Prince of Tennis [GON] - Jeu 24 Fév 2011 - 22:37









# Bloc Technique
Titre original : テニスの王子様, Tenisu no Ōjisama
Titre alternatif : The Prince of Tennis
Genre : Comédie, Sport
Durée : 178 épisodes de 22 minutes
Auteur du manga : Takeshi Konomi
Chara-design : Akiharu Ishii
Réalisation : Takayuki Hamana
Scénario : Masashi Sogo (eps 1-75), Atsushi Maekawa (eps 102-178),Atsuhiro Tomioka (eps 76-101)
Studio d'animation : Trans Arts Co.
Editeur Français : Mabell - Voir les épisodes légalement : crunchyroll
Date de diffusion : 10/10/2001 au 23/03/2005
Site officiel :
Opening :

  • 01: "Future" by Hiro-X (Eps 1-26)

  • 02: "Driving Myself" by Hiro-X (Eps 27-53)

  • 03: "Make You Free" by Kimeru (Eps 54-75)

  • 04: "Long Way" by Ikuo (Eps 76-101)

  • 05: "Fly High" by Toshihiko Matsunaga (eps 102-128)

  • 06: "Shining" by Yuki Shirai (eps 129-153)

  • 07: "Paradise" by Yuki Shirai (eps 154-165)

  • 08: "Dream Believer" by Osami Masaki (eps 166-178)


Ending :

  • 01: "You got Game" by Kimeru (Eps 1-26)

  • 02: "Keep your style" by Masataka Fujishige (Eps 27-35,38-39,41-47,49-53)

  • 03: "Walk On" by Masataka Fujishige (Eps 36-37,40,48)

  • 04: "White Line" by Aozu (Eps 54-75)

  • 05: "Kaze no Tabibito" by Fureai (Eps 76-101)

  • 06: "Sakura" by Yomu Hamaguchi (Eps 102-140)

  • 07: "Wonderful Days" by Pull Tab to Can (eps 141-165)

  • 08: "Little Sky" by Kentaro Fukushi (eps 166-178)









#

[Voix off : Silence sur le cour, Kira47 au service]

Et un superbe « twiste serve » balancé par kira47,
il a été rattrapé in extremis par son adversaire, cette fois c’est un « drive B », l’adversaire semble en difficulté mais non, il arrive a la renvoyer dans l’angle gauche, Kira47 ne semble pas déstabilisé, qu’est-ce qu’il fait, il change sa raquette de main : incroyable, serait il gaucher en faite ??
Il la renvoie facilement avec un « snake ».
Son adversaire tient bon et avec un effort considérable parvient à rattraper la balle.
Kira47 tente un amorti, non cette position c’est…..
L’adversaire monte au filet mais il n’a aucune chance face au « Zero-Shiki Drop Shot »
Kira47 lève sa raquette vers son adversaire : Mada mada Dane.

Vous ne comprenez pas tout ??
ça veut dire que vous ne connaissez pas l’animé que je vais vous présenter.
Vous avez sûrement compris qu’il s’agit d’un animé sur le tennis, mais pas n’importe lequel, je veux bien sure parler de Prince of tennis !!




# Mon Synopsis


Ryoma Echizen est un jeune prodige du tennis de 12 ans.
Il est de retour au Japon après avoir passé un petit moment au États-Unis et y avoir remporté plusieurs tournois.
Il rejoint donc le collège Seishun Gakuen appelé aussi Seigakuk, Collège autrefois fréquenté par son père, Nanjirou Echizen, qui était un joueur pro mondialement connu sous le nom de Samurai Nanjiro.
Il ne tardera pas a se faire remarquer, tant par ces compétences que par son attitude, et ne rate pas l’occasion de jouer des matches contre ses aînés, et a chaque victoire il leur sort sa phrase fétiche « Mada mada dane » (qui peut être traduite par « t’a encore du chemin à faire »).

Echizen possède déjà plusieurs coup spéciaux, mais le niveau des adversaires augmente au fur et à mesure de la compétition, l’obligeant a maîtriser de nouvelles techniques (cela est aussi le cas pour ses coéquipiers ^^).
Outre les tournois, des challengers de taille pour Echizen sont présents au sein même de son équipe, comme Fuji Syuuske, surnommé le « génie » du tennis et le capitaine de l’équipe Tezuka Kunimitsu considéré par plusieurs personne comme quasiment pro.





# Mon Avis

Cette série parle donc du tennis mais elle possède aussi des touches d’humour (méfiez vous du Inui super Juice Delux ^^) et avec parfois des épisodes carrément délires avec tous les perso en chibi.

Donc vous voulez savoir comment s’en sortira notre petit « prince du tennis » et ses amis ?
Vous savez donc ce qui vous reste à faire !!!!





# Note

- La suite, Shin Prince of Tennis a aussi eu le droit à un animé en 2012
- Pour les 20 ans de la série (en 2022), on retrouve à nouveau Ryoma Echizen mais cette fois ci dans la U-17 World Cup
- La série Shin Tennis no Ouji-sama : U-17 World Cup Semifinal est annoncée pour 2024






Waha

All Rounder Meguru - Lun 10 Jan 2011 - 23:23






All Rounder Meguru




# Bloc Technique
Titre original : オールラウンダー廻, All Rounder Meguru
Catégorie : Seinen
Genre : Sport, Tranche-de-vie
Nombre de tomes : 19 tomes en tout au Japon, 3 en France (stoppé ??)
Scénariste : Endo Hiroki
Dessinateur : Endo Hiroki
Magazine de pré-publication : Evening
Editeur Japonais : Kôdansha
Editeur Français : Panini
Année : 2009
Prix : 8.99 €







# Synopsis Editeur

Meguru et Takashi étaient des amis d’enfance passionnés de karaté. Ils se sont perdus de vue suite au déménagement de Meguru. Sept ans plus tard, ce dernier décide d’apprendre le Shooto. À son grand étonnement, il retrouve Takashi à l’occasion de son premier combat mais ces retrouvailles ne sont en rien heureuses : pas d’accolades fraternelles ou de poignées de main amicales ! Leur rencontre est au contraire violente et froide. Takashi a beaucoup changé et semble porter un lourd passé. Une rivalité naît alors entre les deux jeunes hommes.


 



Waha

Air Gear [GON] - Dim 2 Jan 2011 - 1:32









# Bloc Technique
Titre original : エア・ギア, Air Gear
Catégorie : Shonen
Genre : Action, Sport
Nombre de tomes au Japon : 37 tomes en tout
Nombre de tomes en France : 37 tomes en tout
Scénario : OH! Great
Dessin : OH! Great
Pré-publication : Shônen Magazine
Éditeur japonais : Kôdansha
Éditeur Français : Pika
Année : 2003
Prix : 6.95 €
Public Visé : + 12 ans








# Blabla

Ohayo la populace !
Welcome to the best world, teh School Wald !!!

Mes condoléances à tous mes confrères qui subissent la reprise, et un kiss à mes consoeurs jolies et de mon âge x)

Bref bref, après être passé pour un otaku vu la coupe de manga, mais surtout la coupe de taré, il s'est rien passé de spécial. OSEF de la life d'un lycéen quand y'en a beaucoup d'autres derrière =D

J'ai promis de présenter un manga, je vais le présenter... C'en sera aussi dur pour moi de tenir mon poste de newseur, mais j'ai déjà promis des posts pendant l'absence de Waha et de Nikos, donc je tiendrai ma parole ! C'est mon nindô è_é

Allez, tout de suite, Air Gear !

Allez allez, dans ce jeu de la mort qu'est la fraude, il ne faut pas se faire chopper.
Surtout, bien écouter si personne ne vient, et surtout, faire mine de faire des devoirs avec le carnet de correspondance sur les genoux....
Bon ok, j'avoue, on m'a permis de venir quelques instants puisque j'avais fini le mini boulot.







# Mon Synopsis


Itsuki Minami, plus connu sous le prénom d'Ikki, et connu pour être le Babyface (surnom qui le désigne/il est aussi chef du gang) des Higachûs (Higashi Guns), le clan de l'Est de la ville. L'histoire débute avec une bataille entre les Higachûs et le gang de l'Ouest.
Après avoir battu tous ses opposants à lui seul, il remporte le territoire pour l'année, puis il s'en va avec Noyamano Ringoson amie d'enfance - sa soeur même - faire des courses... Rentré chez lui, il se fait directement latté par une de ses sœurs aînées Mikan, puis s'étant trompé dans ses courses, il reçoit une deuxième raclée de la part de l'aînée de la famille, Rika.
Nous apercevons entre autre la petite Ume, cadette des quatre soeurs Noyamano.

Pour vous messieurs x) rappelons-le, ce manga est un manga ecchi xD

Il faut savoir que depuis tout petit, Ikki vit avec elles, ses parents l'ayant laissé aux soins des Noyamano, qui eux aussi n'ont plus de parents. Jusqu'à ce que l'aînée travaille, il y eut quelques difficultés financières.

Après avoir été privé de viande, ligoté et sequestré, Ikki pète son câble et se venge à sa manière (lisez pour savoir ^^) et s'enfuit à toute vitesse de la maison, préférant aller s'installer à un endroit tranquille, ou il aperçoit cette jolie demoiselle qui vole comme une hirondelle dans le ciel, grâce à ses rollers trafiqués qui portent le nom d'Air Trecks, abrégés par ATs.
L'observant tous les jours de ses yeux admiratifs, il n'osera la rejoindre en pratiquant à son tour les ATs.

Mais que sont les ATs ?
Les ATs sont la nouvelle technologie très à la mode.
Dans un monde futuriste, Ogure Itoh met en place les ATs, des rollers dotés d'un moteur pouvant aller jusqu'à 80 km/h en général.
Bien sûr, cette technologie crée beaucoup de problèmes, surtout des accidents et des détériorations des bâtiments etc. (les riders courent sur les toits aussi !)

Un jour, sa vie bascule : en allant à sa planque avec son gang, il découvre l'un de ses meilleurs amis Kazu, qui le pousse en hâte dans un hangar, où se gîtent les membres du gang sous les ATs d'un célèbre gang : les Skullsaders.
Cherchant à les vaincre pour venger son gang, et ne pouvant sauver ni les garçons, ni les filles (surtout elles), il se fait lamentablement exploser.
Depuis, tout le monde lui tournera le dos, et il perdra goût à la bataille, après avoir subi une défaite totale, menant tout le gang dans la dispersion.
C'est à ce moment-là que débarquent trois de ses sœurs (l'aînée Rika étant partie un certain temps pour le "travail") pour le consoler d'une manière assez... inattendue.

Elles apparaissent avec des ATs aux pieds, et décident de l'emmener à la découverte du ciel en volant avec leurs "ailes" aux pieds.
Finalement, ce sera ce qui amènera Ikki dans le monde des ATs...






# Mon Avis

Beaucoup de spoil du premier chapitre, certes, mais vous entrez, par mes mots, dans ce manga !
Désolé si je vous choque, mais lisez bien la suite du manga







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