LA communauté sur la culture Geek et Japonisante qui ne se prend pas la tête ! (Japanim', Geekeries, Bakattitude et tout ce qu'il faudra pour t'amuser joyeusement !)

Le deal à ne pas rater :
Pokémon EV06 : où acheter le Bundle Lot 6 Boosters Mascarade ...
Voir le deal


1 résultat trouvé pour Jirô_Taniguchi

Waha

Jirô Taniguchi [Mangaka] [GON] - Lun 13 Fév 2017 - 19:28










# Bloc Technique
Nom : Jirō Taniguchi (谷口 ジロー, Taniguchi Jirō)
Date de naissance : 14 août 1947
Lieu de naissance : Tottori (préfecture de Tottori, Japon)
Date de décès : 11 février 2017 (à 69 ans)
Lieu de décès : Tokyo (Japon)
Maître : Kyūta Ishikawa
Editeurs associés : Shōgakukan, Futabasha, Kōdansha, Akita Shoten
Œuvres majeures : Terre de rêves, Au temps de Botchan, Icare, L'Homme qui marche, Le Sommet des dieux, Quartier lointain, Le Journal de mon père,Un zoo en hiver






# Description reprise sur wikipedia

Jirō Taniguchi (谷口 ジロー, Taniguchi Jirō) est un auteur japonais de mangas seinen et gekiga, né le 14 août 1947 à Tottori (préfecture de Tottori) au Japon et mort le 11 février 2017 à Tokyo.




# Biographie reprise sur wikipedia


Jirō Taniguchi naît le 14 août 1947 à Tottori au Japon, d'une famille « endettée, assez pauvre » : son père est coiffeur, sa mère femme de ménage et employée de pachinko.
Enfant à la santé fragile, il passe beaucoup de temps à lire et à dessiner.

Lecteur dans sa jeunesse de mangas shōnen, il s'intéresse au seinen et au gekiga à partir de la fin des années 1960 sous l'influence de Yoshihiro Tatsumi et du magazine Garo.

Il décide de devenir mangaka en 1969, et monte alors à Tokyo où il devient l'assistant de Kyūta Ishikawa, pendant cinq ans. Il publie sa première bande dessinée en 1970 : Kareta heya, répond à quelques commandes de mangas érotiques, puis devient assistant de Kazuo Kamimura. C'est à cette époque qu'il découvre la bande dessinée européenne, alors inconnue au Japon, et dont le style (netteté et diversité du dessin), notamment celui de la ligne claire, va fortement l'influencer.

Il finit par prendre son indépendance et s'associe dans les années 1980 avec les scénaristes Natsuo Sekikawa (également journaliste) et Caribu Marley, avec lesquels il publiera des mangas aux styles variés : aventures, policier, mais surtout un manga historique, Au temps de Botchan, sur la littérature et la politique dans le Japon de l'ère Meiji. C'est à cette époque qu'il décide de limiter ses sorties éditoriales, bien qu'il travaille toujours « huit à neuf heures par jour ».

À partir des années 1990, il se focalise sur les choses de la vie quotidienne, et sur les relations entre êtres humains, mais aussi entre les hommes et les animaux, avec L'Homme qui marche et Terre de rêves. Suivront L'Orme du Caucase, Le Journal de mon père et Quartier lointain, édités en France dans la collection Écritures de l'éditeur Casterman.
Autour du thème de la relation entre l'homme et la nature, il s'attache particulièrement à l'alpinisme, avec K, Le Sauveteur, Le Sommet des dieux et avec la nouvelle La Terre de la promesse (dans le recueil Terre de rêves).

Reconnu en France, le grand public japonais le découvre en 2012 avec à l'adaptation en série télé du Gourmet solitaire.
Son atelier se trouve dans le quartier de Kumegawa (久米川) de la ville de Higashimurayama (banlieue ouest de Tokyo).
Jirō Taniguchi s'éteint le 11 février 2017 à l'âge de 69 ans, à Tokyo, des suites d'une longue maladie. Il venait de terminer le premier volume d'une nouvelle œuvre qui aurait dû en compter trois, La Forêt millénaire.





# Regards sur l'œuvre repris sur wikipedia


À ses débuts, Jirō Taniguchi s'inspire avec Natsuo Sekikawa du roman noir américain, avec pour objectif d'en faire une version BD humoristique, sans grand succès. Il est également influencé par les romans animaliers, notamment ceux d'Ernest Thompson Seton dont il s'inspire pour Blanca (du nom d'un des chiens de Lobo the King of Currumpaw), et à qui il rendra hommage dans Seton.

Ses histoires plus récentes traitent de thèmes universels comme la beauté de la nature, l'attachement à la famille ou le retour en enfance. Il s'inspire d'ailleurs de sa vie personnelle : souvenirs de son enfance à Tottori dans Le Journal de mon père et Quartier lointain, débuts de mangaka à Tokyo dans Un zoo en hiver, ou relations avec ses animaux domestiques dans Terre de rêves. La place de l'animal et de la nature dans l'existence des hommes est une question qui est au centre de sa création.

De plus, d'après lui il est « l'un des rares auteurs de manga à dessiner des animaux, ce qui m'incite à pousser ma réflexion et mon travail sur le sujet ».

Sur son attrait pour les choses du quotidien, Jirō Taniguchi déclare :
« Si j'ai envie de raconter des petits riens de la vie quotidienne, c'est parce que j'attache de l'importance à l'expression des balancements, des incertitudes que les gens vivent au quotidien, de leurs sentiments profonds dans les relations avec les autres. [...] Dans la vie quotidienne, on ne voit pas souvent des gens hurler ou pleurer en se roulant par terre. Si mes mangas ont quelque chose d'asiatique, c'est peut-être parce que je m'attache à rendre au plus près la réalité quotidienne des sentiments des personnages. Si on y pénètre en profondeur, une histoire peut apparaître même dans les plus petits et les plus banals événements du quotidien. C'est à partir de ces moments infimes que je crée mes mangas. »

Son dessin, bien que caractéristique du manga, est cependant accessible aux lecteurs qui ne connaissent que la bande dessinée occidentale. Taniguchi dit d'ailleurs trouver peu d'inspiration parmi les auteurs japonais, et est plus influencé par des auteurs européens, tels Jean Giraud, avec qui il a publié Icare, ou François Schuiten, proche comme lui de La Nouvelle Manga, mouvement initié par Frédéric Boilet, le promoteur du manga d'auteur en France. Il finit ainsi par sortir en France, en 2007, un titre sous le format de bande dessinée, La Montagne Magique, prépublié au Japon en décembre 2005 au format classique, puis une série de quatre tomes intitulée Mon Année à partir de novembre 2009, en collaboration avec le scénariste Jean-David Morvan, en attente de prépublication au Japon.

Jirō Taniguchi se dit également influencé par le cinéaste Yasujirō Ozu, chez qui on retrouve le même rythme et la même simplicité :
« C'est une influence directe. J'ai été marqué par Voyage à Tokyo et Printemps tardif. Je les ai vus enfant, mais sans en apprécier toute la portée. Je m'y suis vraiment intéressé quand j'avais 30 ans. J'aime l'universalité et l'intemporalité de ses histoires et la simplicité efficace avec laquelle il les raconte. Aujourd'hui, j'y pense à chaque fois que je dessine un manga. »

Outre Voyage à Tokyo, ses films préférés sont Barberousse d'Akira Kurosawa et Le Retour d'Andreï Zviaguintsev. Et pour lui, Osamu Tezuka, Utagawa Hiroshige, Edward Hopper, Vincent van Gogh et Gustav Klimt sont les cinq plus grands dessinateurs de l'Histoire.




# Œuvres

Années 1970 :



  • Kareta heya (嗄れた部屋, littéralement « Une chambre rauque »), 1970

  • Lindo! (リンド!), 1978, 4 volumes, réédité en 2004 en 1 volume, scénario de Natsuo Sekikawa

  • Mubōbi toshi (無防備都市, litt. « Une ville sans défense »), 1978, 2 volumes, scénario de Natsuo Sekikawa



Années 1980 :



  • Trouble Is My Business (事件屋稼業, Jiken-ya kagyō), 1980 (Kana, 2013-2014), scénario de Natsuo Sekikawa

  • Ōinaru Yasei (大いなる野生, litt. « Les Grandes Régions Sauvages »), 1980, recueil de 7 nouvelles, augmenté à 10 lors de sa réédition en 1985

  • Ao no senshi (青の戦士, litt. « Le Soldat en bleu »), 1980-1981, scénario de Caribu Marley

  • Hunting Dog (ハンティングドッグ), 1980-1982, 2 volumes

  • Live! Odyssey (LIVE!オデッセイ, Live ! Odessei), 1981, 3 volumes, 2 lors de ses rééditions en 1987 et 1998, scénario de Caribu Marley

  • Knuckle Wars (ナックルウォーズ), 1982-1983, 3 volumes, 2 lors de sa réédition en 1988, scénario de Caribu Marley

  • Shin-jiken-ya kagyō (新・事件屋稼業), 1982-1994, 4 volumes, 5 lors de sa réédition de 1994, 6 lors de celle de 1996, scénario de Natsuo Sekikawa

  • Seifū ha shiroi (西風は白い, litt. « Le Vent d'ouest est blanc »), 1984, recueil de 8 nouvelles, scénario de Natsuo Sekikawa

  • Rude Boy (ルードボーイ, Rūdo bōi), 1984-1985, collaboration avec Caribu Marley

  • Blanco (ブランカ, Buranka), 1984-1986 (Casterman sous le titre Le Chien Blanco, 1996, puis volumes 1 et 2, 2009), 2 volumes
  • Enemigo, 1985 (Casterman, 2012), scénario de M.A.T.

  • Tokyo Killers (海景酒店 Hotel Harbour View, Kaikei shuten Hotel Harbour View), 1986 (Kana, 2016), scénario de Natsuo Sekikawa
  • K (ケイ), 1986 (Kana, 2006), scénario de Shirō Tōzaki

  • Au temps de Botchan (ぼっちゃんの時代, Botchan no jidai), 1987-1996 (Le Seuil, 2002-2006, Casterman, 2011-2013), scénario de Natsuo Sekikawa, fresque en cinq volumes évoquant l'ère Meiji et ses écrivains

  • Ice Age Chronicle of the Earth (地球氷解事紀, Chikyū hyōkai-ji-ki), 1987-1988 (Casterman, 2015), 2 volumes

  • Encyclopédie des animaux de la préhistoire (原獣事典, Genjū jiten), 1987-1990 (Kana, 2006), one shot

  • Garôden (餓狼伝, Garōden), 1989-1990 (Casterman, 2011), scénario de Baku Yumemakura, one shot



Années 1990 :



  • Samurai non grata (サムライ・ノングラータ, Samurai-nongurāta), 1990-1991, scénario de Toshihiko Yahagi

  • L'Homme qui marche (歩くひと, Aruku hito), 1990-1991 (Casterman, 1995), one shot

  • Benkei in N.Y., 1991-1995, scénario de Jinpachi Mōri

  • Kaze no shô, le livre du vent (風の抄, Kaze no shō), 1992 (Panini Comics, 2004), one shot, scénario de Kan Furuyama

  • Terre de rêves (犬を飼う, Inu o kau, litt. « Élever un chien »), 1991-1992 (Casterman, 2005), recueil de cinq nouvelles

  • L'Orme du Caucase (人びとシリーズ「けやきのき」, Hitobito Shirīzu : Keyaki no ki, litt. « Série sur les humains : Le Zelkova
  • du Japon »), 1993 (Casterman, 2004), recueil de 8 nouvelles, scénario de Ryūichirō Utsumi
  • Mori e (森へ, litt. « vers la forêt »), 1994

  • Le Journal de mon père (父の暦, Chichi no koyomi), 1994 (Casterman, 1999-2000, 3 vol., puis 2004, 1 vol.), one shot

  • Le Gourmet solitaire (孤独のグルメ, Kodoku no gurume), 1994-1996 (Casterman, 2005), one shot, scénario de Masayuki Kusumi

  • Blanco (神の犬 ブランカII, Kami no inu Buranka II, litt. « Le Chien divin, Blanca II »), 1995-1996 (Casterman, volumes 3 et 4, 2010), 2 volumes

  • Icare (イカル, Ikaru), 1997 (Kana, 2005), one shot, scénario de Mœbius

  • Quartier lointain (遥かな町へ, Haruka-na machi e), 1998 (Casterman, 2002-2003, 2 vol.), 2 volumes

  • Tōkyō genshi-kō (東京幻視行), 1999

  • Le Sauveteur (捜索者, Sōsakusha, litt. « L'enquêteur »), 1999 (Casterman, 2007), one shot




Années 2000 :



  • Le Sommet des dieux (神々の山嶺, Kamigami no Itadaki), 2000-2003 (Kana, 2004-2005), 5 volumes, scénario de Baku Yumemakura

  • Sky Hawk (天の鷹, Ten no taka, litt. « Le Faucon du ciel »), 2001-2002 (Casterman, 2002)

  • Le Promeneur (散歩もの, Sampo mono), 2003-2005 (Casterman, 2008), scénario de Masayuki Kusumi

  • L'Homme de la toundra (凍土の旅人, Tōdo no tabibito), 2004 (Casterman, 2006), recueil de 6 nouvelles

  • Un ciel radieux (晴れゆく空, Hareyuku sora), 2004 (Casterman, 2006), one shot

  • Seton (シートン, Shīton), 2004-2006 (Kana, 2005-2008), 4 volumes indépendants parus, scénario de Yoshiharu Imaizuma sur Ernest Thompson Seton

  • La Montagne magique (魔法の山, Mahō no yama), prépublié en 2005 (Casterman, 2007), one shot

  • Les Années douces (センセイの鞄, Sensei no kaban, litt. « Le Sac du professeur »), 2008 (Casterman, 2010-2011), 2 volumes, d'après le roman de Hiromi Kawakami

  • Un zoo en hiver (冬の動物園, Fuyu no dōbutsuen), 2008 (Casterman coll. « Écritures », 2009), one shot

  • Mon année, 2009, 1 volume sur 4, scénario de Jean-David Morvan

  • Jirô Taniguchi, une anthologie (谷口ジロー選集, Taniguchi Jirō Senshū, litt. « Sélection/anthologie de Jirō Taniguchi  ») : Inu o kau to 12 no tanpen (犬を飼うと12の短編, litt. « Élever un chien et 12 histoires courtes »), 2009 (Casterman, 2010), one shot regroupant les recueils Inu o kau (Terre de rêves) et Tōdo no tabibito (L'Homme de la toundra), ainsi que deux nouvelles inédites : La Lune finissante (秘剣残月, Hiken zangetsu) et Une lignée centenaire (百年の系譜, Hyakunen no keifu)




Années 2010 :



  • Nazuke enumono (名づけえぬもの), 2010

  • Furari (ふらり。, Furari.), 2011 (Casterman, 2012), one shot inspiré de la vie de Tadataka Inō

  • Les Enquêtes du limier (猟犬探偵, Ryōken tantei), 2011-2012 (Casterman, 2013), 2 volumes, d'après le roman St Mary no ribbon (セント・メリーのリボン, Sento Merī no ribon) d’Itsura Inami

  • Les Contrées sauvages (荒野より, Kōya yori), 2012 (Casterman, 2014, 2 volumes), recueil de nouvelles reprenant notamment Nazuke enumono

  • Les Gardiens du Louvre (千年の翼、百年の夢, Chitose no tsubasa, hyaku nen no yume, litt. « Ailes de mille ans, rêve de cent ans »), 2014 (Louvre éditions/Futuropolis, 2014), one shot

  • Elle s'appelait Tomoji (とも路, Tomoji), 2014 (Rue de Sèvres, 2015), one shot, avec Miwako Ogihara

  • Rêveries d'un gourmet solitaire (孤独のグルメ2, Kodoku no gurume 2), 2014 (Casterman, 2016), one shot, scénario de Masayuki Kusumi




Œuvres collaboratives



  • Frédéric Boilet, Tōkyō ha boku no niwa (東京は僕の庭), 1997 (Tokyo est mon jardin, 1998). Jirō Taniguchi n'a réalisé que les trames de cet album.

  • Natsu no sora (夏の空, litt. « Le Ciel d'été »), nouvelle de douze pages dans le recueil Japon, 2005, dirigé par Frédéric Boilet, avec Moyoko Anno, Aurélia Aurita, Frédéric Boilet, Nicolas de Crécy, Étienne Davodeau, Little Fish, Emmanuel Guibert, Kazuichi Hanawa, Daisuke Igarashi (en), Taiyō Matsumoto, Fabrice Neaud, Benoît Peeters, David Prudhomme, François Schuiten, Joann Sfar et Kan Takahama.

  • L'Homme qui dessine, 2012, entretiens avec Benoît Peeters.




Artbook



  • L'Art de Jirô Taniguchi (谷口ジロー画集, Taniguchi Jirō gashū), 2016 (Casterman, 2016)








# Distinctions reprises sur wikipedia

1992 : Prix du manga Shōgakukan, catégorie Prix spécial du jury pour Terre de rêves
1993 : Prix de l'association des mangaka japonais, catégorie Prix d'excellence pour Au temps de Botchan
1998 :
Prix culturel Osamu Tezuka, catégorie Grand Prix pour Au temps de Botchan
Prix d'Excellence du Festival des arts médias de l'Agence pour les affaires culturelles au Japon, catégorie Manga pour Quartier lointain
2001 :
Prix d'Excellence du Festival des arts médias de l'Agence pour les affaires culturelles au Japon, catégorie Manga pour Le Sommet des dieux
- Italie Prix Micheluzzi de la meilleure bande dessinée pour Quartier lointain
- France Prix du jury œcuménique de la bande dessinée pour Le Journal de mon père
2002 : Espagne Prix Haxtur de la meilleure histoire longue pour Le Journal de mon père
2003 :
- France Alph-Art du meilleur scénario au Festival d'Angoulême 2003 pour le tome 1 de Quartier lointain
- France Prix des libraires de bande dessinée Canal BD au Festival d'Angoulême 2003 pour Quartier lointain
2004 : Italie Prix Micheluzzi de la meilleure série étrangère pour Au temps de Botchan (Natsuo Sekikawa)
2005 :
- France Prix du dessin du Festival d'Angoulême 2005 pour le tome 2 du Sommet des dieux
- Espagne Prix Haxtur de la meilleure histoire courte pour L'Orme du Caucase (avec Ryūichirō Utsumi)
2007 : Espagne Prix Haxtur de la meilleure histoire longue pour Seton t. 1 (avec Yoshiharu Imaizumi)
2008 :
- Espagne Prix Haxtur du meilleur dessin pour Seton t. 3
- Allemagne Prix Max et Moritz de la meilleure publication de bande dessinée japonaise pour Quartier lointain
2011 : France Chevalier de l'Ordre des Arts et des Lettres. Décoration remise par Frédéric Mitterrand à Tokyo le 15 juillet 201123,24.
2015 : Norvège Prix Sproing de la meilleure bande dessinée étrangère pour Le Journal de mon père





# Adaptations reprises sur wikipedia

2010 : Quartier lointain, film de Sam Garbarski, avec Jonathan Zaccaï, Léo Legrand, Alexandra Maria Lara et Pascal Greggory, sur une musique composée par Air. L'action se déroule en France, à Nantua, le héros s'appelant Thomas. Jirō Taniguchi fait une apparition dans le film.
2011 : adaptation de Quartier lointain au théâtre par Dorian Rossel.
2012 : adaptation du Gourmet solitaire en drama avec Yutaka Matsushige sur TV Tokyo.
2015 : annonce de la préparation d'un film d'animation français en 3D tiré du Sommet des dieux et réalisé par Jean-Christophe Roger et Eric Valli.
2016 : tournage de l'adaptation d’Un ciel radieux par Nicolas Boukhrief et Frédérique Moreau avec Léo Legrand, Dimitri Storoge et Marie Kremer.






Revenir en haut