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L’ancien maire de Ponlat-Taillebourg, une commune de Haute-Garonne, a été condamné récemment à six mois de prison avec sursis pour avoir revendu du matériel de sa commune sur le site de petites annonces Le Bon Coin. Matériel de chantier ou d’entretien des espaces verts, il avait vendu pour plus de 20 000 € de biens.

C’est une affaire dont la commune de Ponlat-Taillebourg, en Haute-Garonne, ne veut plus entendre parler. Démasqué en 2016 par sa secrétaire de mairie, le maire de l’époque avait revendu du matériel communal sur Le Bon Coin. La Dépêche rapporte qu’il avait vendu notamment des débroussailleuses, une éparseuse, du matériel de chantier…

Opérant sous le coquet pseudo de Doudou31, l’ancien maire a ainsi vendu pour 21 000 € de biens appartenant à la commune.

Condamné au tribunal

Une fois démasqué, il avait tout avoué lors d’un conseil municipal en août 2016, mais n’avait pas démissionné. Une plainte avait été déposée.

Le tribunal de Saint-Gaudens a condamné fin mars l’ancien maire à six mois de prison avec sursis et trois ans d’inéligibilité. Il a annoncé le 9 avril dernier sa démission, et laisse une commune divisée comme le rapporte La Dépêche : certains habitants étaient prêts à pardonner, alors que d’autres ne veulent plus avoir affaire à lui.

Dans ce contexte, c’est le premier adjoint qui a pris la place de maire en attendant des municipales partielles dans trois mois, et espère pouvoir ramener de l’apaisement dans la commune.

En plus de cette arme blanche, Richard Trinquier, maire de Wissous, était équipé d'un gilet pare-balles et d'une arme de poing.


Le maire de Wissous (Essonne), Richard Trinquier, a été placé en garde à vue dimanche 8 avril. Il a agressé verbalement des gens du voyage alors qu'il était armé et ivre, a indiqué le parquet d'Evry, confirmant une information du Parisien. "Il a menacé les gens du voyage avec un katana", a expliqué le ministère public. En plus du sabre japonais, l'édile était équipé d'un gilet pare-balles et d'une arme de poing.

Richard Trinquier était accompagné de son premier adjoint et de policiers municipaux au moment des faits, selon une source proche de l'enquête citée par l'AFP. Son test d'alcoolémie s'est avéré positif. "Visiblement, il y avait déjà eu des tensions entre ce maire et la communauté. Il va falloir déterminer s'il avait cette arme à la ceinture", a précisé le parquet. Richard Trinquier a un permis pour faire du tir sportif avec ce pistolet, mais pas un permis de port d'armes.

Un membre de la communauté des gens du voyage en garde à vue

L'enquête pour violence avec armes en état d'ivresse a été confiée à la Sûreté départementale de l'Essonne. Un membre de cette communauté des gens du voyage a également été placé en garde à vue, après qu'un fusil a été retrouvé dans sa voiture, selon le parquet. Cet homme est visé par une enquête pour transport d'arme, confiée au commissariat de Massy.

Exclu du parti Les Républicains, Richard Trinquier avait parrainé Nicolas Dupont-Aignan (Debout la France) à la dernière élection présidentielle, avant d'appeler à voter pour la candidate du Front national, Marine Le Pen, au second tour. Il avait créé une polémique en 2014 après avoir interdit à deux femmes voilées d'accéder à la plage d'été de sa commune, rappelle France 3 Paris-Ile-de-France.

la depeche
C’est vers 7 heures du matin, ce lundi, alors qu’il attendait son bus pour se rendre au collège qu’un adolescent s’écroule, blessé par un projectile à la tête. Qui a pu tirer un coup de feu ainsi à Malaville, petit village de Charente non loin d’Angoulême ? Réponse : le maire, comme le raconte le journal départemental La Charente Libre.

Suspecté d’être l’auteur des faits, le maire délégué de Malalaville, 57 ans, a été placé en garde à vue. Selon les premiers éléments recueillis, il aurait voulu empêcher un chat d’approcher ses poules et aurait dégainé sa carabine 22 long rifle. La balle aurait alors ricoché, atteignant l’adolescent, raconte le quotidien local. Une enquête a été ouverte par les services de gendarmerie.

Le pronostic vital de l’adolescent n’est pas engagé, bien que le projectile soit entré par la nuque. Il a été transféré dans un hôpital de Bordeaux et doit être opéré ce mardi.

– Actualité insolite postée précédemment sur le forum le 11 Mar 2018

Les habitants de Baillargues, vont être surpris cette année. Selon France 3, Jean-Luc Meissonier, le maire de cette commune située dans l'Hérault, a pris le parti d'envoyer une carte de voeux accompagnée d'un string. Mais attention, un string qui en dit long ! Ce morceau de tissu aux couleurs de la République est symbolique pour le maire.

Avec cette initiative, le maire veut dénoncer la baisse des dotations de l'État qui déshabillent, selon lui, la province. "Cette année, la carte de vœux est un moyen de communiquer auprès de la population, mais aussi d'interpeller par rapport à des sujets d'actualité", explique Jean-Luc Meissonnier. Au total, ce sont 500 strings qui seront envoyés.