Mai Machiro, une jeune fille du club de natation très populaire de l'Académie Hae, est à la recherche d'un caméraman, pour cela elle fait appel à Tomohiro Machiya du club de cinématographie.
Ainsi, le jeune homme va filmer non-stop la jeune fille pendant plusieurs jours à sa demande...
Mais les choses se compliquent lorsque cette dernière commet l'irréparable.

Bon, je vous l'accorde le résumé est très succin mais c'est totalement normal étant donné que peu de chapitres sont sortis et qu'ils ne sont trouvables qu'en anglais dans leurs totalité (donc pour les anglophobes il faudra attendre une vf).

Bon, mon avis (qui changera peut-être avec l'arrivée des nouveaux chapitres, et contient du spoil bien entendu):

DeadTube est un manga dont on a peu d'informations au début, on nous balance directement avec les deux protagonistes principaux où Mai (vous l'aurez très vite compris c'est une Yuno 2.0 en moins chiante et l'autre type c'est... comment dire? Un type totalement excité à la vue d'un être en train de se faire tuer sous ses yeux... un vrai duo de psychopathes).

Alors vous allez me dire, pourquoi ce titre?
C'est très simple comme je l'ai écrit très explicitement au-dessus, DeadTube est un site de partage de vidéos où celui qui fait le plus de vues selon un event proposé par le site, empoche le plus d'argent.
Bien entendu comme l'a compris notre héroïne ce qui fascine le plus c'est la mort et le sexe, ce qu'elle va se charger d'offrir en collaborant avec Tomohiro.
Ce qui va donner lieu à des scénarios parfois un peu tirés par les cheveux... (je vous laisse découvrir quand même, il y a à peine 15 petits chapitres qui se lisent très vite.)

Pour l'instant je trouve le manga plutôt intéressant, d'un certain point de vue; en effet en échange d'argent, de gloire ou de reconnaissance, l'être humain est prêt à n'importe quoi, jusqu'à tuer son prochain...
Ce manga d'une certaine manière montre à quel point nous sommes faibles, et que l'on se laisse facilement aller, il suffit d'un rien pour se laisser exploiter.
(ça fait trop moralisateur comme fin pour une critique mais c'est une sorte d'interprétation, on va dire.)