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5 résultats trouvés pour prison

Il réclame sa libération car il n’aime pas les courgettes de la prison ! - Dim 7 Oct 2018 - 0:50





Il réclame sa libération car il n’aime pas les courgettes de la prison !





Trois dealeurs présumés, qui doivent être jugés le 17 octobre prochain, espéraient être remis en liberté avant l’audience. Leur demande a été rejetée, ce lundi. Ils restent en détention provisoire.


« Je ne vais pas vous mentir, la prison, c’est dur, c’est une leçon de vie. On mange mal, des courgettes vapeur avec de l’eau dedans. En une semaine, on a compris », a expliqué Karim, 18 ans, à la présidente du tribunal correctionnel de Meaux, ce lundi.

Ce Chellois de 18 ans, qui doit être jugé le 17 octobre prochain pour trafic de stupéfiants, exposait les raisons de sa demande de mise en liberté. Réponse de la magistrate : « On ne va effectivement pas se mentir, c’est dur. C’est pour cela qu’il faut tout faire pour ne pas aller en prison. »

Karim n’était pas le seul dans le box : son frère Mehdi, 19 ans, et un de ses copains, Maxime, 19 ans, réclamaient eux aussi d’être placés sous contrôle judiciaire avant l’audience. Le parquet s’est opposé à leur demande : « Les prévenus seront jugés dans très peu de temps. Le trafic dans lequel ils sont impliqués a instauré un climat délétère parmi les habitants ».

Des stupéfiants dans une école maternelle

Le tribunal a maintenu les trois prévenus en détention provisoire. « Vous avez un peu oublié de me dire que vous aviez stocké des stupéfiants dans l’enceinte de l’école maternelle ! », a précisé la présidente, en rendant le délibéré. La mère des deux frères, qui se trouvait dans la salle d’audience, est partie en colère et émue, escortée par un policier. « Les véritables responsables ne sont pas là ! »

Le 5 septembre, six Chellois, âgés de 16 et 19 ans, avaient été interpellés par les policiers du commissariat de Chelles, pour un trafic de stupéfiants commis aux abords de l’école des Tournelles. En juillet, 18 sachets de résine de cannabis conditionnés avaient été découverts entre la grille et la haie de l’école maternelle.







Un détenu avait une piscine gonflable dans sa cellule - Jeu 13 Sep 2018 - 19:15





Un détenu avait une piscine gonflable dans sa cellule





Un homme de 28 ans a été condamné à trois mois de prison ferme pour avoir eu une piscine gonflable durant sa détention à La Talaudière (Loire)


Le tribunal correctionnel de Saint-Etienne ne s’attendait pas à pareille affaire aussi insolite. « Comment fait-on pour faire entrer une piscine, même dégonflée, dans une prison ? » Car oui, comme s’en étonne un assesseur du tribunal, Nicolas (28 ans) avait bien une piscine gonflable dans sa cellule du centre de détention de La Talaudière (Loire).

Cet homme de 28 ans, aujourd’hui domicilié à Annonay (Ardèche), a passé quatre années à La Talaudière, comme le révèle Le Progrès. « Cette piscine me permettait de me rafraîchir l’été quand il faisait très chaud dans la cellule. Quand on ne travaille pas en prison, on a seulement droit à trois douches par semaine », justifie Nicolas, dont le surprenant secret a été découvert non pas lors d’une fouille, mais « via une vidéo qu’il a mise sur Périscope ».

Outre cette pataugeoire, un adaptateur wifi, un smartphone récent et ses accessoires ainsi que quatre grammes de cannabis ont été trouvés. Pour ce recel, l’homme a été condamné à trois mois de prison ferme.






En prison depuis trois ans, il continue de recevoir les PV de sa voiture… utilisée par les gendarmes - Lun 10 Sep 2018 - 22:52





En prison depuis trois ans, il continue de recevoir les PV de sa voiture… utilisée par les gendarmes





Malik Kessaci, un habitant de Gardanne condamné pour "association de malfaiteurs en vue de préparer un crime", s'est fait saisir sa voiture par la justice en 2015. Il ne s'attendait pas à recevoir des PV pour excès de vitesse.


Depuis 2015, Malik Kessaci n'a pas quitté sa cellule. Pourtant, cet habitant de Gardanne, condamné à sept ans de prison pour "association de malfaiteurs en vue de préparer un crime", a été flashé une dizaine de fois à Perpignan (Pyrénées-Orientales) ou Fréjus (Var). "A un moment, j'ai écrit à la juge pour lui demander si elle ne l'avait pas remis en liberté à mon insu", ironise son avocat, Jean-Louis Keïta, contacté par franceinfo.

Cette situation ubuesque – déjà observée en 2016 dans l'Hérault – démarre le 10 juin 2015. Ce jour-là, Malik Kessaci est arrêté au volant de sa Citroën DS4. "On lui reprochait d'avoir monté une association de malfaiteurs pour éliminer des rivaux à Gardanne, pour des histoires de machines à sous", explique son avocat. Son véhicule est saisi et remis, le 10 novembre, à la section de recherche de la gendarmerie de Marseille, qui l'utilise comme voiture banalisée. "A partir de cet instant, ils ne vont pas arrêter de multiplier les infractions [des excès de vitesse] et mon client va commencer à recevoir les avis de contravention", poursuit Jean-Louis Keïta.

"Ils nous ont prélevé à la source 1 093 euros"

L'avocat pense d'abord que ce paradoxe s'explique par le fait que la saisie de la voiture est alors provisoire. Mais Malik Kessaci est condamné définitivement le 30 juin 2017. Pourtant, les contraventions continuent de tomber. "J'en ai encore reçu deux la semaine dernière", explique à franceinfo la mère du détenu, Patricia, chez qui il est domicilié. En trois ans, elle en a dénombré "plus de 10". "Comme je ne payais pas, ils nous ont prélevé à la source 1 093 euros", peste-t-elle.

Ces PV, c'est à eux de les payer, j’aimerais bien qu’ils rendent les sous qu’ils ont pris à tort.
Patricia Kessacià franceinfo

Aux dernières nouvelles, son fils n'a plus que deux points sur son permis de conduire. L'avocat a écrit aux autorités – en particulier au Centre automatisé de constatation des infractions routières (Cacir) de Rennes – pour signaler le problème et demander que la carte grise du véhicule soit modifiée. Sans succès. Devant l'inertie de l'Etat, Jean-Louis Keïta a décidé de "saisir" les médias en prenant la parole dans La Provence. "Quand on alerte les médias, c'est mieux que les lettres recommandées", sourit-il.

Contactée par franceinfo, la gendarmerie de région rappelle que, depuis 2011, "il est possible d'utiliser des véhicules saisis en cours de procédure". "Visiblement, ce véhicule fait partie d'une procédure qui n'est pas encore clôturée", explique-t-elle, avant de renvoyer vers le Cacir. Contacté par nos soins, ce dernier n'a pas répondu pour le moment.







En voulant rendre hommage à Johnny, un détenu met le feu à sa cellule - Jeu 6 Sep 2018 - 11:24





En voulant rendre hommage à Johnny, un détenu met le feu à sa cellule





Ce lundi 23 avril, Eddy Lacam, détenu à la prison de Dunkerque, a été condamné à 16 mois de prison pour avoir mis le feu à sa cellule en décembre dernier.

Le 15 décembre dernier, un incendie s’est déclaré dans une cellule d’isolement de la prison de Dunkerque. À l’intérieur, Eddy Lacam, 45 ans, et déjà 20 années de prison derrière lui. Après avoir allumé une bougie, l’homme a enflammé sa cellule. Les dégâts sont importants et lorsque des agents ont tenté d’éteindre l’incendie, le détenu a violemment résisté.

Une bougie pour Johnny

Présenté au tribunal de Dunkerque ce lundi 23 avril, Eddy Lacam a expliqué qu’il avait allumé une bougie « pour rendre hommage à Johnny Hallyday ». Dix jours plus tôt, la star du rock succombait d’un cancer.

Mais ses explications n’ont pas convaincu le tribunal, qui a condamné Eddy Lacam à 16 mois de prison supplémentaires. Il a été maintenu en détention.







Un individu, ivre, monte sur le mur de la prison pour discuter avec un détenu [GON] - Jeu 11 Jan 2018 - 22:54





 



L'homme d'une vingtaine d'années a été interpellé par la police...

Une situation pas banale. Dimanche, vers 9 h 30, à Angers, la police est appelée pour un fait pour le moins étonnant, selon le Courrier de l’Ouest. Et pour cause : un homme, en état d’ébriété a grimpé sur l’un des murs du quartier de semi-liberté de la prison d’Angers.

L’individu, âgé d’une vingtaine d’années et bien connu des services de police, a escaladé le mur pour pouvoir entrer en contact avec un détenu et discuter avec ce dernier. Une sorte de « parloir sauvage », comme évoque le Courrier de l’Ouest.

La police a interpellé l’individu et l’a placé en garde à vue. Ce lundi, il devait être déféré devant le parquet d’Angers.


– Actualité insolite postée précédemment sur le forum le 11 Jan 2018



 

Source : 20minutes






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