LA communauté sur la culture Geek et Japonisante qui ne se prend pas la tête ! (Japanim', Geekeries, Bakattitude et tout ce qu'il faudra pour t'amuser joyeusement !)

Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal


14 résultats trouvés pour mythe

Waha

[Paranormal] Poltergeist [GON] - Sam 31 Oct 2020 - 18:20









Aujourd'hui parlons des poltergeist ! Ce n'est pas la fiche du film mais du phénomène paranormal Smile
Comme d'habitude, un article de wikipedia !

Un poltergeist, de l'allemand Poltergeist, dérivé de poltern « faire du bruit » et geist « esprit », est un phénomène paranormal consistant en des bruits divers, des déplacements, apparitions ou disparitions d'objets et autres phénomènes a priori inexplicables.
En général, ils sont considérés comme des phénomènes de « petite hantise » qui seraient liés à la présence d'un adolescent perturbé, par opposition aux phénomènes de « grande hantise » qui supposent l'intervention de l'esprit d'un ou plusieurs morts, bien que la séparation ne soit pas toujours évidente.

Dans le système de classification de Vallée, les poltergeists entrent dans la catégorie des « anomalies à effet physique » soit AN de type II.

Même si quelques cas demeurent inexpliqués, dans de nombreux cas, les présumés poltergeists ont trouvé, tôt ou tard, une explication ordinaire satisfaisante, qu'il s'agisse de causes naturelles, de fantasmes, ou de supercheries avérées.
Ce point de vue, appliqué à l'ensemble des phénomènes paranormaux, est partagé par une large partie de la communauté scientifique.







# Origine du nom

Le terme poltergeist apparaît en 1540 dans le (la) Novum Dictionarii genus (Nouveau dictionnaire) d'Erasmus Alberus.
Il est employé, pour la première fois en allemand, par Martin Luther durant la Réforme protestante, dans Propos de table, pour désigner des événements qui seraient provoqués par des esprits désincarnés ou par le diable.
Catherine Crowe l'utilise pour la première fois en anglais en 1848 et c'est la médium roumaine Eleonore Zugun qui, au milieu du xxe siècle, le popularise en se faisant appeler « fille de Poltergeist ».
Paradoxalement, les Allemands utilisent désormais plus volontiers le terme Spuk.

Poltergeist est un nom absent de la quasi-totalité des grands dictionnaires français contemporains.
On le traduit couramment par l'expression « esprit frappeur ».
Pour le remplacer, l'écrivain et parapsychologue René Sudre a proposé sans succès le néologisme thorybisme, par dérivation du mot grec θόρυϐος / thórubos signifiant « bruit » ou « trouble ».
En 1948, le docteur Thomas Bret utilise, sans plus de succès, l'expression Métapsychorragie métacinétique.




# Nature du phénomène

Les manifestations d'un poltergeist présentent tout ou partie d'une gamme considérable d'effets défiant la raison : coups ou bruits violents de percussion, bruits divers, sans cause identifiable ; jets de pierres ou de débris inexpliqués, visant l'intérieur ou l'extérieur d'une maison (lithobolie) ; déplacement ou projection d'objets (parfois brisés), pouvant aller jusqu'à leur lévitation ou leur apparente téléportation à travers des parois solides.
Plus rarement : combustions spontanées ; actions sur les personnes : contacts, griffures, morsures et lévitations ; emploi d'une voix spectrale (utilisation des « fausses cordes vocales » des victimes) et apparitions.

Voici la description qu'en fait Ernest Bozzano :
« Outre les phénomènes auxquels nous avons fait allusion, de meubles qui se déplacent, de fenêtres et portes qui claquent, de vaisselle qui se brise, il s'agit très souvent de sonnettes qui ne cessent de s'agiter bruyamment sans cause apparente, même après qu'elles ont été isolées par la suppression des cordons et des fils.
Tout aussi fréquents sont les cas de « pluies de pierres », présentant des traits caractéristiques fort remarquables, comme lorsque les pierres parcourent des trajectoires contraires aux lois physiques, ou s'arrêtent en l'air, ou tombent lentement, ou atteignent avec une dextérité très insolite un but déterminé, ou frappent sans faire de mal, ou bien sans rebondir ensuite, comme si elles étaient empoignées par une main invisible ; ou comme lorsque les pierres se trouvent être chaudes, voire brûlantes.
En d'autres circonstances, les draps sont violemment arrachés des lits des personnes couchées, ces dernières étant soulevées et déposées doucement sur le sol, si toutefois les lits eux-mêmes ne sont pas renversés. »

— Ernest Bozzano, Les Phénomènes de hantise


Les manifestations semblent en général purement « gratuites » et totalement dénuées de cause et de logique.
Malgré des dégâts matériels, parfois importants, les personnes présentes sont rarement blessées :

« Mais ce qui nous a le plus étonnés, c'est qu'aucune des 300 pierres jetées n'ait touché personne ; le premier jour, mon petit garçon était au jardin, ma petite fille dormait au premier, dans son berceau près de la fenêtre ouverte ; ils n'ont été incommodés en aucune façon ; la bonne a reçu, il est vrai, un quart de brique sur la tête, mais elle n'en a presque pas souffert ; mon beau-père a été touché au bras et il s'est écrié “Tiens, je n'ai rien senti”. »

— Ernest Bozzano, Les Phénomènes de hantise

Le phénomène est rapporté dans toutes les régions du monde, en Europe et aux États-Unis, mais aussi en Chine, en Afrique, en Amérique du Sud, au Japon, en Inde, en Nouvelle-Zélande, en Patagonie, aux Antilles, à Java, etc.
Il est aussi présent à toutes les époques: le chercheur Hereward Carrington en a identifiés cinq antérieurs à l'an mil, et 130 entre le xie siècle et la fin du xixe siècle. Toutefois, une étude concernant les phénomènes « psi » dans l'antiquité, ne trouve « aucun récit préchrétien reconnaissable » décrivant un poltergeist, bien que Suétone cite le cas d'un homme qui, s'étant endormi dans un lieu sacré, s'en est trouvé soudain éjecté, avec son lit, « par une force occulte subite ».






# Légende ou réalité ?

S'agissant de phénomènes dits paranormaux ou surnaturels, de nombreux témoignages sont souvent le fruit d'une imagination excessive de la part des témoins, voire de désordres psychologiques.
Dans le cas des « esprits frappeurs » il s'agit, dans la plupart des cas relevés, de bruits naturels venant du « travail » des menuiseries ou de la maçonnerie, du passage de petits animaux ou du bruit de cours d'eau souterrains.
S'y ajoutent évidemment des supercheries délibérées, des plaisanteries de mauvais goût et des actes de malveillance.

Selon le professeur Charles Richet :

« Mais pour les phénomènes objectifs la difficulté est autre.
Là en effet toutes les fraudes sont possibles, et l'expérience a prouvé que les fraudes étaient fréquentes, très fréquentes.
Quand, dans une maison dite hantée, s'entendent des fracas divers, bruits de portes qui s'ouvrent et se ferment, roulement de meubles, bris de vaisselles, et tout le cortège ridicule de manifestations qui est de coutume dans les hantises, l'idée vient tout d'abord qu'il s'agit d'une forte plaisanterie, faite par des individus mal intentionnés, des domestiques renvoyés, des gens intéressés à faire quitter la maison à tel ou tel de ses habitants.
Le plus souvent il faut incriminer, comme cause de ces infestations, de très jeunes gens, de l'un ou l'autre sexe, à demi idiots, à demi vicieux, qui, sans trop comprendre ce qu'ils font, jettent des pierres, cassent des vitres, en dissimulant leurs gestes et en laissant croire qu'ils sont restés immobiles, n'ayant d'autre motif que de tromper. »

— Charles Richet, Traité de Métapsychique

Toutefois, il reste un grand nombre de témoignages, de toutes les époques et dans toutes les cultures, qui tendent à démontrer qu'il se produit épisodiquement des phénomènes inexpliqués, constatés par des témoins dignes de foi et donnant parfois lieu à de très officiels constats de gendarmerie ou à des enquêtes approfondies, éventuellement accompagnées d'enregistrements physiques ou photographiques.

Comme le note Pascale Catala :

« Dans les dossiers sur lesquels ils enquêtaient, les parapsychologues ont souvent découvert que des sujets simulaient les poltergeists en provoquant eux-mêmes les dégâts (en cassant des objets ou les renversant, en lançant des pierres, etc.).
Alan Gauld a relevé des “fraudes” dans 12 % des cas, et Hans Bender dans 26 %, et ceci même dans les cas où l'on avait pu mettre en évidence par ailleurs des événements paranormaux.
Il convient donc de rester très prudent et d'adopter une attitude nuancée : ce n'est pas parce qu’un sujet fraude ou simule, qu'il s'agit obligatoirement d'un faux poltergeist. Tizané faisait remarquer que les gendarmes prenaient souvent un sujet en flagrant délit, et décrétaient que l'affaire était résolue, alors qu'il n'en était rien, certains phénomènes restant totalement inexpliqués. »

— Pascale Catala, Apparitions et hantises

Le docteur Maxwell avait, en son temps, fait des remarques allant dans le même sens :

« Nous ne savons pas en effet quelles sont les causes qui peuvent amener certains sujets à frauder : dans la majeure partie des cas, on ne trouve aucun intérêt qui puisse les guider ; on ne s'explique pas l'origine des manifestations ; on ne comprend pas comment des petites filles de dix ou douze ans aient eu l'idée d'imaginer de lancer des pierres, de casser des vitres ou de faire danser des fauteuils et voltiger des assiettes.
L'explication de leur conduite devient au contraire facile, si nous supposons que des phénomènes vrais ont précédé l'imitation qu'en fait le jeune sujet et lui en ont suggéré l'idée.
Nous serions en présence de ces cas de fraude mixte, où quelques vérités se mêlent aux mensonges, cas fréquemment observables chez les sujets professionnels du somnambulisme ou du spiritisme. »

— Dr Maxwell, Bulletin de l'Institut Général Psychologique






# Cas expliqués anciens

Londres (Angleterre) 1762 : Origine criminelle - Fantôme de Cock Lane.


En 1762, des grattements et des coups se font entendre dans un appartement situé au 20 de la rue Cock Lane à Londres, accompagnés d'apparitions fantomatiques. L'affaire défraye la chronique et va jusqu'à provoquer une controverse religieuse entre les églises méthodiste et anglicane.
Finalement, une commission nommée par le maire de Londres, conclut à une fraude intéressée.
Plusieurs enquêtes confirment cette opinion et un procès condamne les cinq protagonistes de la supercherie à diverses peines.


Nantes (France), xixe siècle : Origine naturelle



La maison du conventionnel Jean-Baptiste Carrier, responsable des terribles noyades de Nantes, située trois place du Commerce à Nantes, était réputée hantée à cause des bruits sourds qu'on y entendait, jusqu'à ce qu'on en attribue l'origine à une rivière souterraine.








# Cas expliqués récents


Enfield (Angleterre) 1977


Un phénomène spectaculaire de poltergeist s'est déroulé à Enfield, dans la banlieue nord de Londres, et a été abondamment décrit dans la presse de l'époque.
Il a été déclaré « le poltergeist le plus intéressant jamais connu ».

La famille Harper est composée d'une mère divorcée et de ses quatre enfants : Margaret (13 ans), Janet (11 ans), Johnny (10 ans) et Billy (7 ans).

À partir du 31 août 1977, la maison fut le lieu d'un festival inouï de plus de 1 500 manifestations : objets et meubles renversés ou se déplaçant seuls, draps de lits soulevés, Janet mise en lévitation, bruits et voix diverses, aboiements de chiens, apparitions, objets semblant traverser les murs, départs de feux dans des tiroirs, objets déformés…

Ces faits ont été suivis en permanence durant 13 mois par deux enquêteurs de la SPR, Maurice Grosse et Guy Lyon Playfair.

Une trentaine de personnes en ont été les témoins directs, dont des policiers, des journalistes de la BBC et du Daily Mirror, des voisins et diverses personnalités.

Malgré l'aveu ultérieur par Janet de quelques tentatives de fraudes pour tester les enquêteurs (qui les ont d'ailleurs repérées), pour des enquêteurs de la SPR, la plupart des phénomènes semblent ne pas pouvoir avoir été provoqués artificiellement.
Les voix et les bruits sont enregistrés et des scènes déroutantes sont parfois photographiées.
Les plus célèbres sont censées représenter Janet Harper en lévitation.
Toutefois, lorsqu'on juxtapose chronologiquement les images publiées à divers endroits, on observe la décomposition de ce qui semble être un saut ordinaire.

Des membres du Committee for Skeptical Inquiry, tels que Joe Nickell, Deborah Hyde et Milbourne Christopher, ont critiqué les enquêteurs pour leur crédulité tout en identifiant également les caractéristiques de l'affaire comme révélatrices d'une supercherie.

Il apparaît que c'est Janet qui est l'épicentre des événements et la plus souvent visée.

Durant le séjour qu'elle fait dans un hôpital, fin juillet 1978, les manifestations décrurent d'intensité, pour cesser définitivement après l'intervention d'un médium hollandais.
Malgré le travail d'enquête considérable des deux enquêteurs, logeant souvent sur place, plusieurs personnalités affirmèrent que toutes les manifestations étaient organisées par les enfants.

Inspirée par ces événements, une mini-série télévisée britannique de trois épisodes de 45 minutes, Le Mystère Enfield, a été produite en 2015.
Initialement diffusée sur la chaîne Sky, elle a été projetée le 3 juillet 2015 au Festival Série Series de Fontainebleau puis diffusée en France sur Arte.

Le film Conjuring 2 : le cas Enfield, réalisé par James Wan en 2016, s'inspire également de ces événements.
Le générique de fin présente des enregistrements d'époque ainsi qu'une mise en parallèle des photographies originales et de celles recréées pour les besoins du film.

Séron (France) 1979 : Origine criminelle



Du 6 au 25 août 1979, une centaine de départs de feux se déclarent spontanément à de nombreux endroits d'une vaste maison, occupée par une même famille, située dans le petit village de Séron dans les Hautes-Pyrénées.

Après être restée discrète presque une semaine, l'affaire explose au grand jour et prend une ampleur médiatique démesurée.

Durant presque trois semaines, curieux, voyants, médiums et parapsychologues se bousculent et proposent chacun leur explication du phénomène, présumé être un poltergeist.

Le journal l'Aurore titre en grosses lettres sa une du 15 août : « Les mystères de la maison hantée ».

Quelque deux cents journalistes français et étrangers couvrent l’événement qui prend un retentissement international : le magazine américain Newsweek va jusqu'à lui consacrer une page entière.

Finalement, le 28 août, les gendarmes démasquent les responsables qui n'ont rien de surnaturel : ce sont Roger Lahore, le fils de la famille, et sa jeune complice Michèle, une adolescente qui était employée par les propriétaires.
Il semble qu'il s'agissait à l'origine d'une tentative d'escroquerie à l'assurance dont les auteurs ont perdu le contrôle.
Jugés le 29 janvier 1984, ils sont condamnés respectivement à 18 et 12 mois de prison avec sursis.

Vailhauquès (France) 1987 : Origine naturelle



En novembre 1987, le calme d'une maison du village de Vailhauquès est troublé par des coups sourds et répétés.

La gendarmerie enquête, mais ne trouve pas la cause du phénomène.

Début février 1988, le parapsychologue Yves Lignon y voit un phénomène paranormal, mais un journaliste scientifique du journal Le Midi Libre et un géologue du Laboratoire départemental d'équipement, M. Gilly, attribuent les bruits aux coups de boutoir d'une rivière souterraine dans le puits à eau attenant.

Yves Lignon rétorquant que cette hypothèse ne suffit pas à rendre compte de l'ensemble des observations effectuées.
Une longue polémique entre lui et le Cercle Zététique s'ensuivra.

Montpellier (France) 1996 : Origine imaginaire



Une habitante de Montpellier, vivant seule avec ses quatre enfants, demande à l'office des HLM de lui trouver un nouvel appartement, celui qu'elle occupe étant le siège de phénomènes paranormaux effrayants de type poltergeist.

Ayant obtenu l'autorisation de déménager, il apparaît que les manifestations recommencent dans le nouvel appartement.

Une enquête, réalisée a posteriori par Jacques Exertier et Laurent Puech du Cercle Zététique, conduit à trouver une explication rationnelle aux rares manifestations récentes et à noter la très grande fragilité des témoignages concernant les manifestations passées, qui n'ont jamais été constatées par des tiers, et semblent, à l'évidence, imaginaires.

Amnéville (France) 2014 : Origine criminelle



Le 20 août 2014 à partir de 13 heures, un couple d'une soixantaine d'années, habitant un pavillon récent situé rue du Général-Kellerman à Amnéville, voit l'intérieur de sa maison et son jardin inexplicablement ravagés.

Après une accalmie, le phénomène reprend de plus belle en fin d'après-midi sans que le propriétaire des lieux arrive à en déterminer la cause.

Famille, voisins, proches et curieux se succèdent.

Les policiers de la ville voisine d'Hagondange, appelés sur les lieux vers 19 heures, enregistrent dans la main courante du commissariat « des dégradations sans explication ».

Si les dégâts sont largement constatés et filmés, personne d'autre que le propriétaire n'est témoin des manifestations.

La présence sur les lieux du filleul de son épouse, âgé de 12 ans, et le fait que l'intervention d'un prêtre avait été sollicitée l'année précédente pour mettre fin à des bruits bizarres qu'elle disait entendre, orientent immédiatement les commentateurs sur l'hypothèse d'un poltergeist.

Les faits se produisant au creux de la période estivale, ils sont largement repris dans les médias locaux et nationaux.

Les époux ayant déposé une plainte, une enquête est diligentée par le parquet.
Elle débouche le mois suivant sur les aveux de la propriétaire qui reconnait avoir été à l'origine des événements au cours d'une crise de nerfs.

Mise en examen pour « dénonciation mensongère ayant entraîné des recherches inutiles », la procédure a été annulée le 12 novembre suivant par le tribunal correctionnel de Metz en raison de l'état psychologique de la responsable.






# Cas inexpliqués anciens

Joigny (France) début du xie siècle



Selon le moine chroniqueur Raoul Glaber :

« Au même temps un présage merveilleux et digne de trouver place ici se manifesta près du château de Joigny, chez un noble homme, nommé Arlebaud.
Pendant trois ans, il tomba presque continuellement, dans toute sa maison, des pierres de diverses grandeurs, dont on peut voir encore des monceaux tout autour de sa demeure.
Venaient-elles de l'air, ou pénétraient-elles par le toit?
C'est ce que personne ne peut dire.
Ce qu'il y a de sûr, c'est que cette pluie, qui ne s'arrêtait ni la nuit, ni le jour, ne blessa pas une seule personne, et même ne brisa pas un vase. »

— J.-L.-J. Brière, Chronique de Raoul Glaber

Paris (France) 1846



En novembre 1846, une maison située en bordure des travaux de ce qui sera la rue Racine à Paris est bombardée chaque soir par des pierres de toutes tailles qui défoncent portes, fenêtres, toits et planchers.

L'habitant des lieux, M. Lerrible, dépose 30 plaintes auprès de la police.
Des agents sont placés en surveillance, le commissaire de police et même le chef de la sûreté se rendent sur place.

Un peloton du 24e régiment de chasseurs est même dépêché sur les lieux, sans résultat.

Tous les journaux de l'époque relatent l'affaire, à commencer par la Gazette des Tribunaux.

Au bout de trois semaines le phénomène cessa aussi brusquement qu'il avait commencé.

On prétendit, sans autre précision, qu'un homme avait été pris sur le fait et emprisonné.

Le journal La Patrie ayant publié que le coupable était M. Lerrible lui-même, celui-ci assigna le journal en justice pour diffamation et gagna son procès.

Au cours des débats, il ne fut nullement fait état de l'arrestation d'un vrai coupable.
Interrogé par un chercheur, la réponse du remplaçant du commissaire de police fut d'ailleurs sans ambiguïté :

« Monsieur le commissaire de police vous affirmerait comme moi, Monsieur, que malgré nos infatigables recherches, on n'a jamais pu rien découvrir, et je peux vous assurer à l'avance qu'on ne découvrira jamais rien ! »

— Ernest Bozzano, Les Phénomènes de hantise


Le Château des Noyers (France), 1875



Entre 1875 et 1876, le Château des Noyers, sur la commune du Tourneur, dans le département du Calvados est le lieu d'une série de manifestations spectaculaires avec bruits et déplacements d'objets de toute nature.

Le propriétaire des lieux fera une enquête approfondie et tiendra un journal détaillé des événements.

Ce document accompagné d'attestations écrites de nombreux témoins fera l'objet d'un compte-rendu détaillé publié dans en 1893, puis repris comme cas d'école par de nombreux chercheurs en phénomènes paranormaux, notamment Camille Flammarion qui en fait le cas le plus significatif de son ouvrage sur Les Maisons hantées (1923).

Plus récemment un journal de la cuisinière du château a également été retrouvé qui confirme les manifestations variées : déplacements de meubles et d'objets, fauteuils empêchant les porte de s'ouvrir, portes verrouillée qui s'ouvrent, assiettes brisées, bruits de coups frappés parfois très violents, bruits de pas, de boulet roulant sur le sol, de mur qui s'écroule, cris d'allure humaine ou non, sanglots et cris de femme...

Le 25 janvier 1876, pendant que le curé lisait son bréviaire devant la cheminée et par temps parfaitement clair, « une grande masse d'eau tombe par la cheminée sur le feu qu'elle éteint et fait voler la cendre ; Mr le curé est aveuglé, il en a la figure couverte. »

Le malheureux prêtre signera une attestation outrée de cette attaque peu banale.
Les manifestations diminueront après un exorcisme, puis reprendront violemment quelques mois plus tard, obligeant finalement la famille à vendre sa propriété.

La Roche-en-Brenil (France), 1898


L'affaire est relatée en détail dans un article de la revue de Gaston Méry L’Écho du merveilleux, qui reprend in extenso plusieurs articles publié à partir du 22 mars 1898 dans le quotidien régional français Le Bien public sous le titre initial « Scène de Sabbat ».

Les événements se déroulent à partir du 19 mars 1898 dans l'habitation de monsieur Garrié-Migné, tisserand, située dans la commune de La Roche-en-Brenil (Côte-d'Or).

Une quinzaine de jours avant les événements, agacé par le bruit du balancier de sa pendule qui frappait les parois du meuble, le tisserand avait décroché poids et balancier.

L'horloge était donc totalement arrêtée.

Vers 19 h, alors qu'il était à peine couché, sa lampe s'éteint tandis que le mécanisme de l'horloge tombe avec fracas du haut de son support.

Rallumant sa lampe, Garrié ramasse le mécanisme et le pose sur la table, d'où elle retombe immédiatement sur le sol.

Affolé, il appelle les voisins à son secours qui, à leur arrivée, constatent une étonnante sarabande durant quatre longues heures : les tables et les chaises se culbutent, les lits remuent, la vaisselle rangée en différents endroits saute de tous côtés et vole en éclats.

L'un d'entre eux vient blesser Garrié légèrement à la lèvre supérieure.

Des assiettes rangées dans une chaudière pleine d’eau font des sauts d’un mètre et s’échappent de leurs récipients.

Des pots à lait sont renversés et leur contenu coule sur les carreaux ; l’un de ces pots est transporté dans une chambre voisine sans être culbuté.

Les bouchons, rondelles et portes du poêle s’échappent à travers la fenêtre, brisant tous les carreaux, et vont retomber dans la rue.

Le lendemain, dimanche 20 mars à 13 h, l'assiette dans laquelle mange un enfant est cassée et vers 15 h, c'est un buffet adossé à un mur qui culbute en présence de plusieurs témoins.

Après une brève accalmie, les phénomènes reprennent de plus belle : dans la nuit du 21 au 22, en présence de plusieurs personnes dont le curé du village, une grande table massive, longue de 3,3 mètres est culbutée à plusieurs reprises de même qu'une petite table placée dans un coin.

Le lendemain matin, c'est le buffet qui s'était renversé le dimanche qui s'avance dans la pièce en se dandinant.

La table massive se dresse seule et retombe sur le poêle qu'elle brise, tandis que les chaises sont culbutées en permanence.

La situation devenant ingérable, tout le mobilier est sorti provisoirement de l'habitation.

Remis à leur place le soir même, la sarabande recommence.

Curé, maire et gendarmes ne peuvent que constater une fois de plus le phénomène sans pouvoir en déterminer la cause.

Il est à noter que tout se déroule dans la grande pièce d'habitation, laissant indemnes les autres lieux de l'habitation.

Dans une lettre en date du 4 avril 1898, adressée à la rédaction de L’Écho du merveilleux, l'abbé Bourgeot, curé du village, confirme que, dans leur ensemble, les faits relatés sont conformes à ceux dont il a eu connaissance et/ou que lui-même a partiellement constaté, à quelques détails de temps et quelques exagérations près.

Sollicité par la rédaction, son opinion est la suivante :

« Vous voulez bien me demander, monsieur, mon opinion sur ces faits indéniables.
Je n'en ai point d'arrêtée.
Il ne me parait pas qu'ils puissent être attribués à une cause naturelle.
L'instantanéité et la violence avec laquelle ils se produisent, dépasse les forces humaines, et fait écarter toute supposition de supercherie ou de farce, le mot a été prononcé.
J'incline à y voir une intervention extra-naturelle.
L'agent premier, je l'ignore. »

L'affaire provoque l’afflux de nombreux curieux.

On attribue finalement la cause probable du phénomène à la présence d'un enfant âgé de 11 ans de l’Assistance publique de la Seine qui est hébergé dans la famille.
Pour s'en assurer, l’enfant est conduit au dépôt de l’Assistance de Saulieu pour un séjour de huit jours.
Les perturbations cessent après son départ.









# Cas inexpliqués récents

Arcachon (France) 1963


La clinique du docteur Cuénot à Arcachon est bombardée de pierres, du mois de mai au mois de septembre 1963, sans que l'on puisse trouver d'explication rationnelle. Des projectiles de toutes natures et de toutes tailles tombent autour du personnel et des patients.

Le commissaire de police local ne juge pas utile de procéder à une enquête.
Robert Tocquet, appelé en renfort, conclut après une étude minutieuse que cette pluie de pierres est liée à la présence d'une jeune malade névrotique.
Elle ne peut en aucun cas être tenue pour responsable du lancement des projectiles, mais le phénomène cesse après son transfert dans une autre clinique.

Rosenheim (Allemagne) 1968 : Possible supercherie



En novembre 1967, de nombreux phénomènes de nature électrique, mais aussi des déplacements inexplicables de meubles et d'objets, commencent à se produire dans le cabinet de Me Sigmund Adam, un avocat très connu de la ville de Rosenheim près de Munich : les machines de bureau se dérèglent, les disjoncteurs sautent, les ampoules électriques grillent ou se dévissent seules et tombent, les tubes fluorescents tournent dans leurs logements, les plafonniers oscillent jusqu'à toucher le plafond, etc. Les téléphones sonnent sans raison, on note des appels répétés – parfois plusieurs par minute – à l'horloge parlante.

Évidemment c'est le réseau électrique qui est tout d'abord soupçonné.

Des enregistreurs de tension et d'intensité sont installés par la société de distribution de l'électricité qui envoie sur place deux ingénieurs.

Les enregistrements mettent en évidence des variations considérables des valeurs mesurées.
Les phénomènes se déroulent en présence des deux spécialistes, de contrôleurs municipaux et d'autres témoins.

Pour tenter de trouver une solution, une ligne d'alimentation électrique directe fut reliée au transformateur du réseau électrique.
Elle est à son tour remplacée par un groupe-électrogène de secours sans que les anomalies cessent.

Cependant, constatant des défauts dans les mesures du courant électrique, le physicien John G. Taylor considère que l'explication des prétendus phénomènes de poltergeist est en réalité un mélange "d'attentes, d'hallucinations et de tromperie."

Les bizarreries ne sont pas exclusivement de nature électrique : à partir du mois de décembre 1967 les événements inexplicables se multiplient : des tableaux se décrochent ou se retournent (la scène est filmée), par deux fois une armoire à documents pesant plus de 150 kg se décolle de 30 cm de la cloison et il faut deux hommes pour la remettre à sa place.

Le professeur de physique W. Büchel voit des tiroirs sortir seuls de leurs meubles.

On estime qu'au moins une quarantaine de personnes, de tous horizons, furent témoins de ces événements.

Toutefois, en avril 1970, un article de l'hebdomadaire allemand Die Zeit rapportait que les co-auteurs Albin Neumann, Herbert Schiff et Gert Gunther Kramer suggéraient dans leur livre "Falsche Geister, echte Schwindler?" ("Faux esprits, vrais escrocs?") que les allégations de troubles inexpliqués initialement formulées par Adam étaient frauduleuses.

Les auteurs ont écrit qu'ils avaient visité le cabinets d'avocats d'Adam et découvert des fils de nylon attachés à des appareils de bureau tels que des plafonniers et des plaques murales qui, une fois tirés, feraient bouger les appareils, et ont conclu que "le public avait été trompé".


Le docteurs F. Karger et le physicien G. Zicha de l'Institut Max-Planck de physique de Munich sont dépêchés sur place et, après une longue et minutieuse enquête, concluent que les phénomènes, dûment observés et enregistrés, ne sont pas explicables par les moyens actuels de la physique théorique.

Les conclusions du rapport officiel de 19 pages rédigé par les deux experts sont les suivantes :


  • Bien qu'ils aient été enregistrés avec toutes les facilités offertes par la physique expérimentale, les événements défiaient toute explication par les théories physiques habituelles.

  • Les phénomènes paraissaient résulter de forces non périodiques de courte durée.

  • Ils ne semblaient pas être provoqués par des forces électrodynamiques connues.

  • Il s'agissait non seulement d'explosions, mais aussi de mouvements complexes (rotations de tableaux, courbes décrites par les stylets enregistreurs).

  • Ces mouvements donnaient l'impression d'être sous contrôle intelligent et d'avoir tendance à échapper aux recherches.



Pour tenter d'éclaircir le mystère, l'avocat porte plainte contre X et prend contact avec l'Institut für Grenzgebiete der Psychologie und Psychohygiene (IGPP) de Fribourg, présidé par le professeur Hans Bender, institut privé qui mène des recherches en parapsychologie.

Les enquêteurs de l'IGPP constatent que, d'une part, les phénomènes ne se produisent qu'aux heures de bureau et que, d'autre part, ils augmentent d'intensité à l'entrée d'une jeune employée de 19 ans nommée Anne-Marie Schneider.

C'est au moment de son passage dans les couloirs que les plafonniers se balancent et que les ampoules éclatent.

Lorsque mi-janvier 1968 on trouve un emploi pour Anne-Marie dans une autre étude, avec interdiction formelle de son nouvel employeur de parler de ce qui s'était passé, les phénomènes cessent immédiatement chez Me Adam.

Ils se produisent ensuite sur son nouveau lieu de travail et dans sa famille, mais brièvement et sous forme atténuée.

L'enquête de Bender a été critiquée pour avoir omis des détails clés et peut-être pas assez pris en compte les possibles explications naturelles ou rationnelles (par exemple un dysfonctionnement dans le réseau électrique).

Certains pensent qu'il s'agit d'une supercherie (n'ayant pas été détectée par Bender).

Le journaliste et sceptique Piet Hein Hoebens remet en question les allégations de Bender étant donné qu'aucun rapport complet sur ses investigations n'a jamais été publié, et que les comptes-rendus de Bender montrent que l'examen des preuves n'a pas été suffisamment rigoureux.

Surtout, Hoebens révèle que Bender n'a pas signalé qu'Annemarie Schaberl a été prise en fraude par un policier.

Bien que les spécialistes et experts présents sur place n'aient trouvé aucune explication aux phénomènes dûment enregistrés, une tentative d'explication rationnelle, impliquant des tubes halogènes défectueux, fut tardivement avancée.

L'hypothèse d'un artefact électromagnétique, outre qu'elle n'expliquait pas les déplacements d'objets pesants, fut réfutée en 1976 dans un article du professeur W. Büchel qui rappelle que les critiques doivent s'appuyer sur des démonstrations rigoureuses.

Arc-Wattripont (Belgique) 1993



Les événements se déroulent en janvier 1993 dans la petite commune d'Arc-Wattripont près de Tournai en Belgique dans une maison habitée par un couple d'âge mûr, le père de famille étant chauffeur routier.

Outre les deux propriétaires, deux de leurs fils et leur fille y logent, ainsi qu'Eric, le petit-ami de cette dernière.

Chômeur et privé de domicile pour cause de problèmes familiaux, il y était hébergé depuis le 13 décembre 1992.

Sa famille d'accueil est très pieuse, à la limite de la bigoterie.

Dès les premiers jours de 1993, des incidents inexpliqués se produisent.

Ils atteignent un niveau insupportable dans la soirée du 5 janvier, ce qui conduit le propriétaire à faire appel à la gendarmerie à 22 h 30.

La première patrouille arrivant sur place est stupéfaite de découvrir le père de famille portant un casque de chantier pour se protéger des projectiles.

D'abord incrédules, les gendarmes constatent par eux-mêmes l'étrangeté des manifestations, ce qui les conduit à demander à une autre patrouille de venir en renfort pour confirmer les faits et participer aux recherches.

Deux nuits de suite, les gendarmes sont témoins de déplacements et de chutes d'objets, la table devant laquelle est assis un gendarme se déplaçant d'une quinzaine de centimètres alors qu'il est le seul à proximité.

Un pot à lait est projeté au plafond et retombe avec une trajectoire improbable.

Un pied de lit est défoncé par un large trou qui se trouve brusquement agrandi devant témoins.

Le bas du matelas du lit dans lequel Eric est allongé se soulève d'une trentaine de centimètres pendant plusieurs secondes.

La scène est filmée par le caméscope personnel d'un gendarme, mais les images sont de mauvaise qualité.

Plus d'une dizaine de gendarmes de différents grades et des policiers dont un commissaire sont témoins des faits. Les fouilles minutieuses qui ont été immédiatement entreprises ne donnent aucun résultat.

Au vu des premières constations, il semble que le jeune Eric soit à l'épicentre des manifestations.

À la suite d'un exorcisme pratiqué par un prêtre de l’Église Gallicane et de l'éloignement du jeune homme dans un autre logement, les troubles cessent.

Le procureur du Roi de Tournai ouvre une enquête et une de ses premières décisions est d'interdire aux membres des forces de l'ordre de communiquer sur le sujet.

La cassette vidéo enregistrée par la gendarmerie est mise sous scellés.

Les éléments objectifs incontestables étant inaccessibles, de nombreuses fausses informations et rumeurs infondées circulent, tels l'intervention de Gérard Majax ou des frères Bogdanov.

Il s'ensuit d'innombrables controverses sur la nature des faits qui auraient été exagérés, voire sur leur réalité même, certains médias - dont une chaîne de télévision - allant jusqu'à conclure, experts et témoins à l'appui, « qu'il ne s'était en fait rien passé d'anormal dans cette maison, si ce n'est les agissements d'un doux dingue ».

En 1999, Yves Lignon fait état dans un de ses ouvrages des témoignages recueillis dès les 21 et 22 janvier par un professeur de physique auprès d'un commissaire de police et de deux de ses adjoints ayant participé aux investigations.

Ceux-ci confirment les nombreux phénomènes auxquels ils ont assisté, entre autres l'épisode du pot au lait et du trou dans le pied de lit.

À partir de 2010, une enquête approfondie est menée par le CERPI, une organisation belge de recherches sur les phénomènes inexpliqués qui, après avoir vérifié les principaux éléments du dossier et recueilli les témoignages directs de plusieurs gendarmes ayant vécu ces événements, publie en 2015 ses conclusions qui tendent à démontrer, preuves à l'appui, que des faits incompréhensibles se sont effectivement déroulés durant deux nuits.






# Interprétations et hypothèses

Le phénomène poltergeist n'échappe pas au débat perpétuel (et souvent vif) opposant les « sceptiques » et les « croyants » en matière de faits paranormaux.

« Il est toujours surprenant de constater que, malgré un niveau général d'instruction toujours plus élevé, les croyances en des phénomènes dits « paranormaux » tendent à persister. »

— Richard Monvoisin

« Douter de tout et tout croire sont deux solutions, également commodes, qui toutes deux, dispensent de réfléchir. »

— Henri Poincaré mathématicien, physicien et philosophe français

« Je n'ai jamais dit que c'était possible, j'ai seulement dit que c'était vrai. »

— Sir William Crookes chimiste et physicien britannique, président de la Royal Society

« Personne ne sait ce qu'est un poltergeist. Comme Bertrand Russell l'a dit à propos de l'électricité, ce n'est pas une chose, mais une façon que les choses ont de se comporter. »

— Guy Lyon Playfair, Cette maison est hantée



Hypothèse rationaliste


Les sceptiques sont essentiellement représentés par les mouvements rationalistes et zététiques, tenants du scepticisme scientifique, qui considèrent que ce type de manifestation, qui défie les bases de la physique et de la raison, a nécessairement une explication rationnelle qui n'a pas été détectée et/ou ne repose que sur des témoignages manquant de fiabilité ou d'objectivité.

Ils appuient leur démonstrations sur les nombreux cas où les présumés poltergeists ont trouvé, tôt ou tard, une explication ordinaire satisfaisante, qu'il s'agisse de causes naturelles, de fantasmes, ou de supercheries avérées.

Ce point de vue, appliqué à l'ensemble des phénomènes paranormaux, est partagé par une large partie de la communauté scientifique.

Il est entre autres synthétisé dans les ouvrages coécrits par le prix Nobel Georges Charpak et le physicien Henri Broch.

Au-delà des positions de principe, les scientifiques considèrent que les connaissances actuelles en physique sont suffisamment avancées pour qu'on sache, avec certitude, que certains phénomènes décrits, tel la téléportation d'un objet à travers un corps solide, panneau ou mur sont et resteront impossibles, quelles que soient les découvertes futures. Comme le note Carlo Rovelli :

« Ce que les théories actuelles interdisent dans leur domaine d'application ne deviendra jamais possible par la venue d'une théorie qui les engloberait : les Grecs considéraient qu'une pierre ne pouvait pas tomber vers le ciel ? Cela n'a pas changé avec la relativité ou la physique quantique. »

— Carlo Rovelli

Hypothèse de la « vilaine petite fille »



Au tout début du xxe siècle, un membre du comité directeur de la Society for Psychical Research d'Angleterre (Société pour la recherche psychique ou SPR), Frank Podmore a fait l'analyse des milliers de manifestations de poltergeists recensées par son association.

Il est arrivé à la conclusion que, dans la plupart des cas, un adolescent perturbé, aux alentours de l'âge de la puberté, est impliqué et plus fréquemment une fille qu'un garçon.

Sa seconde conclusion est que les phénomènes sont directement provoqués par les adolescents, soit qu'ils communiquent leurs terreurs et leurs hallucinations à leur entourage, soit qu'ils sont directement les auteurs des supercheries non détectées par les témoins.

Sa théorie a été désignée sous le nom de naughty little girl theory (théorie de la vilaine petite fille).

Hypothèse sociologique ou folkloriste



Pour les sociologues et les folkloristes, les poltergeists sont une croyance populaire, née de l'inconscient collectif, au même titre que les fantômes, loup-garous, vampires, fées, lutins et autres êtres ou manifestations imaginaires.

Un parallèle peut être fait avec l'approche sociopsychologique du phénomène des soucoupes volantes.

Les folkloristes notent également les nombreux parallèles existant entre les facéties attribuées aux fées ou aux lutins (ou tout autre être similaire, quel que soit son nom et ses spécificités) et les agissements des poltergeists.

Ceux-ci figurent, avec les fantômes, parmi les punitions infligées à ceux présumés les avoir offensés.

Hypothèse psychanalytique



Pour les psychanalystes, les poltergeists sont de nature hallucinatoire.
Ils sont la projection extérieure de conflits psychologiques internes aux individus concernés, auxquels il faut trouver un sens.

Selon Sigmund Freud :
« La phase d'agitation hallucinatoire nous apparaît ici encore comme dénotant un combat entre le refoulement et une tentative de guérison qui cherche à ramener la libido vers ses objets.
Jung, avec une extraordinaire acuité analytique, a reconnu, dans les « délires » et dans les stéréotypies motrices de ces malades, les résidus des investissements objectaux d'autrefois auxquels ils se cramponnent convulsivement. »

— Sigmund Freud, Cinq Psychanalyses

Dans cette approche, les manifestations physiques éventuelles sont des événements secondaires, voire négligeables :

« La façon dont vous détournez la question de savoir si ces phénomènes sont réels ou falsifiés, et la ramenez à l'étude psychologique du médium, donc des antécédents, me semble la juste voie pour entreprendre ce genre de recherches, qui conduiront à une explication des faits en question. »

— Ernest Jones, La Vie et l'œuvre de Sigmund Freud

Freud ne croyait pas aux phénomènes de psychokinèse, ce qui n'était pas le cas de Jung, qui relate ainsi ce qui s'est passé pendant une de leurs rencontres où ils abordaient ce sujet, le 25 mars 1909 à Vienne :

« Pendant que Freud continuait sur son idée, j'eus une sensation étrange.
J'avais l'impression que mon diaphragme était chauffé à blanc, comme une voûte incandescente.
Et juste à ce moment, il se produisit dans la bibliothèque, juste à notre droite, une détonation si bruyante que nous nous levâmes tous les deux, effrayés, craignant qu'elle ne s'écroulât sur nous.
Je dis à Freud : “Voilà un exemple de ce qu'on appelle un phénomène catalytique. — Allons donc, s'écria-t-il, c'est une blague. — Ce n'en est pas une, répondis-je. Vous vous trompez, professeur. Et pour le prouver, je prédis qu'il va y avoir une autre détonation aussi violente dans un moment.”
Naturellement, j'avais à peine prononcé ces mots qu'on entendit de nouveau la même détonation.
J'ignore toujours ce qui me donna cette certitude.
Mais je savais, sans aucun doute possible, que le bruit allait se reproduire.
Freud se contenta de me regarder bouche bée.
Je ne sais pas ce qui se passait dans son esprit, ni ce que signifiait son regard. »

— Carl Gustav Jung, Ma Vie, souvenirs, rêves et pensées

Selon la psychologue et psychanalyste Djohar Si Ahmed:

« Pour moi, la réalité physique des poltergeists n'est ni plus ni moins démontrable que l'existence des fantasmes, ou même de la pensée !
Et croyez-moi : un bon poltergeist, vrai ou faux, vaut bien mieux qu’un cancer, une sclérose en plaques ou un eczéma chronique, sans parler d'une schizophrénie !
L'aspect physique du phénomène n'est pas de mon ressort et ne m'intéresse pas.
J'y vois un symptôme, et si une intervention psychologique peut aider à le résoudre, à obtenir que jamais il ne revienne ni ne soit remplacé par autre chose de pire encore, c'est l'essentiel. »

— S. Michelet, Djohar Si Ahmed, Lorsque la maison crie

Hypothèse parapsychologique ou métapsychique



Depuis la fin du xixe siècle, plusieurs groupes de recherches sur les phénomènes paranormaux et la parapsychologie se sont penchés sur l'étude des manifestations liées aux poltergeists, tant en France qu'à l'étranger.

Citons l'Institut métapsychique international (IMI) créé en 1919 en France, la Society for Psychical Research (SPR) créée en 1898 en Angleterre, l'American Society for Psychical Research (SAPR) aux États-Unis, l'Institut für Grenzgebiete der Psychologie und Psychohygiene (IGPP) en Allemagne ou encore le Brazilian Institute for Psychobiophysical Research (IBPP) au Brésil.

Ces organismes, regroupés au sein de la Parapsychological Association, sont composés de chercheurs de diverses disciplines qui tentent une approche scientifique de ces phénomènes.

L'hypothèse défendue par les parapsychologues Hans Bender et William G. Roll89 est généralement retenue par ces chercheurs.

Les manifestations seraient dues à un effet de psychokinèse (PK) spontanée, produite inconsciemment par une personne perturbée, et plus spécifiquement dénommée psychokinèse spontanée et répétitive (PKSR).

Il est toutefois à noter que « l'effet PK » n'a pas été scientifiquement démontré à ce jour. Selon Alan Gauld, autre spécialiste de la question:

« Les expériences menées dans certains laboratoires ne nous en on pas assez appris sur la psychokinésie pour décider si oui ou non elle a un rapport quelconque avec les phénomènes des esprits frappeurs.
Et nous ne devons pas nous laisser aller à croire qu'en leur appliquant une terminologie à consonance scientifique telle que RSPK nous avons progressé vers une explication. »

— Alan Gauld, Les mystères de l'inconnu

Les parapsychologues sont partagés sur les causes profondes qui animent le sujet à l'origine des manifestations et qui pourraient être :


  • Soit des éléments dissociés de la personnalité et de la conscience du catalyseur (médium).

  • Soit la perception par ce médium d'une « imprégnation » de l'habitation par la mémoire d'un ou plusieurs défunts l'ayant occupée antérieurement.



Cette dernière éventualité se rapproche de l'hypothèse spirite, dont elle se distingue toutefois par l'absence de référence à un « Esprit » agissant.

Modélisation du phénomène
Un physicien et psychologue allemand, Walter von Lucadou a proposé un modèle théorique et expérimental original, appelé « Modèle de l'information pragmatique » (MPI), pour décrire les phénomènes parapsychologiques.
Selon lui, les poltergeists ont une évolution en quatre phases successives :


  • Surprise :
    Découverte de manifestations croissantes dont les causes physiques sont vainement recherchées par les témoins qui finissent par demander une aide extérieure (police, gendarmerie, etc.)

  • Déplacement :
    En l'absence de causes identifiées, l'origine surnaturelle commence à être évoquée.
    La nature des manifestations évolue.
    La venue de journalistes et de parapsychologues augmente la « demande » implicite en faits observables qui, parallèlement, se raréfient.

  • Déclin :
    Les observateurs se lassent et se désintéressent.
    On découvre des fraudes.

  • Répression :
    La fraude est médiatisée, les témoins sont mis au pilori et ridiculisés.



Le modèle imaginé par Walter von Lucadou est extrêmement complexe.

En résumé, le phénomène ne pourrait disposer que d'une quantité finie d'information pragmatique (I) échangée avec l'environnement dans un processus décrit par une équation mathématique :

I = Fiabilité × Autonomie = Confirmation × Nouveauté.


Il en découle que la recherche d'augmentation de la fiabilité des observations fait décroître l'autonomie de celles-ci et que l'augmentation de la perception de ces manifestations, leur confirmation, diminue leur nouveauté.

Une des conséquences de cette théorie serait l'explication de la difficulté récurrente à obtenir des preuves incontestables.

Par exemple, l'enregistrement vidéo intégral d'une manifestation excéderait la quantité d'information pragmatique disponible du phénomène et serait donc impossible.

Hypothèse religieuse



La possibilité d'infection de lieux ou de personnes par des démons et leur expulsion par des opérations religieuses ou magiques spécifiques, est présente dans la plupart des religions et des cultures.

Avec de nombreuses variantes, les Églises chrétiennes ont, en général, longtemps considéré que les phénomènes de hantise et de poltergeist étaient des cas de possession diabolique dus à la présence d'entités démoniaques qui pouvaient être chassées à l'aide de rituels appropriés appelés exorcismes.

Cette pratique s'est développée simultanément avec l'omniprésence du démon dans la religion, de la fin du Moyen Âge jusqu'au xixe siècle.

ctuellement l'exorcisme n'est généralement plus utilisé qu'en dernier recours, avec des succès divers, après l'échec de solutions d'ordre psychologiques ou psychiatriques :

« Sous une forme simple, l'exorcisme est pratiqué lors de la célébration du Baptême.
L'exorcisme solennel, appelé “grand exorcisme”, ne peut être pratiqué que par un prêtre et avec la permission de l’évêque.
Il faut y procéder avec prudence, en observant strictement les règles établies par l'Église.
L'exorcisme vise à expulser les démons ou à libérer de l'emprise démoniaque et cela par l'autorité spirituelle que Jésus a confié à son Église.
Très différent est le cas des maladies, surtout psychiques, dont le soin relève de la science médicale.
Il est important, donc, de s'assurer, avant de célébrer l'exorcisme, qu'il s'agit d'une présence du Malin, et non pas d'une maladie. »

— Catéchisme de l'Église catholique

. Pour autant, le père Herbert Thurston, prêtre catholique jésuite, rappelle que les exorcismes concernent exclusivement l'expulsion des esprits immondes du corps des vivants et que :

« ... les rituels autorisés par la hiérarchie ecclésiastique ne fournissent aucune prière se rapportant au problème des lieux prétendument hanté, à tort ou à raison; exception faite des formules courantes, pour la bénédiction d'une maison, contenues dans le rituel romain. »

Il est d'ailleurs patent que, dans plusieurs cas relatés dans son ouvrage, les rituels divers pratiqués par des prêtres de diverses religions chrétiennes pour tenter de faire cesser les phénomènes ont tous échoué, des symboles religieux tels que crucifix, images pieuses ou eau bénite ayant eux-mêmes été victimes des exactions.

Hypothèse spirite



Selon la doctrine spirite exposée par Allan Kardec, les poltergeists sont les manifestations d'Esprits désincarnés de bas niveau, appartenant à la sixième classe du troisième ordre, selon l'échelle spirite :

« Sixième classe : Esprits frappeurs et perturbateurs.
Ces Esprits ne forment point, à proprement parler une classe distincte, eu égard à leurs qualités personnelles ; ils peuvent appartenir à toutes les classes du troisième ordre.
Ils manifestent souvent leur présence par des effets sensibles et physiques tels que les coups, le mouvement et le déplacement anormal de corps solides, l'agitation de l'air, etc. Il paraissent, plus que d'autres, attachés à la matière; ils semblent être les agents principaux des vicissitudes des éléments du globe, soit qu'ils agissent sur l'air, sur l'eau, le feu, les corps durs ou dans les entrailles de la terre.
On reconnaît que ces phénomènes ne sont point occasionnés par une cause fortuite ou physique, quand ils ont un caractère intentionnel et intelligent. »

— Allan Kardec, Le Livre des Esprits

La présence d'un médium à effet physique semble toutefois indispensable.
Le médium ignore généralement qu'il possède cette faculté. Il cède involontairement de l'énergie aux Esprits qui s'en servent pour provoquer les manifestations, comme ce fut le cas pour les sœurs Fox, à l'origine du mouvement spirite.





# Arts, culture, médias


Littérature



Essai
Henri Michaux, Une voie pour l'insubordination, Fata Morgana, 1980 (ISBN 978-2-85194-793-2)

Romans
Bien que s'inspirant de faits réels, ces romans sont de pures fictions, allant bien au-delà des événements les ayant inspirés.


  • L'Exorciste roman de William Peter Blatty paru en 1971, a été inspiré par un cas de poltergeist relevé dans la presse locale du Maryland en 1949, concernant un garçon de 14 ans.

  • Amityville : La Maison du diable, roman de Jay Anson paru en 1977, a été inspiré par l'aventure présumée vécue par la famille de George Lutz.
    Un grand nombre des phénomènes décrits ont trouvé une explication banale.
    De nombreuses contradictions et déformations dans les propres propos de la famille Lutz jettent par ailleurs un voile de discrédit sur leur récit.



Personnage
Dans la saga Harry Potter, Peeves est un esprit frappeur qui s'amuse à martyriser les jeunes étudiants en leur faisant des farces ou en leur lançant des malédictions.


Cinéma


Les scénarios des films mélangent des manifestations physiques typiques des poltergeist avec des phénomènes d'apparitions et de possessions diaboliques.

  • Au rendez-vous de la mort joyeuse de Juan Luis Buñuel, France / Italie, 1972

  • L'Exorciste (The Exorcist) de William Friedkin, États-Unis, 1973. Tiré du roman homonyme de William Peter Blatty

  • Amityville : La Maison du diable (The Amityville Horror) de Stuart Rosenberg, États-Unis, 1979 ; tiré du roman de Jay Anson

  • Poltergeist de Tobe Hooper, États-Unis, 1982 ; repris en 2015 par le réalisateur Gil Kenan

  • Poltergeist II (Poltergeist II: The Other Side) de Brian Gibson, États-Unis, 1986

  • Poltergeist III de Gary Sherman, États-Unis, 1988.

  • Poltergay d'Eric Lavaine, France, 2006

  • Poltergeist de Sam Raimi et Gil Kenan, États-Unis, 2015

  • Conjuring 2 : Le Cas Enfield de James Wan, États-Unis, 2016



Télévision



  • Poltergeist, les aventuriers du surnaturel série télévisée américano-canadienne.

  • Supernatural série télévisée américaine, créée par Eric Kripke et produite par McG, où les frères Winchester pourchassent des esprits et des créatures surnaturelles


  • Esprit frappeur est le titre du quatrième épisode de la quatrième saison de la série télévisée Dr House

  • Poltergeist est le nom de l'épisode 53 de la troisième saison de Kaamelott.

  • American Horror Story, série d'anthologie américaine, créée par Ryan Murphy. La première saison est centrée sur une maison hantée et ses étranges locataires.

  • Ghost Hunt, le premier cas de la série manga adapté du Light Novel du même nom implique un poltergeist.



Musique



  • The Poltergeist est une chanson de heavy metal de King Diamond, présente dans l'album The Spider's Lullabye. Les paroles content la rencontre d'un homme avec un
  • poltergeist

  • Poltergeist est une chanson de jazz de Shiina Ringo.

  • Poltergeist est une chanson de jazz de Mayumi Kojima, utilisée comme générique d'ouverture de l'anime Ghost Hound



Jeux vidéo



  • Un boss de Super Mario Galaxy (et sa suite Super Mario Galaxy 2) est fortement inspiré des Poltergeists (il se nomme d'ailleurs Polta en version française et Bouldergeist en version anglaise, en référence au phénomène duquel il est inspiré)

  • Le pokémon Motisma de la série Pokémon est un poltergeist, il peut prendre le contrôle de différents appareils ménagers102. Le Pokémon Polthégeist, de son nom français, fait référence au poltergeist.

  • Dans la série Touhou Project, les sœurs Prismriver, Lunasa, Lyrica et Merlin, sont toutes trois des poltergeists.










Plus d'infos :





Waha

Elementary [GON] - Lun 15 Mai 2017 - 22:51





Elementary




# Bloc Technique
Titre original : Elementary
Genre : crime, drame, mystère
Créateur : John Polson et Guy Ferland, basé de très loin sur les aventures de Sherlock Holmes, d'Arthur Conan Doyle.
Réalisation :  Michael Cuesta, Craig Sweeny, Jason Tracey et Jeffrey Paul King
Pays d’origine :  États-Unis
Sociétés de production :  CBS Television Studios et Timberman - Beverly Productions
Sociétés de distribution :   CBS
Nombre de saisons : 5 pour le moment
Nombre d’épisodes : 119 pour le moment
Durée :  42 minutes
Date de diffusion : 27 septembre 2012 – en production
Site Web officiel :  http://www.cbs.com/shows/elementary
Casting :  
Jonny Lee Miller  : Sherlock Holmes
Lucy Liu  : Dr Joan Watson
Jon Michael Hill  : l'inspecteur Marcus Bell
Aidan Quinn  : le capitaine Thomas Gregson
Nelsan Ellis : Shinwell Johnson
John Noble  : Morland Holmes, le père de Sherlock  







# Synopsis de Wikipedia

Le célèbre détective venu de Londres où il était consultant pour Scotland Yard, Sherlock Holmes, habite désormais à New York dans une résidence type brownstone à Brooklyn. Tout juste sorti d'une cure de désintoxication, à la demande de son père richissime avec lequel il est en conflit, Sherlock est contraint de cohabiter avec Dr Joan Watson, ancienne chirurgienne reconvertie en compagnon de sobriété, également engagée par le père de Sherlock. Les capacités d'observation et de déduction phénoménales de Holmes, alliées aux excellentes compétences médicales de Watson, sont mises au service du NYPD, chargé d'enquêter sur des crimes apparemment insolubles.




# Mon Avis

Un peu de mal au début pour accepter ce duo original, après quelques épisodes j'ai commencé à oublier un peu la série Sherlock pour m'habituer !!
Faut dire que le début fait un peu plagiat... m'enfin...
Jonny Lee Miller campe un Sherlock bien arrogant mais peu charismatique (comparé à Cumberbatch, oui, je n'arrive pas vraiment à l'oublier au final).
Lucy Liu est toujours aussi magnifique.

Comme je l'ai dit, le duo est original mais pas si attachant que ça... les enquêtes sont sympa quoique parfois alambiquées.

Une série qui se regarde bien quand on aime les enquêtes policières mais je pense qu'il faut vraiment mettre de coté la partie "inspirée par les aventures de Sherlock Holmes, d'Arthur Conan Doyle"





# Trailer






# Note

Malgré les audiences en baisse, Elementary reviendra pour une saison 6 !





Kara no Kyoukai - The Garden of Sinners - [7 films] [GON] - Sam 22 Oct 2016 - 10:54










# Bloc Technique
Titre original : 空の境界, Kara no Kyōkai
Genre : Aventure, Drame, fantastique, mythe
Durée : Environ 55 minutes par film
Auteur : Kinoko Nasu
Chara-design : Takashi Takeuchi (original), Atsushi Ogasawara, Mitsuru Obunai, Takuro Takahashi, Teiichi Takiguchi, Tomonori Sudou
Réalisation : Ei Aoki, Hikaru Kondo, Mitsuru Obunai, Shinsuke Takizawa, Takahiro Miura, Takayuki Hirao, Takuya Nonaka, Teiichi Takiguchi
Scénario : Masaki Hiramatsu (ufotable)
Studio d'animation : ufotable
Editeur Français : Kaze
Date de diffusion : 2007-2009
Site officiel :
Nom des films :
Thanatos (俯瞰風景, Fukan Fūkei) (2007)
Enquête criminelle 1.0 (殺人考察(前), Satsujin Kōsatsu (Zen)) (2007)
Persistante douleur (痛覚残留, Tsūkaku Zanryū) (2008)
L'abime du temple (伽藍の洞, Garan no Dō) (2008)
Spirale contradictoire (矛盾螺旋, Mujun Rasen) (2008)
Enregistrement de souvenirs oubliés (忘却録音, Bōkyaku Rokuon) (2008)
Enquête criminelle 2.0 (殺人考察(後), Satsujin Kōsatsu (Go)) (2009)
[suite : Mirai Fukuin]

Ending :
1: "oblivious" by Kalafina
2: "Kimi ga Hikari ni Kaete yuku" by Kalafina
3: "Kizuato" by Kalafina
4: "ARIA" by Kalafina
5: "sprinter" by Kalafina
6: "fairytale" by Kalafina
7: "Seventh Heaven" by Kalafina








# Synopsis de Wikipedia


Une série de suicides énigmatiques.
Tous concernent des jeunes filles sans histoires, tous ont lieu dans un immeuble abandonné, tous semblent inexplicables.
Alors que la police tente d'élucider le mystère, la seule justification possible pour la population résiderait dans la présence d'un fantôme sur les lieux des crimes.
C'est dans ces circonstances troublantes qu'Aozaki confie l'enquête à Shiki.







Tsubasa Chronicle [2 saisons, 2 séries OAV + film d'animation] [GON] - Sam 28 Mai 2016 - 0:34








# Saison 1 & 2
Titre original : ツバサ・クロニクル, Tsubasa Chronicle
Genre : aventure, mythe, amour, amitié, fantastique
Durée : 52 épisodes de 25 minutes (2 saisons)
Auteur du manga : Clamp
Chara-design : Minako Shiba
Réalisation : Kōichi Mashimo
Studio d'animation : Bee Train, NHK
Editeur Français : Kaze
Date de diffusion : 09/04/2005 au 04/11/2006
Site officiel :
Opening :
1: "Blaze" de Kinya
2: "IT'S" de Kinya
Ending :
1: "Loop" de Maaya Sakamoto
2: "Kazemachi Jet" de Maaya Sakamoto











# Tsubasa : Tokyo Revelations
Titre original : ツバサ TOKYO REVELATIONS
Titre alternatif : Tsubasa -RESERVoir CHRoNiCLE- Tokyo Revelations
Genre : aventure, mythe, amour, amitié, fantastique
Durée : 3 OAV de 25 minutes
Auteur du manga : Clamp
Chara-design : Yoko Kikuchi
Réalisation : Shunsuke Tada
Studio d'animation : Production I.G
Editeur Français : Kaze
Date de diffusion : 2007-2008
Site officiel :
Opening : "Synchronicity" de Yui Makino
Ending : "さいごの果実 (Saigo no Kajitsu)" de Maaya Sakamoto








# Tsubasa Chronicle: Shunraiki
Titre original : ツバサ 春雷記
Titre alternatif : Tsubasa: Spring Thunder
Genre : aventure, mythe, amour, amitié, fantastique
Durée : 2 OAV de 30 minutes
Auteur du manga : Clamp
Chara-design : Yoko Kikuchi
Réalisation : Shunsuke Tada
Studio d'animation : Production I.G
Editeur Français : Kaze
Date de diffusion : 17/03/2009 au 15/05/2009
Site officiel :
Opening : "Sonic Boom" de Maaya Sakamoto
Ending : "Kioku no Mori" de FictionJunction YUUKA








# Bloc Technique : Tsubasa RESERVoir CHRoNiCLE the Movie
Titre original : 劇場版ツバサ・クロニクル 鳥カゴの国の姫君 , Tsubasa Chronicle ~ Tori Kago no Kuni no Himegumi
Titre alternatif : Tsubasa Chronicle le film : La Princesse du Royaume de la Cage aux Oiseaux, Tsubasa RESERVoir CHRoNiCLE the Movie: The Princess in the Birdcage Kingdom
Genre : aventure, mythe, amour, amitié, fantastique
Durée : film de 35 minutes
Auteur du manga : Clamp
Chara-design : Yoko Kikuchi
Réalisation : Itsuro Kawasaki
Studio d'animation : Production I.G
Editeur Français : Kaze
Date de diffusion : 20/08/2005
Site officiel :
Opening : "aerial" de Kinya
Ending : "Amurita" de Yui Makino









# Mon Synopsis

Bon passons a l'histoire !!!!!!

Mais rapidemment car j'ai fait un long post descriptif sur le manga donc si vous voulez des infos dirigez vous dessus

Mais bon...
L'histoire débute au pays de Clow ou Shaolan, un archéologue et Sakura, la princesse du royaume sont depuis leur plus tendre enfance...
Bon en fait, ils sont plus que de simples amis, ils s'aiment en secret.... c'est mignon, hein?
Quand Sakura se prépare a lui déclarer sa flemme, elle le rejoint dans les ruines mais tout ne se passera pas comme prévu...
Sakura s'envole, comme possédée... Shaolan tentera de la retenir mais rien n'y fera, la princesse perds tous ses souvenirs et son ames...
Mais rien n'est perdu car les souvenirs et l'âme de la princesse dispersés à travers de multiples dimensions sont sous forme plumes....
Pendant ce temps, le pays de Clow est envahi par d'étranges hommes en noirs....

Yukito, le grand prêtre du pays de Clow tente le tout pour le tout... Envoyer Sakura et Shaolan chez Yuko, la sorcière des dimensions, capable d'exaucer tous les vœux pour peu que l'on n'y mette le prix....

Shaolan payera un lourd fardeau....
Il accepte de perdre tous les liens qu'il avait avec Sakura....
Elle ne se souviendra jamais de lui comme son ami d'enfance...
Mais ils ne seront pas seul pour ce lourd chemin....

Kurogane, un ninja qui a tendance a agir avant de réfléchir, est envoyer a Yuko par la princesse Tomoyo afin qu'il ne blesse pu les gens sans raison (ou qu'il les tue)...
Bien entendu, Kurogane veut retourner voir Tomoyo pour avoir une explication....

Fye, un sorcier bien secret, fuit son monde a tout prix...

Et enfin Mokona Madoki, une créature crée par Yuko et qui possède 108 techniques spéciale mais surtout qui permet a la troupe de contacter Yuko et .... voyager a travers les dimensions pour trouver les plumes....


Bah voila pour la petite histoire, nos amis vont donc traverser un certain nombre de monde pour trouver ses fameuses plumes et sauver Sakura... mais rien n'est si simple :/
y'a des méchants !!!!!




# Mon avis

Donc maintenant mon avis... je crois n'avoir vu que les 5 premiers épisodes avant que la série ne soit licenciée...
Et bon... je sais pas... comparé au manga j'ai trouvé qu'il manquait un truc...
J'ai trouvé les dessins flous (mais beau !) et l'histoire m'a semblé un peu répétitive...

Mon avis n'est donc pas super vu que j'ai pas tout regardé... désolée.... si des gens ont tout vu, ils peuvent laisser un commentaire avec leur point de vu !!

Mais je pense que si j'avais pas dévoré le manga comme une grosse affamée, j'aurais regardé la série avec plaisir...

Sinon la zic est vraiment sympa... (oui, on m'a prêté les cd uhuhuh)

Voilaaaaaaaaaaaaa a bientôt pour de nouvelles (ou pas) séries !!!




# Avis de @Nourriture

L'anime reste fidèle au manga à part une partie de la saison 2 et quelques détails niveau "mondes" mais ça ne m'a pas gêné perso, surtout que le gros plus de l'anime c'est la musique, elle est vraimeeeent sympa comme tu l'as dit !
Maintenant le seul bémol de l'anime comme dans le manga, c'est qu'a un moment les choses traines, ça devient un peu long/répétitif et on s'en lasse un peu hélas ;_;






Waha

Kikoushi Enma [GON] - Mar 19 Jan 2016 - 0:35









# Bloc Technique
Titre original : 鬼公子 炎魔, Kikoushi Enma
Titre alternatif : Demon Prince Enma
Genre : fantastiques, mythe
Durée : 4 OAV de 40 minutes environ
Auteur : Go Nagai
Chara-designer : Toshiyuki Komaru
Réalisateur : Mamoru Kanbe
Scénariste : Takao Yoshioka
Studio d'animation : Brain's Base
Editeur Français : Black Box
Année : 2006-2007
Site officiel :
Ending : "DECADENCE" de GRANRODEO







# Mon Synopsis

L'histoire commence, une jeune fille court partout l'air terrifié, elle a du sang sur ses vêtements et semble poursuivie par quelque chose ou quelqu'un.

Une jeune femme en Yukata et un homme roux habillé en noir avec un chapeau de sorcière noir apparaît.
Ils poursuivent la jeune fille pour la tuer ? non, pour tuer ce qu'il y a en elle.... Car la jeune fille à véritablement un monstre en elle.


La femme en Yukata, Yukihime est la reine des neige (comprenez elle est capable d'utiliser la neige pour ce battre) et l'homme est Enma, sorte de prince des enfers qui utilise des flammes pour détruire les démons.
Ces deux personnes, Kapaeru (le kapa) ainsi que Shapoo-jii (le chapeau qui parle) sont revenues dans le monde des vivants afin de chasser les monstres et autres créatures qui en viennent a posséder les vivants et s'ils ne veulent pas retourner dans le monde des morts, ils se font calcinés par le feu d'Enma !




# Mon Avis

Voila en gros l'histoire...
Seulement l'ambiance est vraiment bien gore, les musiques, les petits passages super rapides qui montrent ou pas des choses qui rendent l'ambiance encore plus glauque et malsaine...
Les personnages centraux sont assez peu développés mais au final, on s'en fiche complètement, l'important c'est de suivre l'histoire et la chasse aux vilains trucs qui possèdent les humains et qui leur font faire des choses....

Bref, au début, j'étais pas particulièrement emballée par cette histoire car en général j'aime avoir des personnages dont on a pas mal d'infos...
Mais l'ambiance est vraiment sympa et les 4 OAVs paraissent bien trop courts !!!!





Waha

Kurokami The Animation [GON] - Mar 19 Jan 2016 - 0:27









# Bloc Technique
Titre original : 黒神 The Animation
Titre alternatif : Black God The Animation
Genre : action, mythe, fantastique
Durée : 23 épisodes de 25 minutes environ
Auteur : Dall-Young Lim, Sung-woo Park
Chara-designer : Hiroyuki Nishimura
Réalisateur : Tsuneo Kobayashi
Studio d'animation : Sunrise
Licencié : non
Année : 2009
Site officiel :
Opening :
-1: "Sympathizer" de Minami Kuribayashi
-2: "tRANCE" de GRANRODEO
Ending :
-1: "Irodori no Nai Sekai" de Yousei Teikoku
-2: "Gekkou no Chigiri" de Yousei Teikoku







# Mon Synopsis

L'histoire...
Keita, lycéen est hanté par le souvenir de la mort de sa mère.
En effet, juste avant de mourir, lui et sa mère ont vu une jeune femme ressemblant trait pour trait a la maman.

Mais ce n'est pas la seule mort étrange qui apparaît autour de lui...

Ses événements l'ont rendu solitaire, incapable de se faire des amis.

Un jour, dans son lycée, il entend parler une de ses camarades d'une fille lui ressemblant trait pour trait. Cette camarade finira par mourir également !

Keita se demande alors si l'histoire des Doppeliners n'est pas réelle : trois copies ayant un pourcentage de chance différent.

La personne avec le plus de chance est appelée Root.

Si deux copies se rencontrent, elles décéderont brutalement et leur pourcentage de chance reviendra a la copie root.

Cette histoire de Doppeliners lui sera confirmée par Kuro, une jeune fille étrange que Keita rencontrera lorsque celui-ci mangera un ramen ( en fait elle meurt de faim alors Keita lui offre son repas).

Elle lui explique qu'elle est une Mototsumitama (elle maitrise le Tera qui doit etre une sorte de pouvoir) et qu'elle veut tuer son frère.

Mais un assaillant arrive pour s'attaquer a Kuro...

Quelques temps plus tard, Keita retrouve Kuro chez lui en train de manger du chou.... Elle l'aurait suivi car elle mourait de faim...

Keita la fous dehors puis pris d'un sentiment de pitié, il va la retrouver pour lui donner a manger mais tout ne se passe pas simplement...

Kuro se fait attaquer et Keita meurt en la protégeant.

Pour sauver Keita, Kuro fait un échange de cœur, les liant par un pacte.

Désormais, Kuro sera plus forte si son cœur et celui de Keita rentre en résonance...




# Mon Avis

Voila pour l'histoire, un peu compliquée mais intéressante (bien que le thème une héroïne sauve de la mort un type qui l'a protégée et après ils doivent faire équipe est assez récurrent dans les mangas)

Les personnages sont sympa, on voit se profiler un/des méchants et Kuro fait que manger...
Son petit chien est plutôt marrant aussi...

Les dessins sont beaux et les combats sont bien réalisées (et sanglants enfin un peu)

J'ai vu que les trois premiers épisodes donc je suis encore dans la phase est-ce bien est-ce mal? Mais mon avis est plutôt positif pour le moment !!! Vivement la suite !!!!





Waha

Tales of Symphonia [3 séries d'OAV] [GON] - Lun 18 Jan 2016 - 23:40






Tales of Symphonia




# Bloc Technique : Tales of Symphonia
Titre original : テイルズ オブ シンフォニア THE ANIMATION, Tales of Symphonia the Animation
Genre : Aventure, mythe, rpg, heroic-fantasy
Durée : 4 OAVs de 30 minutes
Auteur : Namco
Chara-designer : Kosuke Fujishima
Réalisateur : Haruo Sotozaki
Studio d'animation : ufotable
Licencié : non
Année : 2007
Site officiel : http://ova-tos.com/sylvarant/
Opening : "ALMATERIA~Vocal Mix~" de Eri Kawai (eps 1-4)
Ending :
-1: "Negai" de Kaori Hikita (eps 1-2)
-2: "Uchi e Kaerō" de Nana Mizuki (ep 3)
-3: "ALMATERIA~Vocal Mix~" de Eri Kawai (ep 4)








# Bloc Technique : Tales of Symphonia Tethe'alla
Titre original : テイルズ オブ シンフォニア THE ANIMATION テセアラ編, Tales of Symphonia the Animation Tethe'alla
Genre : Aventure, mythe, rpg, heroic-fantasy
Durée : 4 OAVs de 30 minutes
Auteur : Namco
Chara-designer : Akira Matsushima
Réalisateur : Haruo Sotozaki
Studio d'animation : ufotable
Licencié : non
Année : 2010
Site officiel : http://ova-tos.com/
Opening : "Tenkuu no Canaria" de Nana Mizuki
Ending : "Inori no Kanata" de Akiko Shikata








# Bloc Technique : Tales of Symphonia The United World Episode
Titre original : テイルズ オブ シンフォニア THE ANIMATION 世界統合編, Tales of Symphonia the Animation Sekai Tōgō-hen
Genre : Aventure, mythe, rpg, heroic-fantasy
Durée : 3 OAVs de 30 minutes
Auteur : Namco
Chara-designer : Akira Matsushima
Réalisateur : Haruo Sotozaki
Studio d'animation : ufotable
Licencié : non
Année : 2011-2012
Site officiel : http://ova-tos.com
Opening : "Honto Uso" de Me
Ending :
-1: "Taga Tame no Sekai" de Akiko Shikata
-2: "Ibitsu" by Akiko Shikata
-3: "Hikari Furu Basho de~Promesse~" de Akiko Shikata (ep 3)
-4: "Kaze wa Harukana Asu wo Shiru" de Akiko Shikata (Series Grand Ending;ep 3)








# Mon Synopsis

Cette histoire est tirée du jeu vidéo du même nom sorti sur Game Cube et PS2 (chez nos amis japonais). Ce rpg contenait un certain nombre de cinématiques vraiment belles !!!

Bon je l'ai pas fini par manque de temps....

Si vous voulez jeter votre GC et le jeu faites moi signe je veux toujours le finir (ma sauvegarde traîne sur une memory card depuis un bout de temps)

Mais arrêtons de parler jeu vidéo pour parler de la série d'OAV !!

Donc déjà, nan je dois reparler du jeu XD la durée de vie doit bien dépasser les 60h... la vous aurez... 2h pour ces OAV :/

Voila maintenant, l'histoire !!

Pour ceux qui ont joué au jeu, ça reprend l'intrigue principale en simplifiant pas mal les choses... Mais bon en 2h on peut pas tout voir (et on verra pas tout :p)

Vous êtes dans un monde appelé Sylvarant qui se trouve être en déclin, en effet, la source de "Mana" (energie) est vraiment au niveau le plus bas...

Pas mal d'années auparavant, une guerre avait éclatée entre les humains et les elfes... Mythos, le héros de cette guerre avait mis un terme au massacre mais pas au conflit...

Les elfes, les humains et les demi elfes sont toujours en froid. Enfin surtout les demi-elfes...
Ceux-ci ont formé un groupe appelé les "Desians" dans lequel ils se proclament être des "êtres supérieurs"...

Dans cette ambiance de conflit, la "régénération" semble être la seule solution pour régler le problème..
L'Elue, Colette Brunel devra effectuer un périple jusqu'à la tour du salut afin d'éveiller la déesse Martel, pour ramener le Mana mais aussi pour éliminer les Desians.

Colette part donc régénérer le monde au coté d'un mercenaire appelé Kratos, de Raine, son institutrice, de Lloyd, l'ami (voir plus) de Colette et Genis, le frere de Raine.

Ensemble, ils détruiront des sceaux élémentaires, mais verront aussi la transformation de Colette en ange.

Mais cette aventure ne sera pas sans répit puisque les "Desians" ne veulent pas de la régénération mais ils ne sont pas les seuls...




# Mon Avis

Voila pour l'histoire a savoir que celle-ci s'arrête quand nos amis quittent Sylvarant... Une deuxième série d'OAV doit se passer sur Tethe'allah...

A savoir que même si les rebondissements sont moins fréquent dans les OAV que dans le jeu, ceux-ci sont quand même la pour faire avancer l'histoire !!

Les personnages sont tres intéressants, surtout Colette qui subira vraiment beaucoup de tourments mais aussi Lloyd en proie a ses sentiments...

Ces personnages sont vraiment charismatiques, Kratos et Sheena ont toujours autant la classe ! Et Colette est vraiment trop mignonne...

Les chara-designs sont tres proches du jeu et sont vraiment bien rendu ! La musique est toujours aussi... géniale !!

Donc même si ça ne procure pas autant de plaisir que le jeu, l'anime est vraiment sympa !!!!

Voila, je ne vous en raconte pas plus ni ne vous fait de petit tableau sur les personnages pour ne pas en dévoiler plus (j'ai déjà bien spoiler certains trucs :/)









Waha

Ghost Hound [GON] - Mar 20 Mar 2012 - 16:54









# Bloc Technique
Titre original : 神霊狩, Ghost Hound
Titre alternatif : Shinreigari
Genre : Drame, Horreur, fantastique et mythe
Durée : 22 épisodes de 24 minutes
Création : Masamune Shirow
Chara-design : Mariko Oka
Réalisation : Ryutaro Nakamura
Scénario : Chiaki J. Konaka
Studio d'animation : Production I.G
Editeur Français : Kazé
Date de diffusion : 18/10/2007 au 04/04/2008
Site officiel :
Opening : "Poltergeist" de Mayumi Kojima
Ending : "Call My Name ~Kazenari no Oka~" de Yucca







# Synopsis de wikipedia

L'histoire est centrée sur trois jeunes lycéens qui vivent dans la petite ville reculée de Suiten, au nord de l'île de Kyushu, et qui partagent une étrange amnésie.
En 1996, Tarō Komori et sa sœur Mizuka ont été enlevés à la sortie de l’école alors qu'ils étaient enfants.
Si Tarō a pu être retrouvé vivant, Mizuka n'a pas eu cette chance et est morte de faim et de déshydratation, la police retrouvant finalement leur trace dans un hôpital abandonné.
Toujours perturbé par cette douloureuse expérience onze ans plus tard, Tarō cherche cependant à comprendre ce qui s'est passé pendant qu'il était séquestré.
Il semble également que deux élèves (Masayuki et Makoto) de son école et une jeune écolière (Miyako) soient liés à lui pour différentes raisons.
Cependant, à la suite d'un accident, la frontière entre le monde des esprits et celui des humains commence à disparaître, ouvrant la voie aux fantômes et autres divinités.
Les trois garçons partageront alors ensemble une expérience hors du commun : la projection astrale qui leur permet de « sortir de leur corps ».
Une nouvelle vision du monde où les esprits vagabondent s’ouvre ainsi à eux.
Mais parviendront-ils à rétablir le fragile équilibre ?






ririx

Shi-Ki [GON] - Mar 1 Fév 2011 - 23:16









# Bloc Technique
Titre original : 屍鬼, SHI KI
Genre : Horreur, Fantastique, Mythe
Durée : 22 épisodes de 23 minutes
Auteur du manga : Fuyumi Ono, Ryu Fujisaki
Chara-design : Shinji Ochi
Réalisation : Tetsuro Amino
Scénario : Kenji Sugihara
Studio d'animation : Daume
Editeur Français : Kazé
Date de diffusion : 09/07/2010 au 31/12/2010
Site officiel :
Opening : Shinji Ochi
1: "Kuchizuke" de Buck-Tick
2: "Calendula Requie" de kanon X kanon
Ending :
1: "Walk no Yakusoku" de nangi
2: "Gekka Reijin" de Buck-Tick







# Mon Synopsis

Dans cet anime nous découvrons un village, Sotoba, étendue sur toute une région qui est aussi entouré de montagnes et de forets autant dire une région isolé.
Donc cette histoire (qui se déroule comme un calendrier ou une espèce de journal) nous parle de ses habitants qui y vivent et où une mystérieuse famille vient d’emménager dans le château qui surplombe la vallée.
Depuis l’été, un grand nombre de personnes meurt sans véritables raisons enfin pas tout à fait pour certains (mais les raisons sont à découvrir dans l’anime).
Et donc les personnes vont tous faire (je dis bien tous) pour essaye de survire pour finalement avoir un revirement étonnant où l’ont pourrai presque avoir de la pitié pour l’ennemie.
Et donc une série d’aventures horribles mais en même temps prenantes vont se dérouler pour aboutir à une fin spectaculaire !




# Mon Avis

C’est une anime qui a su me prendre et me retenir jusqu’au bout, et il me semble que 22 épisodes sont passé trop vite et j’espère une 2e saison !
C’est une pur concentré de bonheur ou plutôt d’horreur car bien que l’anime soit intéressante il y a une grande part d’éléments à ne pas faire voir à tout le monde.
Sinon niveau scenario, je crois qu’il atteint l’une des première place dans mon palmarès, il y va en douceur pour arriver à une vrai fin (un peu comme un vrai film hollywoodien !)
Niveau graphisme et sonore je dirai aussi qu’il n’y a rien à dire c’est plus que satisfaisant !
Donc un anime que je conseille à tous de voir et de revoir tellement qu’il m’a plu !








ririx

Shinrei Tantei Yakumo [GON] - Dim 16 Jan 2011 - 15:38









# Bloc Technique
Titre original : 心霊探偵 八雲, Shinrei Tantei Yakumo
Titre alternatif : Psychic Detective Yakumo
Genre : énigme, fantastique et mythe
Durée : 13 épisodes de 25 minutes
Auteur du Light Novel : Kaminaga Manabu, Suzuka Oda
Chara-design : Manamu Amasaki, Minako Shiba, Yukiko Ban
Réalisation : Tomoyuki Kurokawa
Scénario : Hiroyuki Kawasaki
Studio d'animation : Bee Train Production
Date de diffusion : 03/10/2010 au 26/12/2010
Site officiel :
Opening :
1: "Key Phase 1" de Daisuke Ono (eps 1-3)
2: "Key Phase 2" de Daisuke Ono (eps 4-6)
3: "Key Phase 3" de Daisuke Ono (eps 7-13)
Ending :
"Missing You" de Lisa Komine







# Mon Synopsis

Cette histoire tourne autour de Yakumo Saitô, un jeune homme mystérieux.

Bien que d’apparence normal, il a la capacité de voir et de comprendre l’âme des mort grâce a son œil gauche de couleur rouge écarlate.

Ceux-ci restent sur terre, pour faire éclater la vérité concernant les raisons de leurs morts et ainsi leur faire trouver le repos.

Après une première enquête, visant à aider une personne possédée, il rencontre Haruka, cette dernière va se lier d’amitié (en plus encore) avec notre personnage principale et ainsi l’aider à travers ses différentes enquête futures.

Il y a d’autres personnages qui viendront s’ajouter à cette panoplie mais je vous laisse le soin de les découvrir en regardant cet anime.

Donc cet anime, nous raconte dans un premier temps, un certain nombre de petits histoires qui ne semble pas être connecté mais dont chaque épisode se finit par un petit bout d’une autre histoire.

Tous ceci viendra s’assembler au fur et a mesure de l’anime et qui nous amènerons a une fin assez extraordinaire.




# Mon Avis

J’ai beaucoup aimé cet anime, pas mal d’action, un brin de fantastique, un chouya de relationnel, et ca vous donne cet anime.

Il m'a vraiment intéressé a telle point de ne pas voir le temps passer et de commencer ca nuit au petit matin.
J’ai donc avalé cet anime d’une traite.

Point de vue graphique et sonore, c’est tout à fait satisfaisant et mais assez bien adapté au contexte.

Niveau scénario, on est servi un ensemble d’histoires qui semble être aléatoires mais une fin qui connectée tous ces derniers pour arrivé a un dénouement et des révélations surprenantes.

Voila je n’ai plus qu’un seul conseil à vous donner, regardez cet anime !








Waha

Blue Dragon [GON] - Sam 9 Oct 2010 - 15:24









# Bloc Technique
Titre original : ブルードラゴン , Blue Dragon
Titre alternatif : Dragon Bleu :}
Genre : Aventure, Comédie, Mythe, Pokémon, Akira TORIYAMA (oui c'est un style aussi)
Durée : 1275 minutes environ, le tout répartit sur 51 épisodes
Chara-design : Akira Toriyama, Tsuneo Ninomiya
Réalisation : Yukihiro Matsushita
Scénario : Akatsuki Yamatoya
Studio d'animation : Studio Pierrot
Editeur Français : Kaze
Date de diffusion : 07/04/2007 au 29/03/2008
Opening :
"Unstoppable" de Jeremy Sweet [Viz Media Version]
"FRIEND" de Keita Tachibana (eps 1-26)
"Mune ni Kibō o" de Haruka (eps 27-51)
Ending :
"You'll never find a better friend" de Giuliano Pizzulo [Viz Media Version]
"Fly So High" de Yu Yamada (eps 1-16)
"Kokoro" de SS501 (eps 17-26)
"Hana" de Masami Mitsuoka (eps 27-38)
"Sepia" de D-51 (eps 39-51)









# Bloc Technique
Titre original : BLUE DRAGON 天界の七竜, Blue Dragon: Trials of the Seven Shadows
Genre : Aventure, Comédie , fantasy
Durée : 51 épisodes d'une vingtaine de minutes
Chara-design : Akira Toriyama, Tsuneo Ninomiya
Réalisation : Yukihiro Matsushita
Scénario : Akatsuki Yamatoya
Studio d'animation : Studio Pierrot
Editeur Français : Kaze
Date de diffusion : 05/04/2008 au 28/03/2009
Opening :
"Hikari no Sasu Hō e" de JiLL-Decoy association
"Aoi Mirai" de Watari-Rouka Hashiritai (eps 27-51)
Ending :
"Tsubomi" de JiLL-Decoy association
"Sunnyday"de Lead (eps 14-26)
"I~ja NAI?" de Mikuni Shimokawa (eps 27-39)
"Tsubomi" de Mikuni Shimokawa (eps 40-51)








# Synopsis d'Alex

"Dieu créa le monde dans une intense lumière.
Les rayons du soleil illuminèrent chaque recoin de la terre.
C'est dans ce monde merveilleux que les êtres vivants prirent forme et que la vie commença à se développer.
Ce monde de lumière semblait voué à prospérer...
Mais...
Après avoir obtenu la lumière, les stupides êtres humains voulurent aussi obtenir l'obscurité.
Ainsi, Dieu, acceptant les désirs des hommes y a très, très longtemps, Dieu créa le monde dans une ies, créa l'obscurité.
Et c'est à ce moment que naquirent les ténèbres dans le monde."

Voila ce que sont les premiers mots de cet anime.
La légende de la création de l'univers dans lequel vont évoluer nos personnages, les bases étant posées, on passe au résumé.

Deux personnages qui arrivent à dos d'une bête assez étrange (croisement d'un chocobo et d'une Sa-lopette à poils ras) en soulevant plein de poussière, un ptit monstre belliqueux et mauve (non là je parle plus de Sa, ça ressemblerait plus à une waha en période de recherche d'emploi) et des gros vaisseaux armés qui parcourent un ciel rouge pas très rassurant (j'irais pas en vacances là-bas quoi) voila à peu près ce que l'on voit au tout début du premier épisode et donc forcement on comprend pas grand chose.

Notre histoire va réellement commencer alors que Shû (le héros donc, 10 ans et toutes ses dents, enfin ses dents de lait quoi) apprend de ses amis qu'un Maître Chevalier vient d'arriver en ville, une chance inespérée pour lui qui rêve depuis toujours de devenir apprenti chevalier.
Alors qu'il court comme un dératé en faisant n'importe quoi, il va se retrouver nez à nez avec un jeune garçon qu'il ne connaît pas et un duel va s'engager...
D'ailleurs ça risque d'être chaud vu que son adversaire semble posséder une sorte de pouvoir (une aura l'entoure et son ombre se met à bouger toussa).
C'est alors qu'une femme met fin à la confrontation, elle porte une grosse épée et semble plutôt sûre d'elle, est-elle la personne qu'il recherche?
On n'en saura pas plus pour le moment...

Ca discute un moment et peu de temps après que tout le monde se soit séparé les vaisseaux du début se pointent commencent à tout casser et à déverser des soldats sur la ville.
Quand Shû s'en aperçoit il part à la recherche de Zola (la femme à l'épée) pour lui demander son aide, chose qu'elle va refuser (normal quoi, elle les connait pas ces gens là faut pas déconner).
Il décide donc d'y aller seul mais il ne va pas pouvoir faire grand chose le pauvre et alors qu'il se rend compte de son impuissance, un pouvoir qu'il ne soupçonnait pas va jaillir, son ombre se transformant en un grand dragon bleu...





# Avis d'Alex

Une série à laquelle j'ai vraiment bien accroché, c'est beau (surtout si comme moi, vous aimez le style TORIYAMA, de plus on peut apprécier des graphismes assez égaux d'un épisode à l'autre, pas comme les DBZ qui étaient fait à la chaîne), c'est fluide, les épisodes apportent souvent un plus scénaristiquement parlant sans parler des surprises que nous réserve la fin de l'anime... (ouais j'ai craqué j'ai matté le dernier en RAW) Une très très bonne surprise pour un anime que j'avais peur de voir n'être destiné qu'à un public de gosses!

A noter que l'anime n'a de commun avec le manga (dessiné par OBATA => Death Note, Hikaru no Go toussa) que le concept des ombres ainsi que le dragon bleu (forcement) et qu'une deuxième saison devrait déjà avoir commencé à sortir au Japon! Ptètre un future article!






Waha

Vision d'Escaflowne [GON] - Mar 27 Avr 2010 - 23:31




 




# Bloc Technique
Titre original : 天空のエスカフローネ, Tenkū no Esukafurōne
Titre alternatif : Tenkuu no Escaflowne, Escaflowne
Genre : Action, Fantastique, Mythe, Héroique toussa...
Durée : 26 épisodes de 25 minutes
Chara-designer : Nobuteru Yuki
Réalisateur : Kazuki Akane
Scénariste : Akihiko Inari, Hiroaki Kitajima, Ryota Yamaguchi, Shoji Kawamori (ep 1)
Studio d'animation : Sunrise
Editeur Français : Dybex - Voir les épisodes légalement  : ADN
Date de diffusion : 2 avril 1996 – 24 septembre 1996
Age conseillé : + 10 ans
Opening : "Yakusoku wa Iranai" de Maaya Sakamoto
Ending :
1: "Mystic Eyes" de Hiroki Wada (eps 1-25)
2: "ザ・ストーリー・オブ・エスカフローネ~エンド・タイトル (The Story of Escaflowne ~ End Title)" de Yoko Kanno (ep 26)
Insert Song:
"Aoi Hitomi" de Maaya Sakamoto (ep 23)
"Hikari no Naka e" de Maaya Sakamoto (ep 24)
"Perfect World" de Masayoshi Furukawa (ep 17)
"Tomodachi" de Maaya Sakamoto (ep 6)







# Blabla de Sa-chan

C’est le tout premier animé que j’ai regardé (si on oublie l’époque club Do, parce qu’à ce moment là, je savais même pas que je regardais des animés…. 0_0) alors c’est en même temps une séquence émotion pour moi O_Q (ç larme à l’œil)

*Roulement de tambour*

Je vais vous parlez de Visions d’Escaflowne, Tenkuu no escaflowne de son vrai nom !
Produit par le studio Sunrise à la même époque qu’évangelion c'est-à-dire en 1996 et se compose de 26 épisodes.




# Synopsis de Sa-chan

Alors oui, cet animé a plus de quinze ans, et quand on le regarde, ça se sent….
(pas comme l’argent qui n’a pas d’odeur, Mais c’est tellement bon les anciens animés ! =)

J’vous raconte !
Le premier épisode, semble somme toute banal, un lycée, une fille, un mec « niania je l’aime mais je sais pas comment le lui dire bla bla bla je suis pas assez bien pour lui lol jle kiffe grave de tout son corps mais jamais il voudra de moi »
Mais que nenni !!
Vous êtes bien vite détrompés de cette première impression fade !
Dès de premier épisode apparaît – alors que notre héroine, Hitomi tente de battre un record de vitesse (pour impressionner le gars qu’elle aime « nianiania jte kiffe trop ») - apparaît sur le chemin de la course le beau, le grand (pas tant que ça), le courageux, le valeureux Van Fanel, en plein combat avec un dragon !!
Alors j’sais pas vous, mais moi, alors que je me balade dans la rue, et qu’apparaît devant moi un gars en armure combattant un dragon, je choque un peu, ou je change de fournisseur de drogue parce que celle que je prends est devenue trop forte pour moi (la drogue c’est mal, ne tombez pas la dedans les jeunes ^^)

Donc, on passe un peu les détails, pour arriver à l’épisode deux : Hitomi, est partie avec le beau Van Fanel, sur le monde de celui-ci.
Enfin, elle l’a pas vraiment fait exprès, mais la situation est telle qu’elle, et elle peut de ce monde apercevoir dans le ciel, le sien (qui a priori est le notre aussi)
Elle n’aura donc de cesse de vouloir retourner sur Terre (Van lui a promit son aide)
SAUF QUE dans ce monde, ils ont pas des fusées pour la renvoyer sur Terre, alors ça va être un peu compliqué.
Ajoutons à cela un peu d’ésotérisme : Hitomi tire les tarots [mini spoil] ce qui aura une grande importance par la suite [/mini spoil]

Voila donc pour le début de l’intrigue de cette série, bien entendu, ça va se corser par la suite, elle rencontrera le sosie de l’homme qu’elle aime sur Terre, y’aura des méchants pas très gentils, une fille-chat espiègle en faisant voir de toutes les couleurs a Hitomi
(« KEWA ???? TA OSE TAPROCHER DE MON VAN !! JE VAI DEVNIR ROUGE DE COLERE LOL »),

Des filles chats, beaucoup moins gentille que la première, des combats d’épées, des combats de mecha avec des épées (oui, y’a des mecha, mais sans les rayons ultra sonic (le hérisson) de la mort qui tue), un Van (non, le prénom du héros, pas un camping-car !) qui semble quand même s’intéresser à la petite Hitomi (« semble » étant un euphémisme), un perso totalement taré et psychopathe (Dilandeau) au passé trouble…




# Avis de Sa-chan


Bref, en résumant, y’a tout ce qu’il faut pour réussir une série : amour, combats, ésotérisme, passé douloureux, quête, rebondissement, un méchant qui dit quasi « je suis ton père » (j’ai dit quasi…), de l’heroic fantasy...
Un animé qui m’a collé sur place et dont je ne pouvais rien lâcher !
(Ô comble du malheur lorsque j’ai découvert cette série sur canal + et qu’ils n’ont pas diffusé la fin à ce moment là…. T_T)
Bon, ok, j’avoue, c’est aussi parce que je suis tombée amoureuse de Van… [otaku] KYAAAAA il est trop beau !!!!! [/otaku]

Mais les mecs, vous inquiétez pas, y’a aussi des filles dedans !!
Les filles chats sont pas sont pas excessivement habillées si je n’m’abuse (ou, au pire, elles ont des combi super moulantes), mais je suis plus sûre de mon coup, et c’est pas vraiment ce que j’ai regardé à l’époque….






Waha

Blood + [GON] - Lun 8 Mar 2010 - 20:11









# Bloc Technique
Titre original : ブラッドプラス, Blood +
Titre alternatif : Blood TV, Blood Night
Genre : Action, fantastique, mythe, horreur.
Durée : 50 épisodes de 25 minutes
Chara-design : Chizu Hashii
Scénario : Jun'ichi Fujisaku
Studio d'animation : I.G, Aniplex
Editeur Français : Black Box, Déclic Images, Anime Store
Date de diffusion : 08/10/2005 au 23/09/2006
Site officiel :
Opening :
1: "Aozora no Namida" de Hitomi Takahashi (eps 1-13)
2: "SEASON’S CALL" de HYDE (eps 14-25)
3: "Colors of the Heart" deUVERworld (eps 26-38)
4: "Raion" de Jinn (eps 39-50)
Ending :
1: "Kataritsugu koto" de Chitose Hajime (eps 1-13,50)
2: "CRY NO MORE" de Mika Nakashima (eps 14-25)
3: "This Love" de Angela Aki (eps 26-38)
4: "Brand New Map" de K (eps 39-49)







# Mon Synopsis

C'est celle de Saya, une jeune fille adopté par une famille composé de deux garçons et d'un père.

Saya est une étudiante ordinaire enfin presque, elle a besoin de transfusions régulières et mange comme 4...

Mais un jour, une attaque de "chiroptère" va tout changer dans la vie de Saya, en effet, ce n'est pas une jeune fille ordinaire, elle est la seule a pouvoir combattre des vampires.

La seule a pouvoir arrêter la prolifération de ses monstres...





# Mon Avis

Dans la série TV, Saya est franchement plus humaine que dans le film d'animation, elle a des sentiments et aime sa famille d'adoption.

Vraiment une superbe série aux combats et personnages sympathique... (ou pas du tout sympathique)

Et la musique de Diva... magnifique, entêtante et angoissante....

les design sont sympa et même si certains passages sont un peu longs, l'histoire est intéressante !!!!

Bref une bonne série a voir !!





# Avis de @Ririx

j'ai bien aimé cette anime bien que ca fasse longtemps que je l'ai vue!





# Avis d'@Alcméon

Bien aimé cet anime. =) Rare de voir une synthèse aussi bien façonnée, d'ailleurs.
Par contre, 'faut passer outre le surplus de jolis sentiments et les dialogues très souvent superflus...






Waha

Natsume Yuujinchou [6 saisons] [GON] - Lun 8 Mar 2010 - 15:43









# Saison 1
Titre original : 夏目友人帳, Natsume Yūjin-Chō
Titre alternatif : Natsume's Book of Friends
Genre : fantastique, mythe, démons japonais, livre, chat qui parle
Durée : 13 épisodes de 25 minutes
Auteur du manga : Midorikawa Yuki
Chara-design : Akira Takata
Réalisation : Takahiro Ōmori
Scénario : Kenichi Kanemaki
Studio d'animation : Brains Base
Date de diffusion : 08/07/2008 au 30/09/2008
Site officiel :
Opening : "Issei no Sei" de Shūhei Kita
Ending : "Natsu Yūzora" de Kōsuke Atari








# Saison 2 : Zoku Natsume Yuujinchou
Titre original : 続 夏目友人帳, Zoku Natsume Yūjin-Chō
Titre alternatif : Natsume's Book of Friends
Genre : fantastique, mythe, démons japonais, livre, chat qui parle
Durée : 13 épisodes de 25 minutes
Auteur du manga : Midorikawa Yuki
Chara-design : Akira Takata
Réalisation : Takahiro Ōmori
Scénario : Kenichi Kanemaki
Studio d'animation : Brains Base
Date de diffusion : 06/01/2009 au 31/03/2009
Site officiel :
Opening : "Ano hi Time Machine" de LONG SHOT PARTY
Ending : "Aishiteru" de Callin









# Saison 3 : Natsume Yuujinchou San
Titre original : 夏目友人帳 参, Natsume Yūjin-Chō San
Titre alternatif : Natsume's Book of Friends
Genre : fantastique, mythe, démons japonais, livre, chat qui parle
Durée : 13 épisodes de 25 minutes
Auteur du manga : Midorikawa Yuki
Chara-design : Akira Takata
Réalisation : Takahiro Ōmori
Scénario : Sadayuki Murai
Studio d'animation : Brains Base
Date de diffusion : 05/07/2011 au 27/09/2011
Site officiel :
Opening : "Boku ni Dekiru Koto" de HOW MERRY MARRY
Ending : "Kimi no Kakera feat. Miyamoto Emiri" de Kōsuke Atari










# Saison 4 : Natsume Yuujinchou Shi
Titre original : 夏目友人帳 肆, Natsume Yūjin-Chō Shi
Titre alternatif : Natsume's Book of Friends
Genre : fantastique, mythe, démons japonais, livre, chat qui parle
Durée : 13 épisodes de 25 minutes
Auteur du manga : Midorikawa Yuki
Chara-design : Akira Takata
Réalisation : Takahiro Ōmori
Scénario : Sadayuki Murai
Studio d'animation : Brains Base
Date de diffusion : 03/01/2012 au 27/03/2012
Site officiel :
Opening : "Ima, Kono Toki" de Hiiragi
Ending : "Takaramono" de Marina Kawano, "Treasure" de Marina Kawano








# Saison 5 : Natsume Yuujinchou Go
Titre original : 夏目友人帳 肆, Natsume Yūjin-Chō Shi
Titre alternatif : Natsume's Book of Friends
Genre : fantastique, mythe, démons japonais, livre, chat qui parle
Durée : 13 épisodes de 25 minutes
Auteur du manga : Midorikawa Yuki
Chara-design : Akira Takata
Réalisation : Takahiro Ōmori, Kotomi Deai
Scénario : Sadayuki Murai
Studio d'animation : Brains Base
Date de diffusion : 04/10/2016 au 21/12/2016
Site officiel :
Opening : "Takarabako" de sasanomaly
Ending : "Akane Sasu" de Aimer










# Saison 6 : Natsume Yuujinchou Roku
Titre original : 夏目友人帳 陸, Natsume Yūjin-Chō Roku
Titre alternatif : Natsume's Book of Friends
Genre : fantastique, mythe, démons japonais, livre, chat qui parle
Durée : 11 épisodes de 25 minutes
Auteur du manga : Midorikawa Yuki
Chara-design : Akira Takata
Réalisation : Takahiro Ōmori, Kotomi Deai
Scénario : Sadayuki Murai
Studio d'animation : Brains Base
Date de diffusion : 11/04/2017 au 20/06/2017
Site officiel :
Opening : "Floria" de Tomohisa Sakō
Ending : "Kimi no Uta" de Rei Yasuda









# Mon Synopsis pour la saison 1

Natsume Takashi voudrait un adolescent comme les autres mais il ne l'est pas...
Ce qui fait la différence, c'est qu'il peut voir les esprits (les yokai, les ayakashi...) ce qui le rend bien solitaire...
Dans son enfance, il a souvent été rejeté des autres en parlant a ses esprits/monstres... du coup, il cache ses capacités hors du commun....

Après avoir dans de nombreuses familles d'accueil, Natsume arrive chez les Fujiwara, un couple proche de ses parents.

Mais c'est dans cette nouvelle ville que Natsume apprendra que ça grand-mère, Reiko avait elle aussi le même don et qu'elle s'en est servie pour passer des pactes avec beaucoup de Yokai en notant leurs noms dans un livre, le livre des amis (Yuujinchou).

Natsume va également rencontrer Nyanko-sensei, un ayakashi... ou plutôt il va le libérer....
Nyanko-sensei prend l'apparence d'un Maneki-neko, vous savez, ce petit chat porte bonheur qui lève une papatte :p mais dans sa véritable forme il a nettement plus la classe XD

Et finalement, Nyanko-sensei aidera Natsume a rendre les noms aux Yokai faisant parti du livre des amis, au départ il voulait le manger pour récupérer le livre pour lui mais il attendra qu'un autre Yokai tue Natsume.... ou pas....




# Mon Avis pour la saison 1

L'opening et l'ending sont supers, vraiment beaux et relaxants...

Bon passons a l'histoire.... elle est vraiment sympa cette histoire, on y voit de la mythologie et tout mais on voit surtout un jeune homme solitaire se faire des amis !
Natsume a un style assez cool je trouve, il reste simple et aide les gens quitte a souffrir... c'est un héros bien sympa....
Nyanko-sensei m'a beaucoup fait rire.... vu que cet Ayakakashi prend l'apparence d'un chat.... il se conduit vraiment comme un chat "nya nyaaaaaa" XD

Le graphisme est sympa lui aussi, et le peu d'action rend un peu l'anime lent mais je trouve que ça va bien avec cette atmosphère particulière....

Je conseille vraiment cette série a tout ceux qui cherchent une histoire fraiche, pas prise de tête et qui veulent changer un peu des trucs gores ou ecchi....





# Mon avis pour la saison 2

L'opening & l'ending sont encore magnifiques comme la première saison...

Pour l'histoire, on en apprend encore plus sur les Yokai et Reiko... mais la fin arrive vraiment trop vite.... en regardant le dernier épisode, je me suis sentie un peu triste.... ça faisait vraiment longtemps que je m'étais pas sentie triste a la fin d'un anime....







Revenir en haut