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Il cherche sa clé Bitcoin à 88 millions de dollars dans une décharge publique - Dim 4 Fév 2018 - 13:42





Il cherche sa clé Bitcoin à 88 millions de dollars dans une décharge publique




Cet informaticien britannique a jeté le disque dur qui contenait son portefeuille de Bitcoins. Celui-ci vaut aujourd’hui 88 millions de dollars…

Il y a des jours où l’on pourrait être mieux inspiré. Et le petit goût amer du regret risque de hanter pendant quelque temps James Howells, un informaticien gallois, qui fut parmi l’un des tout premiers à croire au Bitcoin.

Howells a commencé à s’intéresser aux crypto-monnaies dès 2009, année de la création du Bitcoin. Prenant le sujet très au sérieux en pionnier, il s’est aussitôt mis à miner des Bitcoins, jusqu’à en accumuler environ 7 500 unités avant que sa petite amie, lassée du bruit du minage émis par ses ordinateurs, ne le lui demande d’arrêter. Rappelons que le minage de crypto-monnaies nécessite des machines de plus en plus puissantes et génère une forte consommation d’énergie. Bref, rien de très grave, à l’époque le Bitcoin ne valait quasiment rien, et bien malin qui aurait pu prévoir la flambée hallucinante de cette monnaie virtuelle dans les années qui allaient suivre…

Exit le minage, donc. La majeure partie de l’équipement utilisé fut vendue sur eBay après que son propriétaire y ait même renversé de la limonade. Par ailleurs, le disque dur contenant la clé de son portefeuille numérique reste dans un tiroir pendant trois ans avant de passer lui aussi à la poubelle « par inadvertance ». Une broutille ? Pas vraiment, au moment où il prend la décision fatale, le Bitcoin vaut déjà 130 dollars. Mais ce n’est rien à côté de ce qui va suivre.

Une fortune dans une décharge publique

Arrive fin 2013, James Howells fait le point sur les marchés cryptographiques et commence à sérieusement regretter sa décision quelque peu hâtive de faire un grand ménage dans son matériel informatique. Et pour cause, à ce moment-là, la capitalisation boursière de bitcoin commence à devenir un truc vraiment sérieux, et les 7500 Bitcoins qu’Howells a jetés à la benne valent déjà… quelques millions. Nous sommes en 2017, et au moment où j’écris ces lignes, le Bitcoin vaut exactement 9900 euros. Un petit calcul rapide nous fait comprendre l’ampleur des dégâts, et des regrets de notre infortuné Gallois : s’il avait conservé son portefeuille, il serait aujourd’hui à la tête d’une petite fortune de plus de 74 millions d’euros, soit 88 millions de dollars.

Après quelques années de réflexion, James Howells a pris une autre décision, dont la mise en application sera probablement juste un peu plus compliquée : rechercher son disque dur dans la décharge publique au sein de laquelle il aurait été enfoui, dans une sorte de chasse au trésor 2.0. Une mission peu ragoûtante et qui n’est pas sans risque : le creusement d’une immense parcelle de terre et d’ordures vieille de cinq ans, dégage des gaz dangereux qui peuvent également déclencher des incendies, le tout pour récupérer un disque dur d’ordinateur portable qui ne fonctionnera peut-être pas et qui contient les clés d’une hypothétique fortune qui n’en vaudra peut-être plus le centième au moment où il le retrouvera.

S’il le retrouve bien sûr.






Un Breton, baron présumé de la drogue, arrêté aux Etats-Unis alors qu'il se rendait à un concours de la plus belle barbe - Mar 10 Oct 2017 - 21:25





Un Breton, baron présumé de la drogue, arrêté aux Etats-Unis alors qu'il se rendait à un concours de la plus belle barbe





Un habitant du village de Plusquellec, en Bretagne, est accusé d'être au cœur d'un trafic de drogue sur le "dark web", l'internet clandestin. Il a été arrêté à l'aéroport international d'Atlanta, aux États-Unis.

Des perquisitions ont eu lieu à la mi-septembre à Plusquellec (Côtes-d'Armor), après l'arrestation par les autorités américaines de l'un de ses habitants, accusé d'être un baron de la drogue sévissant sur le "dark web", l'internet clandestin, a appris franceinfo vendredi 29 septembre, de source policière.

Des stupéfiants et 50 000 euros saisis

Les policiers de la direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ) de Rennes sont notamment venus perquisitionner l’un des trois domiciles costarmoricains d’un certain Gal Vallerius. Ils ont saisi 50 000 euros et des stupéfiants. Ce Français, âgé de 38 ans, a été interpellé le 31 août dernier, à l'aéroport international d'Atlanta, aux États-Unis, alors qu'il se rendait au Texas afin d'y participer à un concours de la plus belle barbe du monde.

Sa femme, de nationalité israélienne, voyageait avec lui. Elle a été immédiatement expulsée du territoire américain. Selon une source policière jointe par franceinfo, elle n'a pas été interpellée dans le cadre de cette enquête.

Mais Gal Vallerius, l'homme à la barbe rousse, lui, était bien dans le viseur des autorités américaines depuis plusieurs mois. Elles le soupçonnaient d'être, sous le pseudo d'OxyMonster, l'un des principaux administrateurs et modérateurs d'un forum du "dark web", Dream Market, un site permettant le commerce illégal de drogue. En d'autres termes, les autorités américaines l'avaient identifié comme étant un baron mondial de la drogue sévissant sur le web clandestin.

Repéré en traçant des bitcoins

Lors de son arrestation, le contenu de son ordinateur portable a confirmé que Gal Vallerius était bien le détenteur du pseudo OxyMonster, selon les autorités américaines. Les enquêteurs ont également trouvé, sur son ordinateur portable, le navigateur Tor, qui permet d'accéder au "dark web", et l'équivalent de 500 000 dollars en bitcoins, une monnaie virtuelle.

C'est justement en traçant ces bitcoins que les enquêteurs américains étaient parvenus à trouver la véritable identité d'"OxyMonster". En vérifiant plus de 70 transactions, ils avaient fini par remonter la piste, notamment grâce au site qui permet d'échanger ces bitcoins virtuels en argent bien réel.

Oxymonster indiquait opérer depuis la France. Les enquêteurs américains ont ensuite réussi à trouver ses pseudos sur Twitter et Instagram. Des comptes sur lesquels il était cette fois tout sauf discret, postant notamment de nombreuses photos de sa longue barbe très soignée. Surtout, il y révélait sa véritable identité, Gal Vallerius, et sa véritable localisation de Plusquellec, un village de moins de 600 habitants, en Bretagne.







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