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7 résultats trouvés pour LSV

nikos

Sais tu ce que veux dire "Andragogie" ? [GON] - Mer 8 Fév 2017 - 0:24









 
L'andragogie désigne la science et la pratique de l'éducation des adultes.
Un apprentissage par la pédagogie chez l'adulte peut paraitre infantilisant, on différencie donc la formation de l'enfant (pédagogie) avec la formation de l'adulte (andragogie).
En plus de la façon de s'exprimer (langage direct et indirect) les besoins et les attentes des adultes sont différent et les objectifs ont besoin de plus de clarté permettant de motivé et structuré la formation.
Aujourd'hui si quelqu'un vous demande d’être pédagogue avec un adulte, en réalité beaucoup veulent dire andragogue.















# Plus d'infos sur wikipedia


L'andragogie est la pratique de l'éducation des adultes.
Le terme « andragogie » apparaît pour la première fois en Allemagne en 1833.

Le terme « andragogie » est formé à partir de deux mots du grec ancien, anèr (ἀνήρ) ou andros (ἀνδρὀς), qui signifient « l'homme », dans le sens d’humain mâle ; et agogos (ἀγωγός), qui veut dire « le guide ».
On désigne donc par « andragogie » l'ensemble de techniques susceptibles d'amener à la connaissance, d'éduquer, de former des apprentis, des travailleurs.

Selon Knowles (« the father of andragogy ») comme on l'appelle aux États-Unis, l'andragogie ce n'est pas seulement l'apprentissage des adultes, mais c'est également de l'éducation permanente et de la psychologie humaniste dans le monde contemporaine à travers des institutions de formations des adultes.
D'après lui, l'andragogie se définit par opposition à la pédagogie.
Il s'agit d'un nouveau modèle destiné à favoriser l'apprentissage des adultes (The Art and Science of helping adults to learn, 1970).

Histoire


Le terme « andragogie » est inventé par l’Allemand Alexander Kapp en 1833.
Il évolue ensuite vers une théorie de la formation des adultes d’Eugen Rosenstock-Huessy.
Aux États-Unis, il a été popularisé par l’américain Malcolm Knowles.
Ce dernier revendique le mot « andragogie » qui, pour lui, doit être distingué de « pédagogie », communément utilisé.
Knowles a déjà commencé à élaborer une théorie de l’éducation pour adultes à la fin de la Seconde Guerre mondiale, quand il est sensibilisé au terme d’andragogie par Dusan Savicevic.
Les deux hommes se rencontrent à Boston en 1966, où Savicevic expliqua à Knowles dans quel cadre ce terme est employé en Europe.
En 1967, Knowles fait d’abord usage d'« androgogie » pour présenter sa théorie de l’éducation pour adultes.
Après en avoir discuté avec Merriam-Webster, il modifie l’orthographe du terme pour « andragogie », et l’utilise ensuite sous cette forme pour exposer ses nombreuses idées sur l’apprentissage des adultes.

La théorie de Knowles peut être appréhendée à travers six affirmations liées à la motivation des adultes en situation d’apprentissage.


  1. Besoin : les adultes ont besoin de connaître le pourquoi d’un apprentissage.

  2. Particularité : l’expérience (dont la prise en compte de l’erreur) est la base de toute activité d’apprentissage pour les adultes

  3. Investissement : les adultes doivent pouvoir être impliqués dans les décisions liées au dispositif d’éducation mis en place : organisation, modalités d’évaluation de l’enseignement proposé.

  4. Utilité : les adultes préfèrent apprendre ce qui leur servira à court terme dans leur travail ou leur vie personnelle.

  5. Modalité d’apprentissage : l’apprentissage par situation-problème est plus adapté pour les adultes que la simple transmission de connaissances.

  6. Motivation : les adultes réagissent mieux à une motivation intrinsèque qu’à des exhortations externes.



Dans la majorité des pays européens, les propositions de Knowles n’ont au mieux qu’une influence marginale.
À partir des années 1970, le terme est associé à des recherches émergentes et à des institutions, publications et programmes de formation professionnelles, similaires aux idées développées et mises en pratiques aux États-Unis.
Andragogie est alors utilisé pour désigner un réel courant de pensée, à l’égal d’autres disciplines académiques comme la biologie, la médecine ou la physique.

En 1999, Edmée Ollagnier initie les travaux de recherche avec une approche qui tient compte des inégalités entre les femmes et les hommes.
En 2000, elle crée un réseau international qui regroupe les chercheuses sur cette thématique.

Au Canada, dès 1991 sur les traces de Claude Touchette, père de l'andragogie moderne, une groupe de formateurs dans l'université de Montréal ont commencé à définir les apports de l'andragogie.
Ils ont découvert que ce n'est pas une science, un art ou même une méthode, mais c'est une découverte révolutionnaire qui conduit à l'épanouissement de l'homme par une éducation qui respecte les besoins, désirs et attentes des adultes et des enfants.
Elle maintient l'équilibre entre 5 savoirs : le savoir faire (les compétences), le savoir faire faire (la confiance), le savoir être (le comportement), le savoir créer (la conceptualisation) et le savoir devenir (la capacité).
Elle est beaucoup plus qu'une pédagogie pour adultes, elle définit le processus d'éducation dans ses différents axes: psychopédagogiques, socio-pédagogiques et pédagogiques. Selon eux, l'andragogie distingue le sujet de l'objet et la personne de son problème.
Elle gère l'intelligence et la compétence émotionnelles de chacun, développe l'esprit de réflexion et d'analyse.
Elle génère l'esprit de tolérance et le refus des étiquettes, sollicite la curiosité, l'enthousiasme et la motivation.
Elle remplace l'idée de contrôle par celle de l'accompagnement et annule toute notion de dépendance au profit de l'indépendance qui mène ensuite à l'autonomie et donc la responsabilité.
Ce groupe de formateurs ont élaboré des recherches qui définissent la situation de l'apprenant, le formateur et la formation au sein de cette méthodologie qui est l'andragogie.




Andragogie et apprenant


« Pour l'adulte, apprendre est un art de vivre en harmonie avec soi-même et avec son environnement duquel et auquel il participe. » (Hélène Trocmé-Fabre.)

L'andragogie met l'apprenant au centre de la formation, elle postule que tout individu possède en lui les moyens de sa réussite.
L'apprenant adulte possède déjà des expériences, croyances et ambitions, il attend de nouvelles méthodes, idées, opinions et motivations et il connait déjà des situations de responsabilité.

L'andragogie considère l'apprenant comme un être à la recherche de son autonomie professionnelle et de son harmonie personnelle.
Elle respecte l'homme sur trois niveaux : tête, cœur et esprit et permet à chacun de prendre le chemin qu'il désire et qu'il choisit.
Cette approche prend ses racines de l'expérience de l'apprenant en respectant les propres objectifs de la formation mais en adaptant les chemins pour les atteindre.
L'apprenant est capable d'apprendre quelque chose, il est expérimenté et peut décider par et pour lui-même, il est intelligent en mesure de comprendre ce qu'on lui explique et responsable de ses choix et des conséquences de ses choix, il est autonome et désireux de se prendre en charge.
Dans cette méthodologie, l'apprenant a besoin de savoir où il va pour assimiler: le sujet doit être introduit, les objectifs doivent être annoncés.
Il a besoin de comprendre les raisons de la formation pour être motivé. Pourtant, il y a quelques difficultés que l'andragogie doit gérer concernant les émotions des apprenants comme l'angoisse, le sentiment de l'insécurité, la peur de rejet ou d'abandon, l'inégalité des chances, le formateur qui n'est pas à l'hauteur et l'apprenant présent-absent.


L'andragogie et le formateur (l'andragogue)


Vu que chaque apprenant est différent, le rôle essentiel du formateur des adultes ou de l'andragogue est devenu de s'adapter aux apprenants et pas le contraire, et ce n'est plus alors une simple adaptation aux objectifs de la formation.
L'andragogue est dynamisé par la curiosité des apprenants, vise à leur autonomie professionnelle, considère l'expérience de l'apprenant avec autant d'intérêt que la sienne, motive les apprenants sans les commander en leur donnant le goût d'apprendre et d'essayer, et non pas à réussir à tout prix.
À cause des attentes illimitées de l'apprenant, l'andragogue se doit se poser des limites expliquées, claires, connues et par conséquences, comprises et acceptées ensemble, et par l'andragogue et par les apprenants et par conséquences nait un respect réciproque entre les deux.

Ce respect qui se compose d'abord chez l'andragogue par :

  • l'expertise professionnelle plus l'expérience de vie de formateur

  • la capacité à créer un environnement adéquat

  • la présentation claire des objectifs

  • l'écoute active et la relation d'aide

  • la faculté de s'adapter à toute situation et à toute personne

  • la confiance en l'autre et en soi

  • la capabilité de transformer chaque difficulté en outil de formation

  • l'intelligence émotionnelle au groupe

  • le respect de la confidentialité et de la parole donnée

  • et avant tout, une éthique au-dessus de tout soupçon



Et pour que l'andragogue facilite la démarche andragogique, il doit être capable de maitriser trois systèmes : le système cognitive qui se déroule autour des connaissances, le système métacognitif qui est l'expérience et le système affectif qui est la motivation.


L'andragogie et la formation


L'andragogie fait de la formation une œuvre d'art dans laquelle, l'apprenant est l'auteur de son succès et le formateur est le moteur de la réussite.
La formation andragogique apporte alors à tous ses actants le goût du travail organisé, le partage des responsabilités, le besoin d'autonomie, l'habitude de gérer le temps et les actions, la possibilité de s'auto-évaluer, l'adaptation aux objectifs, la valorisation des personnes, la reconnaissance des expériences et l'harmonie avec l'environnement.
Une autre sorte d'harmonie dans la formation andragogique, c'est la relation d'accompagnement qui ne peut pas être réussite sans tenir compte de la personnalité de chacun, pousser chacun à se remettre en cause et développer la confiance dans les relations professionnelles.
C'est pour cela que des verbes comme assister au cours, écouter le professeur et d'autres sont remplacés par des verbes actifs comme : explorer, repérer, essayer, adapter, découvrir, coopérer, définir, construire, , etc.
Dans une formation andragogique, le formateur propose, invite, motive, organise mais laisse toujours à l'apprenant son libre arbitre tout en favorisant l'auto-formation, l'auto-gestion, l'auto-planification et l'auto-évaluation


L'action et la formation


Cette définition montre donc un lien très étroit entre action et formation. La modification du comportement impose de devoir recourir à une phase d'action comme médium du comportement et la prise de conscience (au sens de Piaget) comme moyen intellectuel de modifier son action.

La notion des « mondes propres » (Varela et Maturana) est un modèle explicatif de cette approche. En effet, l'action permet à l'apprenant d'agir sur son environnement comme l'environnement agit de la même manière sur l'apprenant. C'est la notion d'autopoïèse appliquée à l'andragogie, c'est-à-dire à la capacité d'un système (apprenant, environnement) à se suffire à lui-même comme processus de formation.

Ceci implique que le formateur ne soit qu'un intervenant, un accompagnateur et un créateur d'environnement de formation permettant à l'apprenant de se former par lui-même. D'autant que c'est le seul moyen pour lui d'y parvenir, en effet, le formateur ne peut « déposer » du savoir-faire dans la tête d'un apprenant. Il ne peut que déployer un espace propice à l’acquisition de nouveaux comportements qu'il veut induire chez la personne qu'il veut former et tout faire pour que ceux-ci soient efficaces.

Cette notion, relativement nouvelle dans le champ des sciences de l'éducation, est sans doute l'un des plus importants et des plus intéressants éclairages que l'on puisse trouver concernant l'analyse de l'activité et des apprentissages. Elle s'inscrit dans un esprit de remplacement des sciences cognitivistes qui, actuellement, sont dominantes dans le domaine de la formation en général.


Différences entre formation des adultes et pédagogie


La formation des adultes est une science encore jeune dont beaucoup de champs restent à découvrir.
Pour l'instant, et afin de posséder des bases scientifiques valables, le formateur d'adultes se tourne souvent vers toute la littérature du domaine de la pédagogie et de l'enseignement.
Or, il semble que le temps et la recherche définissent très clairement une différence entre ces deux sciences : former, ce n'est pas enseigner.
On retrouve encore souvent cette confusion auprès de quelques enseignants, voire auprès de certains formateurs d'adultes.
L'assertion courante et erronée voulant que « former » ce soit « enseigner à un adulte » ne peut être valable.
Avec le temps, on se rend compte que la formation des adultes se différencie de plus en plus de la pédagogie, en tant qu'éducation des enfants.





Entre autres choses, on remarque que l'adulte ne mémorise pas de la même manière (il n'a plus l'habitude d'apprendre par cœur), il n'accepte pas les idées toutes faites et a besoin d'être convaincu (il a l'esprit moins malléable et beaucoup de préjugés).
De plus, l'apprentissage est une remise en cause de ses certitudes (d’où la définition de l'apprentissage en tant que « changement de comportement observable et persistant » proposée par Alain Astouric), ce qui est parfois mal perçu.
Par contre, l'adulte dispose d'une expérience, sur laquelle on peut s'appuyer et d'un esprit critique plus développé.

L'adulte a besoin :

  • de savoir où il va pour assimiler : le sujet doit être introduit, les objectifs pédagogiques rigoureusement annoncés, il faut mettre en avant le lien logique entre les différentes phases de la formation

  • de comprendre les raisons de la formation pour être motivé : les actions doivent être justifiées et acceptées par les apprenants

  • et de s'appuyer sur son expérience pour se retrouver : la connaissance doit sembler surgir des connaissances passées, être une adaptation de ce qui est déjà connu ; l'enseignement doit être interactif



Afin d'obtenir cette situation favorable à la formation, différentes techniques existantes s'appuient souvent sur la participation active de l'apprenant, sous la forme de bilans personnels (bilan de compétences, bilan professionnel), d'échanges interactifs (« qu'en pensez-vous ? »), de mises en situation (jeux de rôles, à ne pas confondre avec l'activité ludique) et de retours d'expériences.
Ceci afin de maximiser l'adéquation entre la formation donnée et ce que l'apprenant adulte pourra en tirer.

On peut aussi penser que, sur nombre de points précités, les besoins des adultes ne diffèrent pas fondamentalement de ceux des adolescents mais qu'ils sont simplement plus visibles.
C'est ce qui a conduit à encourager le retour des adultes apprenants à l'école dans le cadre de la formation récurrente.
Dans l'enseignement universitaire, cette démarche a plutôt bien fonctionné. Dans le secondaire, elle suscitait de grands espoirs : le contact entre « adultes ayant pris conscience de la nécessité de se former » et « jeunes en difficulté manquant de repères sur la valeur de la formation » aurait pu être bénéfique pour tous.
Dans les faits on a constaté que le fonctionnement des établissements secondaires et le contenu des enseignements n'étaient pas adaptés aux adultes en reprise de formation.










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[Japanimation] Sais-tu ce que signifie le mot "Manga" ? - Mer 7 Déc 2016 - 20:35






[Japanimation] Sais-tu ce que signifie le mot "Manga" ?





Si on emploie le mot manga pour parler des bandes dessinées japonaises, il faut savoir qu'étymologiquement, manga signifie « image dérisoire » ou « dessin non abouti ».
En effet, il est composé de « man » (漫) : « involontaire », « divertissant », « sans but » et de « ga » (画) : « dessin », « peinture » !

D'ailleurs, le mot manga étant bien intégré à la langue française, il prend bien un "s" au pluriel Smile
Et il est bien du genre masculin... (même si bande dessinée est au féminin)





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Source : wikipedia


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[Disney] Sais-tu comment fait le parc Disneyland Resort de Floride pour se débarrasser de ses rongeurs ? [GON] - Dim 16 Oct 2016 - 13:55






[Disney] Sais-tu comment fait le parc Disneyland Resort de Floride pour se débarrasser de ses rongeurs ?




 

Et oui, il n'y a pas que Minnie & Mickey qui se baladent dans le parc, il y a en effet tous leurs enfants (ou pas)... sauf que bon c'est pas cool de voir des souris partout dans un parc niveau hygiène...

Une solution simple et évidente.... les chats !!!

En effet, lorsque le parc est fermé aux visiteurs, des chats sont lachés et ainsi ils peuvent débarasser le parc des nuisibles !
La journée, ils peuvent se reposer dans des maisons crées pour eux...

Bon de base, ce sont les chats qui se sont invités mais les dirigeants du parc ont décidé que c'était une bonne idée !






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Waha

Les Tags utilisés sur le forum ! - Sam 15 Oct 2016 - 20:57




[Japanimation] Connais-tu les règles d'utilisation du Death Note ? [GON] - Dim 28 Fév 2016 - 23:35









 
Après avoir posté quelques informations sur le 4ème film Death Note (un jour ce sera sur le blog :p) , j'ai pensé que ce sujet pourrais-être intéressant...

[su_spoiler title="deathnote.wikia" open="no" style="default" icon="arrow-circle-1" anchor="" class=""]


Voici donc les différentes règles d'après le site deathnote.wikia

Le guide d'utilisation du death note (  Jp.  How to use it ) est un manuel expliquant précisément les capacités et l'utilisation du death note.

Contenu



How to use it I



  • Il faut avoir en tête le visage de la personne dont on écrit le nom, sinon cela ne fonctionnera pas. Par conséquent, on ne peut obtenir un résultat sur les personnes de mêmes nom et prénom en une seule fois.

  • À la suite du nom, si l'on écrit la cause de la mort dans un délai de 40 secondes du monde des humains, cela se réalise.

  • Si l'ont écrit pas la cause, la mort est systématiquement due à un arrêt cardiaque.

  • Si l'ont écrit la cause, on obtient alors un délai supplémentaire de 6 minutes 40 secondes pour décrire précisément le déroulement de la mort.


How to use it II



  • Dès lors que le death note tombe dans le monde des humains, il lui appartient.

  • Celui qui s'en saisit devient alors capable de voir et d'entendre le dieu de la Mort qui en est l'ancien propriétaire.

  • Celui qui fait usage de ce cahier ne va ni en enfer ni au paradis.


How to use it III



  • Si l'on écrit l'heure de la mort dans les 40 secondes qui suivent le moment où l'on a écrit "crise cardiaque" comme cause de la mort, on peut fixer l'heure de la mort même pour une crise cardiaque.

  • La personne qui touche le death note devient capable de voir et entendre l'ancien propriétaire du cahier le dieu de la Mort, même si elle n'en est pas elle-même le nouveau propriétaire.


How to use it IV



  • Le possesseur du cahier garde à ses côtés, jusqu'à sa mort, l'ancien possesseur, un dieu de la Mort, aussi longtemps qu'il détient le death note.

  • En général, le dieu de la Mort apparaît devant le nouveau possesseur du death note dans les 39 jours qui suivent le premier jour de l'utilisation.

  • Un dieu de la Mort, propriétaire d'origine du death note, en général, ne fait rien qui puisse aider à faire mourir avec le death note.

  • Le dieu de la Mort n'a aucune obligation d'expliquer complètement l'utilisation du cahier ou les règles à l'humain qui en a pris possession.


How to use it V



  • Un dieu de la Mort peut rallonger sa vie en inscrivant des noms d'humain dans le death note mais un humain, non.

  • Une personne peut réduire sa durée de vie en utilisant le death note.

  • Une personne qui devient possesseur d'un death note peut obtenir un œil de dieu de la Mort, lui permettant ainsi de connaître le nom de celui ou celle qu'elle regarde, en échange de la moitié de sa vie restante.

  • Un dieu de la Mort ne peut être tué, même si on lui tire une balle dans la tête ou si on lui plante un couteau dans le cœur.
    Il serait possible de tuer un dieu de la Mort, mais en général, les dieux eux-mêmes ignorent comment. Cependant, un dieu de la mort peut mourir en sauvant un humain.


How to use it VI



  • Les conditions de la mort décrites dans le death note ne peuvent se réaliser que si elles sont physiquement possible et/ou si elles apparaissent réalisables normalement par un humain.

  • Les conditions possibles de la mort ne sont pas écrites par le dieu de la Mort. Il est donc nécessaire de chercher et de trouver par soi-même.


How to use it VII



  • Une page du death note, ou un morceau de page, a les mêmes propriétés que le cahier lui-même.

  • Il est possible d'écrire dans le death note avec n'importe quel objet (sang, maquillage, etc.) pourvu que l'on puisse écrire directement avec, que cela soit lisible et que cela ne s'efface pas.

  • Même le propriétaire d'origine du death note, un dieu de la Mort, ne sait pas tout du cahier.


How to use it VIII



  • On peut écrire la cause de la mort ou les circonstances en premier, et écrire le nom par la suite, sur la première ligne, le processus fonctionne quand même. Dans ce cas là, on dispose d'un délai de 19 jours, en temps humain, pour écrire le nom.

  • Si une personne, autre que le possesseur du death note, écrit le nom d'une personne sur le cahier et qu'elle connaît son visage, il se produit la même chose que lorsque le possesseur le fait lui-même.


How to use it IX



  • Le death note est inefficace sur les êtres qui ont moins de 780 jours.

  • Si l'on se trompe quatre fois ou plus en écrivant le nom d'une victime, le death note devient inefficace sur cette personne.


How to use it X



  • Le suicide est une cause valide de mort. Fondamentalement, c'est une éventualité envisagée par tous les humains et qui, de ce fait, n'entre pas dans les "actes impensables".

  • Même si la cause de la mort est le suicide ou l'accident, si la mort de la personne désignée peut entraîner celle d'autres personnes, la personne désignée meurt alors d'une crise cardiaque. Cela a pour but d'éviter qu'il y ait une influence sur d'autres vies.


How to use it XI



  • Même après avoir écrit le nom, l'heure et les circonstances, il est possible de modifier autant de fois qu'on le souhaite pendant 6 min 40.
    Bien entendu, pour que le changement soit possible, il ne faut pas que la personne soit déjà morte.

  • Lorsque l'on veut faire une correction pendant les 6 min 40 il faut d'abord barrer de deux traits les mots à corriger.

  • Comme vous l'avez vu ci-dessus, il est possible de modifier l'heure et les conditions de la mort, mais une fois que le nom est écrit dans le death note, la personne ne peut plus échapper à la mort.


How to use it XII



  • Si l'on perd ou si l'on se fait voler le death note, il faut le retrouver dans les 490 jours suivants sous peine d'en perdre le droit de propriété.

  • Si celui qui a accepté l'échange de l'œil perd le droit de propriété du death note, en même temps que sa mémoire s'efface, il perd la faculté de l'œil. Cependant, la moitié de vie qu'il a payée ne lui est pas rendue.


How to use it XIII



  • Le propriétaire du death note peut le prêter à quelqu'un d'autre. Il est aussi possible de le sous-louer.

  • Celui qui a emprunté le death note n'est pas suivi par le dieu de la Mort. Ce dernier reste avec le propriétaire. de plus, l'emprunteur ne peut pas faire l'échange de l'œil avec le dieu de la Mort.


How to use it XIV



  • Si le propriétaire du death note meurt alors qu'il a prêté ce dernier, le droit de propriété revient à celui à qui le death note a été prêté.

  • Si le death note est volé et si son propriétaire est tué par le voleur, le droit de propriété est automatiquement transféré au voleur.


How to use it XV



  • Lorsqu'un même nom est écrit dans deux death notes ou plus, c'est le premier qui a été écrit qui prend effet, sans tenir compte de l'heure de la mort.

  • Si un nom est écrit dans deux death notes ou plus avec une différence de moins de 0,06 seconde, on considère que c'est simultané, et la personne dont le nom a été écrit ne meurt pas.


How to use it XVI



  • Un dieu de la Mort doit obligatoirement garder en sa possession un death note qu'il ne peut confier à un humain ni lui permettre d'utiliser.

  • Les dieux de la Mort peuvent s'échanger leurs death notes et les utiliser sans problème.


How to use it XVII



  • Si un dieu de la Mort éprouve de l'affection pour un humain en particulier, s'il utilise le death note avec l'intention de prolonger sa vie, s'il tue un autre humain pour cela, il meurt..

  • Le dieu de la Mort disparaît, mais son death note subsiste. Normalement, le droit de propriété revient au dieu de la Mort qui le trouve mais en réalité, il est entendu qu'il doit être rendu au roi des dieux de la Mort


How to use it XVIII



  • Dans le monde des humains, des possesseurs de death notes ne peuvent voir leurs dieux de la Mort respectifs que s'il touchent leurs cahiers.

  • Un humain qui possède un œil de dieu de la Mort peut voir le nom et la durée de vie des gens qu'il regarde mais, en tant que possesseur d'un death note, il passe donc du côté de ceux qui prennent la vie et il cesse d'être une victime.
    Par ailleurs, il ne peut pas voir la durée de vie des autres possesseurs de death notes ni la sienne, ce qui n'est finalement pas si grave.

  • Les dieux de la Mort ne doivent pas dire aux humains la durée de vie ou le nom qu'ils peuvent lire. Cela afin d'éviter que naisse la confusion chez les humains.


How to use it XIX



  • Pour qu'un death note soit utilisé dans le monde des humains il faut d'abord qu'il y ai un dieu de la Mort en vie qui s'assure de son usage sur Terre.

  • Il est difficile d'imaginer qu'un dieu de la Mort qui reste auprès d'un humain meurt mais si ça arrive, le death note qu'il a apporté dans le monde des humains conserve son pouvoir.


How to use it XX



  • Pour lire la durée de vie d'un humain grâce à l'œil du dieu de la Mort, il est nécessaire de visualiser plus de la moitié de son visage.
    Si l'on regarde de haut en bas, il est nécessaire de voir au moins la partie qui va du haut jusqu'au nez, la partie en dessous du nez ne suffisant pas, à elle seule, à voir le nom et la durée de vie de la personne. Si une partie du visage, comme le nez, les yeux ou la bouche, est cachée mais que l'on voit le visage dans son ensemble, on peut voir le nom et la durée de vie.
    Il est difficile de dire quel pourcentage de partie visible est nécessaire pour lire le nom et la durée de vie. La seule manière de savoir est d'essayer.

  • Si les conditions énoncées ci-dessus sont remplies, une image ou une photo, peu importe quand elle a été prise, suffit à voir le nom et la durée de vie. Cependant, en fonction de la taille du document, de sa précision, il peut arriver que cela ne marche pas.
    Par ailleurs, les dessins, aussi réalistes soient-ils, ne permettent pas d'accéder aux informations sur la personne.


How to use it XXI



  • la personne qui possède le pouvoir de l'œil du dieu de la Mort bénéficie d'une acuité visuelle supérieure à 36/10e dans le système de mesure humain, quelle que soit son acuité visuelle d'origine.


How to use it XXII



  • Ceux qui perdent le droit de possession sur le death note perdent en même temps toute la mémoire liée à celui-ci.
    Cela ne signifie pas qu'ils oublient tout ce qu'ils ont vécu depuis qu'ils ont eu le death note mais qu'ils perdent tous les souvenirs incluant le death note.


How to use it XXIII



  • Lorsqu'un humain possédant deux death notes renonce au droit de possession sur l'un d'eux, il perd la faculté de voir et d'entendre le dieu de la Mort qui y est associé.
    Le dieu de la Mort le quitte alors, mais aussi longtemps qu'il garde un exemplaire du death note, la mémoire incluant les death notes ne s'efface pas.


How to use it XXIV



  • Un dieu de la Mort ne peut pas rester dans le monde des humains sans raison particulière. Les conditions pour y rester sont les suivantes :

    • Quand son death note est entre les mains d'un humain.

    • Habituellement, il doit trouver un acquéreur du death note depuis le monde des dieux de la Mort, mais s'il le fait dans un délai de 82 heures, cela peut se faire à partir de celui des humains.

    • Lorsqu'un dieu de la Mort suit un homme avec l'intention de le tuer et qu'il a besoin de l'observer pour cela, il dispose de 82 heures dans le monde des humains.



How to use it XXV



  • un dieu de la Mort ne doit pas donner le death note à un enfant de moins de 6 ans (selon le calendrier humain).

  • Le death note ne doit pas être donné à un enfant de moins de 6 ans, mais lorsqu'il est laissé dans le monde des humains, qu'il devient un objet de ce monde, il peut être utilisé de la même façon par une personne quel que soit son âge.


How to use it XXVI



  • Si l'on écrit simplement "mort par accident", 6 minutes 40 plus tard, la personne meurt d'un accident naturel.

  • Si l'on écrit un seul nom dans le death note pour une mort accidentelle, mais que l'accident entraîne la mort d'autres personnes, celle dont le nom est écrit meurt finalement d'une crise cardiaque.


How to use it XXVII



  • Lorsque l'on écrit "mort par maladie" en précisant la date, mais que l'on n'a pas prévu une période suffisante pour la progression de la maladie, la victime meurt d'une crise cardiaque 6 minutes 40 plus tard.

  • Lorsque l'on écrit "mort par maladie" sans préciser la maladie mais en donnant une indication de temps, la victime meurt d'une maladie correspondant au délai précisé.
    Néamoins, le death note ne peut pas provoquer de maladies qui durent plus de 23 jours. C'est la "règle des 23 jours".


How to use it XXVIII



  • Si l'on écrit "mort par maladie", comme précédemment, en spécifiant la maladie mais sans donner de précision de temps, la règle des 23 jours ne s'applique pas et la victime mourra dans le délai correspondant à la maladie, que celui-ci dépasse 23 jours ou pas.

  • Lorsque l'on réécrit les causes et/ou les détails de la mort, cela doit être fait dans un laps de temps de 6 minutes 40. Il n'est cependant plus possible de corriger le moment de la mort.


How to use it XXIX



  • On ne peut pas tuer des personnes âgées de plus de 124 ans avec le death note.

  • On ne peut pas tuer quelqu'un à qui il reste moins de 12 minutes à vivre (en temps humain).


How to use it XXX



  • Lorsque l'échange de l'œil du dieu de la Mort est effectué, le bénéficiaire voit la durée de vie originelle des personnes aux alentours.

  •  Les noms que l'on peut voir grâce à l'œil du dieu de la Mort sont ceux nécessaires pour tuer ces personnes. Un nom sera visible même s'il ne figure pas sur les registres de l'état civil.


How to use it XXXI



  • Un Death note contient 60 pages.

  • Une page de Death note contient 25 lignes.

  • Au cas où un death note ne suffirait pas, il est possible d'en demander un autre.

  • Le cahier devient inutilisable si la couverture est déchirée.

  • Il est possible de ressusciter quelqu'un mort par le Death note en effaçant son nom avec une Death Eraser, à moins que la personne en question n'ai été incinérée.


Anecdotes



  • Dans le How to Use it, il est précisé qu'un Death note a un nombre de page infini.
    Cependant, dans le tome 13, Ryûk explique qu'un Death note ne contient que 60 pages, et que, par conséquent, plus on écrit petit, plus on pourra tuer de gens, mais que si le Death note est terminé plus tôt que prévu, l'utilisateur peut toujours en demander un deuxième. On ignore laquelle de ces information est la vraie.

  • Ryûk a modifié les règle du Death Note pour tromper L et Near. Il en existe deux :

    • S'il est détruit, déchiré, ou brûle, toute personne l'ayant touché meurt.

    • Si le Death Note n'est pas utilisé au moins tous les 13 jours après avoir écrit le premier nom, celui qui a écrit le nom, meurt.

  • Il existe 4 manières d'échapper à la mort par Death note:

    • Donner un faux nom et/ou masquer son visage.

    • Que quelqu'un efface notre nom avec une Death Eraser (sauf si la personne à ressusciter a été incinérée).

    • Que l'utilisateur se trompe quatre fois ou plus d'orthographe sur notre nom sans le faire exprès: les death notes n'ont alors aucun effet sur la personne visée.
      Cependant, si l'utilisateur se trompe quatre fois ou plus, mais qu'il le fait exprès, la personne visée ne devient pas insensible au Death note .

    • Si deux personnes, ou plus, écrivent le nom de la même personne dans le monde des humains avec une intervalle égale ou inférieure à 0,006 secondes, la personne visée ne mourra pas et deviendra insensible aux pouvoirs du Death note.





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Voici donc les différentes règles d'après le site wikipedia

Règles sur l'utilisation du Death Note



  • La personne dont le nom est écrit dans ce cahier meurt inéluctablement.

  • Il faut avoir en tête le visage de la personne dont on écrit le nom, sans quoi la mort ne surviendra pas. Les individus portant le même nom et prénom ne seront pas affectés. -> règle 1 C'est d'ailleurs cette particularité qui rend la rédaction obligatoirement manuscrite. Le cahier ne fonctionnera pas si on tape le texte à l'ordinateur et imprime sur une page arrachée, puisqu'une machine n'a pas de pensées.

  • Si l'on ne précise pas les circonstances de la mort, la cause par défaut est un arrêt cardiaque au bout de 40 secondes. Si l'on commence à décrire la cause de la mort avant l'expiration de ce délai, on obtient un délai supplémentaire de 6 minutes 40 secondes du monde des humains (soit dix fois la fenêtre de temps initiale de 40 secondes) pour en rédiger précisément les circonstances. La ou les cibles se transforme(nt) ainsi en zombie(s), exécutant docilement les consignes jusqu'à son (leur) décès. À noter que l'utilisateur ne peut déterminer que le comportement de chaque cible, et non des phénomènes exogènes comme une catastrophe naturelle.

  • Dans le cas où l'on écrit « crise cardiaque » comme cause de la mort, il faut impérativement rédiger le terme en moins de quarante secondes si l'on souhaite fixer un délai différent.

  • Dès lors que le Death Note tombe dans le monde des humains, il appartient à celui qui le trouve.

  • Un dieu de la mort peut rallonger sa vie en écrivant des noms d'humains dans le Death Note, mais un humain ne le peut pas.

  • Une personne peut mettre fin à ses jours en utilisant le Death Note.

  • Une personne qui devient possesseur d'un Death Note peut obtenir un œil de dieu de la mort, lui permettant de connaître le nom et la durée de vie restante de celui ou celle qu'elle regarde, en échange de la moitié du temps qui lui reste à vivre.

  • Les conditions de la mort décrites dans le Death Note ne peuvent se réaliser que si elles sont physiquement possible et si elles apparaissent réalisables par un être humain.

  • Une page du Death Note fonctionne en mode recto-verso. Par exemple, en écrivant un prénom d'un côté et un nom de l'autre, la personne trouvera la mort quand même. En revanche, il n'y aura pas d'effet si le rédacteur décompose le nom sur plusieurs pages différentes. -> règle 2 Il en résulte que le descriptif des circonstances du décès ne peut excéder une page recto-verso en incluant le nom de la cible, toute consigne au-delà n'étant pas exécutée par cette dernière. Si le mode de décès n'est pas précisé, la cible zombifiée meurt automatiquement d'une crise cardiaque à l'issue de la dernière consigne inscrite à la fin du verso.

  • Les conditions possibles de la mort ne sont pas connues du dieu de la mort. Il est donc nécessaire de chercher et de trouver par soi-même.

  • Une page du Death Note, ou un morceau de page arraché, a le même effet que les pages attachées au cahier lui-même.

  • Il est possible d'écrire dans le Death Note avec n'importe quelle substance (sang, maquillage, etc.), pourvu que le résultat soit lisible et que la substance soit indélébile. De même, bien que les règles soient rédigées en anglais pour faciliter la compréhension de tous, n'importe quel langage est autorisé pourvu qu'il soit intelligible et que la phrase possède un sens.

  • On peut écrire la cause de la mort ou les circonstances de la mort en premier, et écrire le nom par la suite, sur la première ligne. Le processus fonctionne quand même. Dans ce cas, on dispose d'un délai de 23 jours, en temps humain, pour écrire le nom. À noter que cette règle ne permet pas de contourner la restriction des 6 minutes 40 secondes : au-delà de ce délai, la magie prend effet à l'instant précis où le nom de la cible est écrit dans l'espace vide laissé à cet effet. Aucune consigne supplémentaire n'affectera davantage son comportement que celles rédigées pendant la fenêtre de rédaction, même s'il reste encore de la place sur la feuille.

  • Le suicide est une cause valide de mort. Fondamentalement, c'est une éventualité envisagée par tous les humains, et, de ce fait, ne rentre pas dans les actes impensables.

  • Si les circonstances de la mort de la cible, telles qu'elles sont rédigées, doivent entraîner celle d'autres personnes non mentionnées dans le scénario de l'utilisateur du cahier, la cible meurt automatiquement d'une crise cardiaque. Cela dans le but qu'elle n'influe pas sur d'autres vies dont l'heure n'est pas encore venue.

  • Même après avoir écrit le nom, l'heure et les circonstances, il est possible de les modifier autant de fois qu'on le souhaite pendant les 6 minutes 40 secondes. Bien entendu, pour que le changement soit possible, il faut que la personne ne soit pas déjà morte. Lorsqu'on veut faire une correction pendant ce délai, il faut d'abord rayer de deux traits les mots à corriger.
    Bien qu'il soit possible de modifier les conditions de décès, la personne dont le nom est écrit dans le Death Note ne peut plus échapper à la mort. Évidemment, rien n'empêche le rédacteur de décréter une mort naturelle, qui n'excèdera pas l'espérance de vie de la cible.

  • S'il le veut, le propriétaire peut décider de se déposséder du Death Note il perd le droit de propriété du Death Note, en même temps que sa mémoire s'efface pour la période de temps où il l'a possédé. Il perd aussi la faculté de l'œil. Cependant la moitié de vie qu'il a payée ne lui est pas rendue.

  • Le propriétaire du Death Note peut le prêter à quelqu'un d'autre. Il est aussi possible de le sous-louer.

  • Celui qui a emprunté le Death Note n'est pas suivi par le dieu de la mort. Ce dernier reste avec le propriétaire. De plus, l'emprunteur ne peut pas faire l'échange d'œil avec le dieu de la mort.

  • Si le propriétaire du Death Note meurt alors qu'il a prêté ce dernier, le droit de propriété revient à celui à qui le Death Note a été prêté.

  • Si le Death Note est volé et le propriétaire tué par le voleur, le droit de propriété est automatiquement transféré au voleur.

  • Lorsqu'un même nom est écrit dans deux Death Note ou plus, c'est la première rédaction qui prend effet, sans tenir compte de l'heure de la mort.

  • Un dieu de la mort doit posséder au moins un Death Note. Ce Death Note ne doit jamais être prêté à un humain et aucun humain ne doit écrire sur ce Death Note.

  • Il ne peut y avoir que 6 Death Note dans le monde des humains, s'il y en a plus, uniquement les 6 premiers fonctionneront.

  • S'il y a plus de 6 Death Note dans le monde des humains et qu'un des 6 premiers est détruit, alors le Death Note suivant prendra sa place.

  • Si un nom est écrit dans deux Death Notes ou plus, avec une différence de moins de 0,06 seconde, on considère qu'il y a simultanéité, et la personne dont le nom a été écrit ne meurt pas. -> règle 3

  • Dans le monde des humains, les possesseurs de Death Notes ne peuvent voir leurs dieux de la mort respectifs que s'ils touchent le cahier de l'autre. -> règle 4

  • Un humain qui possède un œil de dieu de la mort peut voir le nom et la durée de vie des gens qu'il regarde, mais, en tant que possesseur d'un Death Note, il passe donc du côté de ceux qui prennent la vie et il cesse d'être une victime. Par ailleurs, il ne peut pas voir la durée de vie ni des autres possesseurs de Death Notes ni la sienne, ce qui n'est finalement pas si grave. -> règle 5

  • Les dieux de la mort ne doivent pas dire aux humains la durée de vie ou le nom qu'ils peuvent lire. Cela afin d'éviter que ne naisse de la confusion chez les humains. -> règle 5

  • Pour qu'un Death Note soit utilisé dans le monde des humains, il faut d'abord qu'il y ait un dieu de la mort en vie qui s'assure de son usage sur Terre. -> règle 6

  • Il est difficile d'imaginer qu'un dieu de la mort qui reste auprès d'un humain meure, mais si ça arrive, le Death Note qu'il a apporté sur Terre conserve tout de même ses pouvoirs. -> règle 6

  • Si un Death Note est possédé dans le monde humain contre la volonté du dieu de la mort auquel il appartient, il est permis à ce dieu de la mort de rester dans le monde humain pour le récupérer. -> règle 7

  • Dans ce cas, s'il existe d'autres Death Note dans le monde humain, les Dieux de la Mort n'ont pas le droit de révéler aux humains l'identité ou la localisation du possesseur de ce Death Note. -> règle 7

  • Dans le monde des Dieux de la Mort, il existe un certain nombre de copies de ce que les humains pourraient appeler Manuel d'utilisation pour utiliser le Death Note dans le monde des humains. Cependant, le manuel d'utilisation ne peut être livré aux humains. -> règle 8

  • Il est tout à fait permis aux Dieux de la Mort de lire le Manuel d'utilisation pour leur propre usage et d'apprendre aux humains ce qu'il contient, quel que soit ce contenu. -> règle 8,règle 9

  • Le Death Note ne peut pas procurer l'immortalité en fixant un terme infini pour le décès. Tous les humains devront, sans exception, finalement mourir. -> règle 10

  • Celui qui fait usage de ce cahier ne va ni en enfer ni au paradis. Après la mort, l'endroit où il se retrouve s'appelle MU (Le Néant). -> règle 10

  • Une fois mort, ils ne reviennent pas à la vie. -> règle 11

  • Le Death Note n'affecte pas les personnes âgées de moins de 780 jours. -> règle 12

  • Le Death Note sera rendu inutile si le nom de la victime est mal orthographié quatre fois. -> règle 12

  • Si le nom est volontairement mal orthographié 4 fois, le propriétaire du Death Note mourra. -> règle 13

  • Si le Death Note est perdu ou volé, celui à qui il appartenait en perd la propriété sauf s'il le récupère dans un délai de 490 jours. -> règle 14

  • Il n'est pas nécessaire d'être le possesseur du Death Note pour l'utiliser. N'importe qui peut provoquer la mort grâce à ce livre pourvu qu'il l'utilise dans les conditions sus-mentionnées.

  • Même le propriétaire d'origine du Death Note, un dieu de la mort, ne connaît pas tout du cahier.



Dans le pilote du manga, Ryuk propose à Kagami une gomme nommée "Death Eraser", permettant de ramener à la vie 5 de ses camarades de classe, dont il a écrit le nom par erreur. Il suffit d'effacer le nom dans le carnet, et la personne reviendra à la vie, à la condition que son corps ne soit pas détruit.


Règles impliquant les dieux de la mort





  • Celui qui s'en saisit devient alors capable de voir et d'entendre le dieu de la mort qui en est l'ancien propriétaire.

  • Le possesseur du Death Note garde à ses côtés, jusqu'à sa mort, l'ancien possesseur, un dieu de la mort, aussi longtemps qu'il détient le cahier.

  • En général, le dieu de la mort apparaît devant le nouveau possesseur du Death Note dans les 39 jours qui suivent le 1er jour d'utilisation du cahier. -> règle 15

  • Un dieu de la mort, propriétaire d'origine du Death Note, en général, ne fait rien qui puisse aider le possesseur du Death Note.

  • Le dieu de la mort n'a aucune obligation d'expliquer complètement l'utilisation du cahier ou les règles à l'humain qui en a pris possession.

  • Un dieu de la mort doit obligatoirement garder en sa possession un Death Note, qu'il ne peut ni confier à un humain ni lui permettre d'utiliser. -> règle 3

  • Les dieux de la mort peuvent s'échanger leurs Death Notes et les utiliser sans problèmes. -> règle 16

  • Si un dieu de la mort éprouve de l'affection pour un humain en particulier, s'il utilise le Death Note avec l'intention de prolonger sa vie, s'il tue un autre humain pour cela, il meurt. -> règle 16

  • Le dieu de la mort disparaît, mais son Death Note subsiste. Normalement, le droit de propriété revient au dieu de la mort qui le trouve, mais en réalité, il est entendu qu'il doit être rendu au roi des dieux de la mort. -> règle 4




Fausses règles


Ces fausses règles ont été inventées par Light Yagami et rédigées de la main de Ryuk dans le Death Note :

  • Si le Death Note n'est pas utilisé au moins tous les 13 jours après avoir écrit un premier nom, celui qui a écrit le nom meurt.

  • S'il est détruit, déchiré, ou brûlé, en un mot, s'il devient inutilisable, toute personne l'ayant touché meurt.



Le but de ces fausses règles est de détourner les soupçons de L : Light ayant été emprisonné pendant plus de treize jours pendant la période où L le soupçonnait le plus, la première fausse règle permet de prouver qu'il n'est pas Kira puisqu'il n'est pas mort le quatorzième jour. La seconde fausse règle vise à éviter que la Police ou la cellule d'enquête puissent être tentées de détruire le Death Note. L émet rapidement des réserves sur la véracité de ces règles, et interroge Rem qui ne lui révèle rien.


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# Note

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[Jeux] Sais-tu comment résoudre un Rubik's Cube facilement ? [GON] - Dim 17 Jan 2016 - 15:57











Pour résoudre un Rubik's Cube facilement, il suffit d'apprendre les algorithmes !
Oui bon, c'est plus facile à dire qu'a faire, j'ai mis un an à m'y mettre vraiment et maintenant je suis capable d'en finir assez rapidement bon il me faut encore 5 minutes car je n'arrive pas à retenir les deux dernières étapes Smile

On m'a dit que je trichais avec les "solutions" mais il y a très peu de chance d'y arriver au hasard...

J'utilise la méthode couche par couche:


– Wikipedia

C’est la plus intuitive et la plus simple à mettre en œuvre. La résolution nécessite en moyenne un peu plus de 110 mouvements :
- Réaliser une face, par exemple la face supérieure blanche, en prenant bien soin de placer correctement la couronne (placer les cubes entourant cette face) et les cubes centraux (bleu, orange, vert et rouge),
- puis la deuxième couronne (la rangée horizontale à mi-hauteur),
- déplacer les cubes-arête de la face du bas à leur place et les orienter correctement,
- déplacer les cubes-sommet à leur place,
- enfin les orienter.

Chaque opération (tourner une arête ou un sommet, échanger deux arêtes ou deux sommets) pourra être réalisée deux fois, après avoir placé les cubes concernés sur la même face, et en prenant soin de ne pas modifier cette face pendant l'opération.
La première exécution mélange le reste du cube, mais en tournant alors la face d'un quart ou d'un demi-tour pour placer le(s) sujet(s) de la deuxième opération au même endroit relativement au reste du cube et en refaisant l'opération à l'envers, on réalisera la deuxième opération tout en remettant le reste du cube en place.




Mais il y en a d'autres Smile

Le site francocube propose toutes les solutions mais ce n'est pas le seul ... Google te donnera d'autres sites !
Moi j'utilise la notice vendue avec mes Rubik's Cube :p

Je te propose deux vidéos aussi :

https://youtu.be/Leml4U4D1r8

https://youtu.be/YWT3aNax_j8







# Introduction reprise sur wikipedia


Le Rubik’s Cube (ou Cube de Rubik) est un casse-tête inventé par Ernő Rubik en 1974, et qui s’est rapidement répandu sur toute la planète au cours des années 1980.

Au Canada francophone, il est nommé Cube Rubik (sans le « de ») et l'appellation Rubik's Cube est considérée comme exclusivement anglophone.

Il s'agit d'un casse-tête géométrique à trois dimensions composé extérieurement de 26 éléments qui, à première vue, semblent être des cubes pouvant se déplacer sur toutes les faces et paraissant libres de toute attache sans tomber pour autant.
Un système d’axes, dont le mécanisme a été breveté par son auteur, Ernő Rubik, se cache au centre du cube.





# Histoire reprise sur wikipedia


Le Rubik’s Cube est inventé le 19 mai 1974 par Ernő Rubik, un sculpteur et professeur d’architecture hongrois, qui s’intéresse à la géométrie et à l’étude des formes en 3D.
Ernő Rubik obtient en 1976 le brevet hongrois HU170062 pour le « Magic Cube », mais ne demande pas de brevet international.
Le produit est testé en 1977, et les premiers cubes se vendent peu après dans les boutiques de jouets de Budapest.

L’idée initiale d’Ernő Rubik était de construire un cube afin d’amener ses étudiants à deviner quel était son mécanisme interne, comment les petits cubes pouvaient tourner suivant trois axes tout en restant solidaires, et ainsi de les intéresser à la géométrie en trois dimensions.

Ce n’est qu’ensuite qu’il eut l’idée (grâce à la suggestion d’un ami) de colorer chaque face d’une couleur différente, constatant alors qu’après mélange, l’ordre initial du cube s’avérait extrêmement difficile à retrouver (une chance sur 43 252 003 274 489 860 000 à chaque rotation).
Il eut alors l’idée de le commercialiser en tant que « casse-tête » géométrique et mathématique.
Il faudra un mois à l'inventeur du Rubik's Cube pour résoudre son propre casse-tête.

En Hongrie, le cube gagne en popularité par le bouche-à-oreille, et est bientôt connu dans toute l’Europe.
En septembre 1979, à l'instigation de Bernard Farkas, un accord est signé avec Ideal Toys pour distribuer le cube mondialement.
Ideal Toys renomme alors le cube « Rubik’s Cube » et les premiers exemplaires sont exportés de Hongrie vers mai 1980, en direction de Londres, de New York et de Paris.

Aujourd’hui, le Rubik’s Cube est copié sous licence par de nombreux distributeurs par le monde.
Il est distribué par Win Games en France et par Jumbo en Belgique.

Le Rubik’s Cube atteint son maximum de popularité au début des années 1980.
Plus de 100 millions de cubes sont vendus entre 1980 et 19825,6. Le « Rubik’s Cube » gagne le prix des distributeurs de jouets britanniques en 1980 et de nouveau en 1981.
De nombreux jeux similaires sont distribués peu de temps après le Rubik’s Cube, notamment le « Rubik's Revenge », une version 4×4×4 du Rubik’s Cube.
Il existe aussi une version 2×2×2 et 5×5×5 (connus respectivement sous les noms de « Pocket Cube » et de « Professor's Cube »), et des versions dans d’autres formes, comme la pyramide ou le dodécaèdre régulier (1212).
Depuis juin 2008, la marque V-Cube vend les modèles en 6×6×6, 7×7×7 et 8×8×8.

En 1981, Patrick Bossert, écolier britannique de douze ans, publie sa solution détaillée.
You can do the cube s'est vendu à 1,5 million d’exemplaires à travers le monde8, dans dix-sept éditions différentes.
Il est numéro un des best-sellers du Times et du New York Times en 1981.

Le 10 novembre 2016, la Cour de justice de l'Union européenne annule l'enregistrement en tant que marque européenne de la forme du Rubik's cube, considérant que cet enregistrement protège non pas une marque mais une « solution technique », à savoir la capacité de rotation des faces du cube, qui dépend d'un brevet plutôt que d'une marque.





# Description reprise sur wikipedia

Le Rubik’s Cube est un cube dont chaque face est divisée en neuf cubes miniatures qui peuvent tourner indépendamment les uns des autres.
En fait le cube est composé d’un axe central portant les centres des six faces, de huit cubes de coin à trois faces visibles et de douze cubes d’arête à deux faces visibles.
À l’état final, chaque face du cube de Rubik est d’une couleur homogène et différente des autres, mais la rotation indépendante de chaque face provoque un mélange des petits cubes de coin et d’arête.

Le but du jeu est, après avoir mélangé les six faces, de manipuler le cube pour tenter de lui rendre son apparence d’origine, avec les six faces de couleurs unies.
Les couleurs des faces du cube original sont : blanc en face de jaune, vert en face de bleu, orange en face de rouge.
Sur les versions non originales, les positions relatives des faces de couleurs et même parfois les couleurs peuvent changer.

Il en est sorti de nombreuses variantes de forme et de décoration (voir la section Variantes).

La pratique qui consiste à résoudre le Rubik’s Cube le plus rapidement possible est le speedcubing.
En utilisant la méthode la plus simple, on peut y arriver en moins d'une minute avec suffisamment d’entraînement.
Les meilleurs le font en moins de dix secondes.

Pour le reste, je vous laisse regarder sur !






Plus d'infos :




[Cuisine] Sais-tu comment bien infuser du thé ? [GON] - Mar 21 Avr 2015 - 18:36











Hello, je vais t'enseigner en quelques mots la façon d'infuser correctement ton thé !

Pourquoi ?


Parce que le thé, c'est bon Smile


Sachet / Thé en vrac ?


Le thé en vrac coutera forcément moins cher que le thé que tu vas acheter en sachet.
De plus tu peux plus facilement gérer le dosage !
Il te faudra pour cela conserver le thé dans des boites hermétiques ne laissant pas la lumière passer.
Mais c'est vrai que parfois le thé en sachet est quand même bien plus pratique.

Le dosage



Pour que le thé ne soit ni trop fort ni trop léger, il faut respecter le dosage :
Pour une tasse : 2 cuillères à café de thé en vrac
Pour deux tasses : 3 cuillères à café de thé en vrac
...

En somme, pour savoir combien de cuillères à café utiliser, il faut simplement faire : 1 cuillère par personne + 1 cuillère pour le contenant (théière...)
Pourquoi ?
Je ne sais pas mais j'ai toujours vu cette information partout ... et ça marche plutôt bien Smile

La température de l'eau et durée d'infusion


Les différents thé n'infusent pas tous à la même température (oui, c'est casse-pied surtout si tu ne peux pas trop gérer la température...). Et le temps d'infusion n'est pas le même non plus :

Thé noir
Température de l'eau : 95 degrés.
L'infusion durera entre trois et cinq minutes.

Thé Oolong
Température de l'eau : 95 degrés.
Temps d'infusion : 3 à 5 minutes.

Thé vert
Température de l'eau : 70-80 degrés.
Temps d'infusion : 3-5 minutes.

Thé blanc
Température de l'eau : 70-80 degrés.
Temps d'infusion : 7 à 10 minutes.

Rooibos
Température de l'eau : 90 degrés.
Temps d'infusion : 5 minutes.


La théière


Il existe différentes théière que ça soit en fonte, en terre, en céramique ...
Elles n'ont pas le même rendu...
Cela dit, si tu mets de l'eau bouillante dans la théière en fonte ou céramique et que tu jettes l'eau ensuite avant de préparer ton thé, le rendu devrait être plutôt bon.
Il existe désormais des sortes de bouilloires infusant le thé à la bonne température... je n'ai jamais essayé ...







Source de l'image : sawasawa





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