Avant tout, pour comprendre, il faut une petite description du personnage.
Même si Deadpool est difficile à décrire en quelques mots, je vais essayer.
Tout d’abord, Deadpool est un personnage des X-men.
Assassin proche de la mort, il est recruté afin de servir de cobaye pour compenser la perte de Wolverine
du projet X par le professeur Killbrew.
Cependant l’expérience échoue… il s’échappe et devient un très grand mercenaire.
Grâce au projet X, il possède un pouvoir de régénération extrêmement puissant mais a subi de lourdes
séquelles physiques et mentales.
Il se retrouve donc avec un physique digne du pire profil de Harvey Dent alias Double Face.
Avec le mental de son acolyte joué par Jim Carrey dans Batman Forever.
Et oui Wade T. Wilson, de son vrai nom, est un dingue psychopathe moche et à l’humour aussi sombre
que son passé. Mais n’a pas que ca pour lui, il a également de petits joujoux dont les plus connus sont
un téléporteur à courte distance et un appareil lui permettant de prendre la forme d’autres personnes,
bref le matériel du parfait assassin !

Il ne faut bien sur pas oublier les armes car Deadpool est un très bon manieur d’armes, et de toutes
sortes, mêlée ou distance, les deux en même temps. Ses armes de prédilections sont ses deux katanas
portés dans son dos et deux puissants pistolets portés à la ceinture.
Outre ce stéréotype de l’antihéros, Deadpool a comme particularité d’être le seul héro de Marvel a savoir
qu’il fait parti d’une BD et donc à sortir des phrases décalées directement au lecteur dans les moments
critiques.
C’est cette particularité qui est la base du jeu vidéo éponyme car l’histoire commence avec Deadpool
avachi dans son fauteuil, la télécommande dans une main, et un de ses flingues adoré dans l’autre.
L’appartement en arrière plan reste dans les thèmes avec bout de junk-food a moitié entamé, papier
peint d’une autre époque a moitié déchiré, de la moisissure ca et la, des traces étranges pouvant être
fait avec un couteau, un chien ou les ongles de ses victimes sur tout le mobilier.
Puis il reçoit un appel des développeurs du jeu car oui, c’est Ddeadpool qui a commandé le jeu pour
flatter son égo surdimensionné, alors s’en suit une petite visite de l’appartement, avec des blagues qui
mettent le ton comme notre héro voulant prendre un livre mais malheureusement la bibliothèque a été
développée en plusieurs gros blocs.
Il peste ensuite sur les développeurs qui n’ont pas pris le temps de faire un design livre par livre. Puis
la sonnette retentie et la mission est expliquée, le principe reste proche de la plupart des Third-person
shooter, expliquant les attaques au corps à corps simples ou puissantes, les attaques à distances, les
principes de gain d’expériences et d’améliorations d’armes et de personnage ainsi que l’utilisation de la
téléportation à courte portée.
Durant le jeu on remarque le coté décalé comme un château gonflable apparu de nulle part, des phrases
durant le combat ou la mort pestant contre les développeurs, le joueur, les ennemis ou se foutant de luimême.
Avec des phases où les développeurs appellent Deadpool pour lui informer qu’ils ont trop utilisé
le budget pour les graphismes et qu’ils n’ont plus rien, ils doivent alors passer en vu dessus à la zelda,
puis un peu plus tard en jeu de plateforme puis en FPS bref du grand n’importe quoi.
Concernant le graphisme, je donnerai un 10/10, j’avais même peur que le jeu ne tourne pas sur mon ordi
mais c’était bon. La durée de vie est tres bonne avec des niveaux bonus où vous pouvez déchainer toute
votre rage.